Retour aux sources...temporaire [PV Elenia]

Invité

Jude aimait bien par moment se ressourcer dans la nature, pas souvent, mais une fois de temps en temps, comme environ une fois par mois ou un peu moins. Et une bonne fois il profitait de cette lecon d'humilité que pouvait lui donner la nature. Tous ces arbres immenses et si solides, il avait donc décidé ce matin, vu qu'il n'avait rien aujourd'hui, ni préparatifs de concerts, ni enregistrement de prévu pour aller se balader en forêt. Cela faisait déja une heure qu'il se baladait, tout se passait pour le mieux, ce calme presque parfait, non ce calme parfait perturbé seulement par le bruissement des feuilles et le bruit de pas des animaux ou le chant des oiseaux. Donc le mot perturber n'était même pas approprié à cette situation. Il se baladait dans un silence qui le ressourcait pleinement. Il appréciait ces instants pleinement jusqu'au moment ou il entendit des cris de femmes, il commenca à courrir, s'arrêtant par moment pour bien savoir d'où venaient ces cris, et il apercut une jeune femme au sol qui appareillement essayait de se relever, il vit une trace de griffe ou quelque chose de semblable sur sa cuisse qui apparemment avait sectionné ses vêtements à cet endroit et le contour de la coupure des vêtements était imbibé de sang. Cette femme semblait être incapable de se lever, il courrut donc vers elle en lui disant.

Je suis là, ne vous inquiétez pas! Calmez vous.

Il savait que le plus important pour une victime était de lui faire reprendre son calme. Il continua donc à lui dire.

Vous n'êtes plus seule, tout va bien se passer, je vais appeler les forestiers et ils viendront vous chercher, mais d'abord calmez vous.

Invité

D

Citation :: FLASHBACK
Le reveil fut difficile. Mais en une heure et demi, Elenia se trouvait sur le lieu de son shooting, toute fraiche. Le temps était plutôt humide et rien que de penser a la robe qu'elle devrait enfiler lui donner des frissons. Elle ne savait pas en quoi cette séance consisterais, on lui avez juste demandé de garder son sang froid. Et quand sa voiture se gara a l'orée de la fôret et qu'elle l'aperçut, elle a bien failli faire demi tour. Mais elle arreta le moteur et soupira. On lui aurait vraiment tout fait. Elle atrappa ses affaires et sortit en direction du photographe.

Ah enfin Mlle Volkovich, on vous attendez.
Huum. Est-ce que c'est ...
Oui, votre compagnon de tournage, mais il est très sympathique vous verrez.
Huumpprf.. Je n'en doute pas.
Allez vous préparer on vous retrouve dans trentes minutes au coeur de la forêt, quelqu'un vous conduira.

Et 'Lena regarda le photographe s'eloigner avec l'enorme envie de lui jeter son sac à la figure. Mais en professionnelle, elle alla s'habiller et se faire coiffer, puis maquiller.
Une fois prête, elle suivie un denomé Steve qui l'ammena sur le lieu de tournage ou tout était prêt, ne manquer plus qu'elle.

Allez Elenia, je peut vous appeller par votre prénom.
Je vous en pris.
Met toi pret de Nounours et ... fais comme d'habitude.

Cette blague. Cela se voyez que ce n'était pas lui qui devait poser avec , un ours avec qui plus est un nom completement ridicule.
Une fois pret de la cage elle murmura plus pour elle même que pour l'ours.

Allez nounours. C'est toi et moi mon grand. On dit ami, hein ??

Le début se passa plutôt bien mais elle n'était pas vraiment à l'aise. Etpour cause, l'ours était plutôt agité. On lui octroya une pause. Plus pour Nounours que pour elle d'ailleurs. On lui raconta que d'habitude, il est très calme et qu'il vis en liberté près d'ici. Comme pour prouver ses propos, le dresseur le libera de sa cage ce qui ne plu pas vraiment a 'Lena qui s'éloigna impercepriblement. Et là, l'ours devient incontrôlable. Il attaqua le dressur qui pris un cou de pate en pleine tête, elle ne donnait pas vraiment chere de sa vie. Elle était comme ... petrifié sur place. Alors que tout le monde courrait partout, elle resta a sa place, les jambes trop lourde pour penser a courrir. Ne restant plus qu'elle , c'est sur Elenia que l'ours se vengea . C'est seulement maintenant qu'elle trouva qu'il serait utile de courrir, ce qu'elle fit. Seulement , elle était en robe et pied nus, et même avec des tennis, elle n'aurait sans doute pas était capable de distancer un ours dans une foret.
Il la ratrappa rapidement et c'est sa jambe qui pris le coup qu'elle attendait. Une douleur horrible s'insinua en elle et elle ne retient pas le cri qui lui glaça le sang. Ce sang qu'elle sentait couler sur sa jambe. Elle tourna sans doute de l'oeui car elle ne se souviens pas vraiment clairement des minutes qui passerent. Et quand elle repris ses esprits, elle se trouvait devant quelqu'un qu'elle n'avait pas encore aperçu aujourd'hui, dans un endroit éloigné du shooting.

