Balade innocente [Tony]

Kate était couchée sur un banc du parc, observait le ciel et fumait une cigarette. Elle restait seule et espérait que les paparazzi ne fréquentaient pas l'endroit. Elle respirait profondemment, elle n'avait pas dormi pendant bien longtemps et elle était fatiguée...

Le ciel était sans défaut et aucun nuage n'osait s'y aventurer. Elle se concentra sur l'intensité, l'immensité, et l'infinité du bleu infini. Tant de possibilités inexplorées. Elle fuma une nouvelle bouffée de sa cigarette

[J'ai trop la flemme pour faire un long texte, sorry XD]

Lunette de soleil sur le nez, un chemise légèrement ouverte, ainsi qu’en pantalon de costume qui devait valoir énormément d’argent, Tony marchait dans le parc, revenant d’un repas assez important, il arpentait les allées de crassette lentement. Mais alors qu’il s’y attendait le moins, son regard capta un visage qu’il connaissait, ou plutôt que tout le monde connaissait. Souriant légèrement il constate qu’a seulement deux mètres de lui, se tiens une célébrité que beaucoup de monde connaissait. Souriant, il se décide de lui adresser la parole.

- Amusant de constater que même les people sortent au parc… et amusant aussi de constater qu’il n’y a pas cette bande de vautour de paparazzi qui vous suivent.

Retirant lentement ses lunettes de soleil, et glissant un large sourire sur son visage, il regarde autour d’eux, et sort a son tour une cigarette de sa veste qu’il allume d’un geste précis et habile.

- ce qui m’amène à la question, que fais mademoiselle Ward toute seule sans photographe assise sur un banc avec une cigarette à la main

La réponse de la jeune amusa tout particulièrement le jeune Tony, qui prit une longue taff sur s cigarette en hochant la tête comme si ce que venait de dire la jeune femme était une évidence. Pour les gens comme elle ouais, fuir les paparazzi, c’était LE sport, mai pour les gens normaux, ou presque normaux comme lui, c’était une chose inexistence dans la vie… fuir le paparazzi...

Moqueur, mais agréable dans son timbre de voix, il lui glisse quelques mots:

- J’en pleurerez… traquée par les photographes…

Souriant une fois de plus, elle lui lance une dernière tirade qui le fait grimacer légèrement tout d’elle, c’était faux.

- J’m’appele Anthony Lorenzetti, mais appelez moi Tony, plus court, plus simple… Pour ce qui concerne ce que je sais de vous, oubliez cela, je connais la star, sa vie de star, ses pensées de star, mais pas la vraie personne, qui je pense a bien plus de chose a dire…

La jeune célébrité répéta son nom d’abord, laissant le mafioso calme mais pensif, elle avait déjà eut vent de son nom, sinon a quoi bon le repeter? Elle expliqua par la suite qu’ils ne s’étaient jamais rencontré, mais qu’elle avait déjà eut à faire à lui, enfin a l’un de ses hommes.
Avec un léger ricanement, le jeune homme laisse tomber sa cigarette, qu’il écrase juste, s’asseyant sur le banc en joignant ses deux mains.

- Un grand brun au cheveux long, petite barbichette, classe et passe partout, type latino mais luxueux et beau parleur… un dealeur… Marco….?

Souriant légèrement il se s’adosse au dossier du banc, jetant un regard en biais à la jeune femme.

- Non j’suis pas devin, les gens qui ont à faire a moi sont soit des gens qui attende qu’un de mes types viennent les descendre, soit des gens qui ont besoin que j’fasse flinguer quelqu’un soit des riches en perdition qui cherche a se déglinguer… vous êtes toujours vivante, et c’est la première fois qu’on se parle, j’en conclu donc, que vous avez un passé commun avec la cam… nez blanchit à la coke? Ou vous vous explosiez les veines?

[A mon tour de mettre longtemps à répondre ^^ Désolée!]

Kate écouta Tony dans sa tirade et lui donna un des sourires charismatiques dont elle à le secret. Elle lui dit dans un soupire:

"Je dirais que j'ai un présent commun avec la cam... Coke, héroïne, un peu tout. Mais votre homme, Marco, oui, je confirme c'était bien lui, m'a donné une dose d'héroïne mémorable. Et vous, c'est le nez, les veines, les poumons?..."

Le temps d'un instant, elle regarda l'homme. Il était habillé de façon très classe, il avait une carrure imposante et il ne faisait aucun doute qu'il devait avoir un corps bien meilleur que les fringues qu'il avait sur le dos.