Mais je suis tout a fait calme. Après tout je me suis juste faites attaquer par un ours.

Restez avec moi qu'il vous plait.

Est-ce que ... Ca saigne beaucoup ?

Invité

Il ne savait pas comment cette femme était capable d'être ironique, est ce qu'elle avait conscience que sa jambe était couverte de son sang? Enfin, en tout cas, elle était bien calme. Et comment cela se faisait il qu'un ours se trimbalait dans les bois, normalement les autorités auraient du interdir cela! Il était un peu ahuri par tout cela, car il était complètement dépassé par les évènements, mais alors là, il n'avait jamais vécu de telle situation. C'est vrai que quand on entend parler de ce genre de situation on sait quoi faire, mais sur le moment même, on panique! Ce qui était son cas. Il prit son gsm, et appela machinalement les secours...rien, pas de réseau! Là c'était vraiment le bordel. Il reporta son attention sur cette femme blessée, il ne fallait surtout pas qu'elle s'endorme.

Il l'entendit alors lui demander, voire même le supplier de rester, bien sûr qu'il allait rester, il n'allait pas l'abandonner là toute seule, il espérait juste de tout coeur que quelqu'un les retrouverait au plus vite, pour qu'elle ait des soins le plus rapidement possible. Il lui répondit donc en prenant son visage dans ses mains.

Ne vous inquiétez pas, je suis là et je resterai là jusquà ce qu'on nous retrouve.

Il commenca à retirer sa veste de cuir, puis retira son t-shirt, si les secours ne venaient pas vite, il fallait en tout cas faire arrêter de couler la plaie, il déchira donc une manche après qu'elle se soit allongé et dégagea la partie de sa robe déchirée sur sa cuisse et commenca à panser la blessure avec le morceau de tissu, le serrant bien fort, mais pas trop non plus pour qu'elle n'ait pas mal. A ce moment là, elle lui demanda si ca saignait beaucoup, il la regarda, et vit dans ses yeux qu'elle voulait la vérité, il lui dit alors.

Oui, ca saigne abondemment, mais ne vous inquiétez pas, j'ai fait en sorte que le sang arrête de couler. Attendez je vais vous mettre ca.

Il prit sa veste en cuir et la mit sur le torse de la jeune femme comme une couverture, histoire d'être sur qu'elle n'aurait pas trop froid, il s'asseya à côté d'elle et toucha son front avec sa main, heureusement elle n'avait pas de température, il s'abaissa au dessus de son visage et en la regardant d'un visage inquiet il lui dit.

Il ne faut surtout pas que vous vous endormiez, d'accord? Vous n'avez pas trop froid? Si vous voulez on peut parler, ca aide à ne pas dormir, moi je m'appelle Jude, et vous comment vous appelez vous?

Il était terriblement inquiet et paniqué mais essayait de tout son possible de ne rien laisser paraître pour ne pas l'inquiéter. Il espérait de tout son coeur que les secours arriverait au plus vite, sinon il avait peur pour la jeune femme, il n'osait même pas envisager que ca se passe mal.

Invité

E

(bon j'avoue c'était nul comme blague ^^)

C'est gentil ça.

Merci.

Vous allez salir votre veste.

Je ne peux rien vous promettre vous savez. Cela parait tout de même la meilleure solution pour nous deux. Vous pourriez alors chercher du secours et vaquer a vos occupations , enfin faire ce que vous faisiez avant que je ne gache vos plans. Je suis désolée d'ailleurs.
Lena . enfin Elenia, je m'appelle Elenia mais tout le monde m'appelle Lena, je prefere, cela fait moins russe.

Approchez vous. Vous etes torse nu et j'ai moi même froid alors autant que je serve a quelque chose. Je vais sans doute avoir de la fievre bientot comme ça je pourrais vous rechauffer.

Invité

Il gardait son visage au dessus de celui de cette femme qu'il trouvait involontairement très jolie, mais il y avait juste pensé un très court instant, car ce qui le préoccupait totalement en ce moment c'était la survie de cette femme, il se devait de la sauver, et le fait qu'il ne la connaissait pas le moins du monde ne changeait rien à cela. Il fallait qu'il la sauve un point c'est tout! Il était hors de question qu'il parte, il resterait le temps que les secours arrivent. Il l'entendit émettre des gémissements de douleur, surtout lorsqu'il lui banda sa plaie. Et encore après par moment il l'entendit à nouveau et cela l'inquiétait encore plus. Son obsession était qu'elle reste éveillé, si elle s'endormait ses chances de survivre seraient vraiment moindres. Et il voulait tout faire pour qu'elle ait le plus de chances de s'en sortir, lorsqu'il continuait de la regarder dans les yeux, il se dit qu'elle avait des yeux vraiment magnifiques. Mais ce genre de pensée s'effacait presque immédiatement vu la situation dans laquelle ils étaient. Il lui sourit lorsqu'elle lui dit qu'il allait salir sa veste et la rassura en lui disant avec un sourire le plus rassurant possible.

Ne vous inquiétez pas, une veste ca se rachète, contrairement à une vie. Et je ferai tout pour que vous vous en sortiez, d'ailleurs on s'en sortira tous les deux, il n'y a pas de raisons pour que ca se passe mal, je suis là, et puis quelqu'un ne tardera surement pas à nous trouver, tout se passera bien.

En réalité il essayait de la rassurer autant qu'il essayait de se rassurer lui même. Et il remarqua également dans la voix de cette jeune femme un accent russe, ce qui lui donnait du charme, se dit il. Mais comme toutes ces pensées futiles il n'y pensa qu'un très court instant. Il resta donc avec son visage au dessus du sien, ainsi elle s'appelait Léna, enfin Elenia, il trouvait les deux très beau. Il continua donc cette discussion qu'elle avait entamé, il était triste qu'elle s'en veuille, car elle n'avait absolument rien fait de mal, il s'était dirigé pour l'aider de son propre chef, elle n'avait strictement rien à se reprocher. Et puis il n'allait pas la laisser tomber. Il lui souria et lui dit alors pour la rassurer et la mettre à l'aise, afin qu'elle pense à autre chose, et surtout qu'elle reste éveillée.

Oui c'est la meilleure solution pour nous deux. Et vous n'avez absolument rien à vous reprochez, j'ai décidé de venir vous aider de ma propre décision et j'assume ce choix pleinement, il est hors de question que je vous laisse dormir. Et puis c'est très joli comme prénom Elenia, moi aussi je préfère Léna, ca vous va bien, et puis si vous préférez qu'on vous appelle comme ca. On pourrait se tutoyer non, Lena.

Il aimait beaucoup ce prénom, c'était très joli, ca faisait presque chantant comme prénom. Il l'entendit à nouveau gémir de douleur, il posa alors sa main sur une joue de Lena afin d'essayer de la calmer, enfin même s'il savait que ca ne calmerait pas la douleur, il essayait tout de même désespérément. Il avait vraiment peur pour elle, il était terrifié à l'idée qu'elle puisse mourrir dans ses bras, il rejetait cette idée de sa tête à chaque instant. Tout comme ce désir qu'il commencait à éprouver pour elle, c'est vrai qu'on voyait presque tout son soutien gorge et qu'en pansant sa jambe, il avait entrevu sa culotte, et puis elle était terriblement belle et charmante. Et lorsqu'elle lui proposa de se coucher sur elle pour qu'ils se réchauffent mutuellement, elle avait raison c'était une bonne idée, mais il hésita tout de même un moment, puis il se coucha sur elle en posant sa veste sur son dos à lui. Il sentait la poitrine de Lena contre son torse. Et puis son visage n'était désormais plus qu'à quelques centimètres du sien, ce qui était un peu troublant pour lui, c'était un dragueur mais il ne voulait pas profiter d'une femme blessée cela le dégoutait. Il essaya de la rassurer en prenant à nouveau ses joues dans ses mains en lui disant.

Non, tu n'auras pas de fièvre, et tu vas t'en sortir, tout va bien se passer, d'accord. Tu n'auras pas de fièvre, tout ira bien. D'accord, je te propose de continuer notre discussion, ca nous évitera de se poser trop de questions et de s'inquiéter, d'accord? Alors, qu'est ce que tu fais dans la vie?

Invité

J

Nillem

Je crois qu'il n'y a que toi qui t'inquiete ici. Alors calme toi. Ca va aller. Même si j'ai de la fievre ce ne sera pas grave OK ? J'en ai deja eu et je n'en suis pas morte. Quelqu'un va venir nous chercher bientôt et je m'en sortirais. Et tu pourras m'emmener boire un café d'accord ?

Mannequin, je suis mannequin.

Et toi ?

Invité

Jude était terriblement confus, à chaque qu'il essayait de la rassurer il ne se rendait pas compte que la seule personne qu'il essayait de rassurer, c'était lui même, et personne d'autre car Léna était très calme. C'était d'ailleurs étrange, à sa place il aurait été plutot inquiet et stressé, au moins un petit mais elle était on ne peut plus calme. Dans cette position plutot tendancieuse, on peut le dire, il ressentait de plus en plus de désir pour elle. Il essayait de chasser cela de son esprit, mais la position dans laquelle ils étaient n'aidait absolument pas. Et puis à force de la regarder, il la trouvait vraiment belle, ses yeux dans lesquels il se plongeait était presque hypnotisants. Il avait une terrible envie d'embrasser ces lèvres se trouvant à peine à quelques centimètres des siennes. Mais au moins, comme ca il avait plus chaud, car c'était vrai qu'il faisait un peu froid. Et puis rien de plus chaud que la chaleur humaine. Il gardait ses mains sur les joues de cette femme fortement blessée. Il avait terriblement peur de la perdre, qu'elle meurt dans ses bras, il s'en serait voulu éternellement si elle venait à mourire là dans ses bras. Et il s'en voulait surtout de penser à des choses sexuelles, ce n'était vraiment pas le moment, mais c'était plus fort que lui, il ne pouvait s'en empêcher.

Il l'entendit prononcer un nom, Nillem, apparemment pas vraiment pour lui, plutot pour elle, surement que cet homme devait être quelqu'un à qui elle tenait vraiment pour penser à lui dans ces circonstances. C'est vrai que c'est dans ces instants qu'on comprend qui nous est vraiment cher, dans ces moments ou notre vie bat de l'aile et ou on se rend compte de ce qu'on va perdre, de ceux qu'on laissera derrière nous, et surtout de ceux qui nous sont les plus chers. Il eut même l'impression à un moment de ressentir quelque chose pour Léna, il devait surement se tromper, et puis ce Nillem devait surement être son petit ami, pas son mari, elle était trop jeune pour être marié, surtout qu'à cetté époque, peu de gens se mariaient encore, et quand ils se mariaient c'était plutot tardif. Ses pensées étaient partagées entre la peur, le désir, et un sentiment étrange.

Et en fait c'est lui qui le calmait, il se rendait enfin compte que c'était lui qui était stressé, et pas elle, qu'il n'essayait pas de la rassurer, mais seulement de se rassurer, il lui sourit. Car d'un côté, c'était amusant, c'était elle qui était souffrante, et elle le rassurait, plutot cocasse comme situation. Il lui sourit pendant un moment et finit par lui dire, cette fois ci, bien calme et posé.

Tu es quand même exceptionnelle comme fille, c'est toi qui souffre et pourtant c'est toi qui me rassure. Je fais un bien piètre sauveteur en fin de compte. Et quand tout sera fini, évidemment que je t'emmènerai boire un café, je suis sûr qu'après coup on en rigolera. Et puis, j'espère qu'on pourra devenir ami, et le rester.

Il fallait vraiment qu'il se calme, qu'il arrête de penser à son désir qu'il avait pour elle en ce moment, c'est vrai que c'était difficile dans une position comme ca, mais quand même! Il était sur une jeune femme souffrante, ce serait presque abuser d'une grande blessé, c'était vraiment ignoble. Sauf peut être si elle aussi ressentait un quelconque désir, et dans cette position elle devait peut être en ressentir si Jude avait su la charmer avec son charme habituel. Il essaya d'effacer ses penser au plus vite, c'était pas le moment, un point c'est tout, il n'allait pas lui sauter dessus, ni l'embrasser, c'était pas du tout le moment le plus adéquat pour faire quelque chose comme ca. Mais il n'empechait que son corps devenait de plus en plus chaud, et apparemment celui de Léna également. Elle lui dit qu'elle était mannequin, il se dit que continuer leur conversation le ferait peut être oublier ce désir qui montait en lui. Il lui dit donc, avec un sourire.

C'est un chouette métier? Je veux dire, tu aimes bien ton métier? Parce que moi, vu de l'extérieur, j'ai toujours vu une compétition éternelle entre filles, et que les patrons vous utilisent un peu comme des objets, maintenant c'es l'impression que j'en ai de l'extérieur, je suis sur que, comme partout, il y a des gens biens dans ce métier.

C'était pas possible il n'arrêtait plus d'y penser, il n'en pouvait plus, c'était horrible il fallait absolument qu'il pense à autre chose, sinon il ne pourrait pas se retenir, il ne voulait pas le faire, il penserait qu'il abuserait de Léna, et ca il ne le voulait pas. Ensuite elle lui demanda ce que lui faisait comme métier, il lui dit alors toujours en souriant.

Moi je suis musicien, chanteur, et compositeur.

Il devait penser à autre chose, absolument, et il n'allait pas non plus lui demander si elle aussi était dans le même état que lui, ca aurait été plus que déplacé. Franchement, il se voyait mal lui proposer de se faire une petite partie de jambes en l'air en attendant les secours.

Invité

I

Huum, Nillem est juste un ami d'enfance. Je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça. Je ne l'ai juste pas revu depuis très longtemps. Il ... il est resté en serrement de dents Russie.

Si je reste en vie on ne pourras pas dire que tu es nul comme sauveteur. Et puis franchement, moi je trouve que tu es très bien, je n'aurais pas pu trouver mieux.

Pour moi, nous sommes deja amis !

C'est un métier comme un autre. Il y a toujours des personnes qui essairont de vous detruire, certain milieu sont justes plus peuplé par ce genre de personne. MAis j'aime ce que je fais.

( dans des cas critique la mort revient souvent au centre des pensées)

Invité

Il fut touché qu'elle s'explique à propos de ce Nillem, elle devait surement penser qu'elle l'avait vexé, mais à vrai dire non, pas vraiment. Mais il trouvait quand même cela touchant, il lui dit donc.

Tu n'as pas besoin de te justifier, tu sais Léna. C'est ta vie, et tu n'as pas de compte à me rendre, mais c'est quand même touchant de ta part.

En fait il trouvait cette femme assez extra-ordinaire, tout chez elle était singulier et surtout son calme, il avait l'impression de se sentir bien au dessus d'elle, pas sexuellement, mais en paix. Cela n'empêchait pas que ce noeud qui se nouait dans son ventre restait, cette angoisse de la perdre, qu'elle trépasse là dans ses bras, il n'aurait probablement jamais pu s'en remettre, et puis il n'était pas aveugle. Il voyait bien que chacun de ses sourire ressemblait plus à un rictus, sûrement à cause de la douleur, elle devait souffrir le martyr. Il aurait aimé tout faire pour apaiser sa douleur, mais à part panser sa blessure il ne pouvait rien faire d'autre, car il n'avait rien pour le faire, et puis même s'il avait quelque chose, il n'était pas médecin, donc il n'aurait pas pu s'en servir. Et il eut l'impression de sentir une tristesse lorsqu'elle prononca le mot Russie, il se demanda pourquoi. Rejetait elle ses origines, ou bien ressentait elle tout simplement beaucoup de tristesse à repensant à cet ami qui était resté si loin d'elle pendant si longtemps. Au fil des instants qui passait, il avait l'impression de trouver Léna de plus en plus belle, et sa peau de plus en plus douce et agréable au toucher. Ce sentiment était bien étrange, il ne l'avait jamais ressenti auparavant, et cela le troublait énormément, il n'arrivait pas à mettre de mot la dessus, ni à le définir.

Mais en plus de cela, il avait terriblement envie d'elle, ces pensées revenaient sans cesse à la charge de son esprit en essayant de briser sa bonne conscience, mais il faisait tout pour tenir bon. Il avait trop peur de se trouver ignoble s'il craquait, il aurait profité d'elle, d'une jeune femme blessée à l'agonie, et il n'aurait jamais pu se regarder dans une glace. Cette journée serait quand même mémorable. S'il racontait cela à des gens, qui dit qu'ils l'auraient cru, mais de toute facon, ils n'auraient sûrement pas envie d'en parler, car Jude était plutôt quelqu'un d'humble, c'est vrai que sa popularité ne lui déplaisait pas, mais il ne voulait pas non plus profiter du malheur de cette femme pour augmenter sa popularité, non, c'était complètement inhumain. Et malgré toute sa popularité, il se considérait comme tout le monde, comme un homme, il n'était pas différent des autres, mais c'était son métier, et surtout sa passion de partager sa musique à un public. Ce sentiment d'union qu'il ressentait lors d'un concert était inégalable, il ne pourrait jamais s'en passer.

Ce qu'il trouvait absolument remarquable de la part de Léna, c'était qu'elle était complètement calme, il n'arrivait pas à concevoir qu'elle puisse être aussi calme alors qu'elle était peut être en train de mourrir. Il ne pouvait s'empecher de trouver cette femme vraiment hors du commun. Proposer ainsi sans arrière pensée à un homme de venir se coucher sur elle pour se réchauffer, il n'osait pas lui demander si elle avait d'arrière pensées. Mais lorsqu'ils se seraient sortis de ce pétrin, il le lui demanderait, après coup, on en parle souvent plus tranquillement. Car il ne voulait pas imaginer qu'elle puisse mourrir, c'était hors de question, il essayait de se persuader que tout se passerait bien. Et ce qui l'aidait le plus dans ce sens, c'était le calme de Léna, et puis ces sourires, ou plutot ces rictus, à cause de la douleur, le faisait se sentir tout à fait calme et bien.

Il rigola de bon coeur lorsqu'elle lui dit que si elle s'en sortait, on ne pourrait pas dire qu'il est nul comme sauveteur. Et voila en plus qu'après elle se mettait à le draguer, alors elle aussi pensait à ce genre de chose, en même temps c'était inévitable, un homme et une femme normalement constitués ne pouvaient être l'un sur l'autre sans penser à cela. Il lui dit alors pour lui faire comprendre qu'il avait compris le message avec un sourire charmeur.

Et moi je n'aurais pas pu trouver plus belle victime à sauver, entre nous.

Il fut content juste après de l'entendre dire que pour elle ils étaient déja amis, décidément, la plupart des mots qui sortaient de sa bouche savaient le touché avec une précision assez impressionante, elle était touchante, ce sentiment étrange commencait à devenir de plus en plus fort et de plus en plus clair, mais qu'est ce que c'était, il n'arrivait toujours pas à l'identifier, lui donner un nom, ou même l'expliquer. Il lui sourit amicalement et lui dit alors avec joie.

Et bien, alors, je suis heureux de te l'entendre dire, Léna mon amie.

Elle souria à nouveau et à nouveau ce sourire fut transformé en rictus par la douleur. Il avait presque mal pour elle à chaque fois. Il voulait tellement l'aider mais à part rester sur elle pour la réchauffer, il pouvait difficilement faire plus que ca. Ce corps chaud contre le sien l'obsédait, comment était il capable de ne pas craquer, il ne savait pas, mais il tenait bon à tout prix. Car il ne voulait pas céder, il avait également peur, que s'ils le faisaient elle se fatigue trop et perde trop de forces dont elle avait besoin pour combattre la douleur et le sommeil.

Apparemment elle adorait son métier de mannequin, il lui sourit lorsqu'elle en parla, car il était juste content pour elle. Après tout, c'était le plus important dans la vie, pouvoir faire le métier qu'on aime. Et si c'était son cas, alors tant mieux. Il lui dit cela alors toujours avec ce sourire presque béat content pour elle.

Et bien, si tu aimes ce que tu fais, après tout, c'est le plus important, je suis content pour toi. Et vu comment tu t'habilles tu as l'air de percer dans le milieu, c'est une bonne chose.

Il ressentait de plus en plus d'affection pour cette femme. Elle était si touchante, si extra-ordinaire, si belle et délicate. Et son charme, il en était carrément sous hypnose, enfin presque. Il ne savait pas ce qui lui arrivait, mais cela lui plut. Il fut un peu pris à contre pied lorsqu'elle posa sa main sur sa joue et approcha son visage encore plus du sien, Jude était complètement dépassé, ce sentiment qui s'emparait de lui petit à petit, en la regardant dans les yeux à cet instant était littéralement en train d'exploser en lui. Et puis elle vint poser ses douces lèvres contre les siennes. A ce moment un mot apparut clairement dans sa tête, l'amour. Il avait l'impression d'être tombé amoureux de cette femme, mais il ne voulait pas rompre ce silence. Il resta donc contre ses lèvres un moment, puis lorsqu'il se détacha, il la regarda intensément dans ses yeux si magnifiques, et lui donna un nouveau baiser tendre et surtout amoureux. Il était dépassé par ce sentiment, c'était bien la première fois que ca lui arrivait. Il commenca à caresser ses joues sur lesquelles se trouvaient ses mains, tout en continuant à l'embrasser, il se mit même à l'embrasser langoureusement en allant à la rencontre de sa langue à l'aide de la sienne.

Invité

D

Eh les gars ils sont là !!

Tu es un héros mon p'tit gars, tu lui as sauvé la vie !

Ne vous inquietez pas mademoiselle. Vous etes hors de danger maintenant.

Invité

Jude était dans un état de bonheur qu'il n'aurait jamais imaginé. Léna était une femme inimaginable, elle était même LA femme, elle lui faisait ressentir des choses qu'il n'avait jusqu'alors même pas imaginé en rêve. Elle le comblait rien qu'en lui offrant un baiser. Il avait l'impression que ces baisers lui donnait la force de surmonter n'importe quel obstacle, qu'à ses côtés il pourrait aller n'importe ou. Mais avec elle, sa présence était devenu comme la condition primordiale à son bonheur, il était vraiment fou amoureux d'elle. Il avait toujours rigolé des autres couples fidèles quand ils parlaient d'amour. Il n'avait jamais réussi à comprendre le sens de leur paroles, cela lui paraissait futile. Il ne comprenait pas comment se suffir d'une seule femme. Mais là tout était clair il comprenait tout en cet instant, couché contre Léna, cette femme qu'il aimait. Il était si heureux de la connaitre, même si elle serait passé près de la mort pour ca, il ne regrettait rien. Il voulait lui dire tout cela, alors il commenca par lui dire avec tout cet amour nouveau qui venait de naitre en lui.

Léna, je sais que ce n'est pas vraiment le moment, mais...je crois que...je t'aime. Comme je n'ai jamais aimé aucune autre. Avec toi je suis heureux, le plus heureux qui puisse exister. Je n'ai jamais ressentit quelque chose de semblable auparavant. Donc c'est assez difficile à expliquez.

Il s'arrêta, Léna avait une mine bizarre, elle semblait comme se poser des questions, et elle lui donna un baiser qu'il prit comme un accord par rapport à ce qu'il venait de dire, et lorsqu'il releva la tête, elle avait les yeux fermés, en un coup une peur inimaginable s'empara de tout son être, elle ne pouvait pas le laisser, pas après ca, non, c'était impossible, c'était injuste.

Léna! Léna tu m'entends? Léna! Ne t'endors pas! Je t'en supplie, pas maintenant! Tu ne peux pas t'endormir, tu ne peux pas! S'il te plait Léna! Je t'aime! Léna...

Quelques minutes à peine après il entendit des bruis de pas et des cris, les secours étaient enfin arrivés, ils déboulèrent à leur coté, il se retira de Léna qu'ils mirent sur une civière, Jude était terriblement inquiet. Il ne savait plus quoi faire, les professionels étaient là, il n'avait plus rien à faire. Il la regarda partir sur la civière jusqu'à l'ambulance. Alors qu'un secouriste lui dit qu'il était un héros, il eut juste la force de répondre.

C'était normal. Mais au bout du compte je ne sais pas si c'est moi qui l'ai sauvé, ou bien si c'est elle qui m'a sauvé...

Le secouriste le regarda bizarrement, ne comprenant pas vraiment ce qu'il disait il lui demanda d'être plus clair, il dit tout en continuant de regarder Léna sur la civière en continuant de lui sourire.

Non, laissez tomber, ca doit être la fatigue. Je dis n'importe quoi.

Il n'avait tout simplement pas envie de s'expliquer, il regarda l'ambulance repartir, puis il se demanda ce qu'il allait faire. Et en un coup il se tourna vers le secouriste avec qui il avait parlé et il lui demanda ou allait l'ambulance, à quel hopital. Il devait savoir si elle allait survivre, cette femme était devenu primordial à sa vie, non elle était sa vie en fait. Une fois qu'il le lui dit, il courra à travers les bois à toutes jambes, il était venu à pied jusqu'au bois, il courrut donc, n'ayant aucun argent sur lui, jusqu'à l'hopital. Il ne s'arrêta pas, il était animé par quelque chose de nouveau, cet amour indestructible. Jamais il ne la laisserait tomber, cette femme était celle que le destin lui avait donné, et il prendrait soin d'elle comme de sa propre vie...

FIN DU TOPIC

Invité

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DEUX SEMAINES PLUS TARD

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Invité

S

Invité

Jude n'avait pas passé une seule journée, pas un seul instant sans penser à Léna, à cette femme si extra ordinaire, si unique, si belle, si touchante. Chaque jour il se remémorait chaque moment de ce jour qui était pour lui le plus beau de tous ceux qu'il n'avait jamais vécu. Il connaissait bien les femmes, par le passé, il eut de nombreuses, très nombreuses conquêtes. Mais lorsqu'il pensait à elle, toutes ces autres filles et sa relation avec chacune d'entre elle qui ne fut jamais de longue durée si futiles et insignifiantes par rapport à tout ce qu'il ressentait pour Léna. Elle représentait à ses yeux un ange tombé du ciel que le destin avait mis sur sa route. Il était incapable d'oublier ce contact de ses lèvres contre les siennes, et surtout il ne voulait pas oublier ce contact. Tout comme sa peau si douce, ses yeux si lumineux, son nez si fin et gracieux, ses cheveux lisses aussi envoutant que des vagues d'eau de mer.

Chaque jour il avait été à l'hopital déposé des fleurs pendant son sommeil. Chaque fois des fleurs différentes, mais toutes les plus belles les unes que les autres. A chaque fois il venait tard le soir et suppliait les infirmières de le laisser aller la voir, utilisant parfois de ses charmes, au début. Et à chaque fois elles acceptèrent, après plusieurs jours, elles le laissaient faire sans problème, sachant pertinnemment qu'il ne partirait pas avant qu'il ait pu la voir. Quand il était dans sa chambre, il restait asses pendant au minimum une heure, passant sa main dans ses cheveux et sur sa joue pour se souvenir de cette peau si douce. Et quand il partait il lui laissait un baiser sur le front. Il n'osait pas venir en journée. Car il avait peur, oui peur qu'en réalité elle ne l'ait embrassé que parce qu'elle voulait profiter ce qui aurait pu être ses derniers instants. Il avait peur de n'avoir été que l'objet de ses désirs et rien de plus. Cela lui aurait fait tellement mal de savoir qu'il n'aurait que ca et rien de plus, c'est pour ca qu'il ne venait que la nuit, car il ne voulait pas savoir.

Et chaque jour, il prenait un peu de temps pour aller se balader dans les alentours du lieu de leur rencontre. Il était si heureux de se souvenir de tout ces moments ou il était contre elle, de ces baisers qu'ils s'étaient échangés avec tant de tendresse et de simplicité. Cette proximité entre eux qui s'était créé, ces sentiments qu'il avait ressentit pour la première da sa vie entière! C'était émouvant pour lui rien que de se rappeler cela. Et donc il était dans la forêt lorsqu'il apercut Léna au loin, il se cacha donc derrière un arbre. Il avait trop peur de cette question, de savoir si il n'avait été que celui avec qui elle profiterait de ses derniers instants ou pas. Il la vit s'asseoir, en étendant sa jambe, apparemment elle était toujours un peu blessé. Ensuite elle se coucha, il ne put s'empecher de se remémorer ces moments ou ils étaient l'un sur l'autre. Après avoir pris son courage à deux mains, il sortit de sa cachette et une fois qu'il ne fut qu'à quelques mètre d'elle il dit.

Je pense que tu devrais être en train de te reposer au lieu de prendre l'air comme ca. Il faut prendre soin de toi.

Invité

L

Et si je n'ai pas envie de prendre soin de moi. Si j'ai plutôt envie de profiter de cette journée qui s'annonce radieuse pour faire un tour dans cette forêt ? Il ne me semble pas que ce soit une mauvaise chose .

Au contraire.

Au fait, je crois que je peux t'arranger un coup avec l'infiermiere blonde de mon service, je crois qu'elle t'aime bien .

Invité

Jude se sentait si bien d'être en présence de Léna. Il était l'homme le plus heureux, le plus comblé qui puisse exister. Il avait l'impression de sentir naitre en lui une force qui pourrait l'aider à surmonter n'importe quel obstacle, et à la protéger de n'importe quel danger, même les pires. Il avait l'impression de ressentir ce sentiment de plénitude à ses côtés, que pour la première fois, il était vraiment lui, il pouvait être vraiment lui. Avec sa sensibilité, sa tendresse. Il aimait Léna, il le savait, il n'avait jamais aimé avec autant de force et de passion aucune autre femme auparavant, aucune autre ne pouvait être aussi belle, aussi touchante, aussi drôle, aussi charmante, aussi grâcieuse. Même dans ces vètements qu'elle portait, un short et un pull over, il la trouvait gracieuse. Quoi qu'il se passe, il serait toujours là pour lui, et jamais il ne laisserait tomber, comme l'autre jour, il y a deux semaines. Il voulait savoir si elle ressentait la même chose pour lui, il devait savoir. Cette question l'obsédait, presqu'au point de hanter ses nuits. Mais il y avait elle pour empêcher cela, durant les moments ou il doutait le plus ces derniers jours, il pensait à Léna, et tout allait mieux en quelque secondes. Elle était un peu son étoile, ce rayon de lumière qui éclairait son coeur dans les moments sombres. Même lorsqu'elle n'était pas là! Juste le fait qu'il sache qu'elle existe et qu'elle ait survécu le rendait heureux.

Et puis ce cadre naturel qui les entourait était si parfait. Ces petits bruissements de feuilles du à ce doux vent d'hiver qui venait rafraichir leur peau alors qu'ils pouvaient entendre également les différents bruits de certains animaux au loin qui animait cette forêt, comme des criquets, ou des mésanges. Tout était fait, selon son impression, pour que ce moment soit parfait. Il ne pouvait désormais plus imaginer sa vie sans la présence de Léna, elle était devenu même plus, elle était sa vie. Il doutait de moins en moins en cet instant. Car il est vrai que durant ces deux dernières semaines, il aurait donné cher pour être dans sa tête, pour entendre ses pensées. Il se demandait si elle avait pensé à lui, et ce qu'elle pensait de lui, ce qu'il représentait pour elle, il rêvait la nuit de ce contact de leur corps mélés l'un à l'autre, avec la peur que cela soit l'unique moment ou ils auraient été ainsi si proche. Il continua à s'approcher d'elle, en l'écoutant lui dire qu'au lieu de se soigner c'était mieux encore de se promener dans cette forêt. Il fixait ses yeux, ces yeux dans lesquels il voyait à la fois tout et rien. Il vit surtout ces étincelles briller dans ses yeux, des étincelles presque magiques.

Il sourit largement lorsqu'elle lui annonca qu'elle pouvait lui arranger le coup avec l'infirmière blonde de son service. Celle à qui il avait fait du charme pour qu'elle lui permette d'entrer chaque soir dans la chambre de Léna. Il sourit de plus en plus fort pour éclater de rire en même temps qu'elle. Il s'arrêta ensuite de rigoler, et vit qu'elle lui proposait silencieusement de venir s'asseoir à côté d'elle, comment pouvait il refuser une telle invitation. Il alla donc s'installer à ses côtés et lui dit avec ce sourire béat d'amour.

Alors les fleurs t'ont plu? Je m'y connais pas trop en fleurs, j'ai un peu choisi instinctivement.

Si elle ne le savait pas encore, il voulait qu'elle sache que c'était lui pour les fleurs, il se mit à la regarder dans les yeux sans quitter ce regard, ce regard qui l'hypnotisait. Il l'aimait avec une telle force, il avait presque envie de pleurer de bonheur. Il ne manquait plus rien désormais à son bonheur en cet instant. Ild débordait de bonheur et d'amour, il avait envie de lui caresser les cheveux de poser sa mains sur sa joue, mais surtout il avait terriblement envie de lui donner un baiser, comme ce jour là. Mais il n'osait pas, il continuait de la regarder donc avec ce même sourire en attendant sa réponse. Il se souvenait des mots qu'il avait dit au secouriste qui l'avait féliciter, il s'était demandé si au final, ce n'était pas elle qui l'avait sauve. Car c'est elle qui avait éveillé en lui cet amour qu'il navait jamais ressenti auparavant, ce sentiment qu'il estimait qu'en fin de compte tout le monde avait droit de le vivre. C'était dans ce sens là qu'il pensait qu'elle l'avait sauvé.

Invité

L

__________*

Merci .

Hakuna Matata ....

Elles étaient ... parfaites.

Qu'est-ce que tu m'as dit, juste avant notre baiser ?

Invité

Pour la première fois dans sa vie, il se sentait lui, comment dire, il pouvait se dire la phrase "j'existe" en y croyant, il avait un but désormais sur cette terre, et une place, la place qu'il devait occupé. Et sa place était aux côtés de Léna, cette femme si unique, si différente des autres pour qui il ressentait des sentiments si forts, si sincères, des sentiments que jamais il n'avait ressenti pour personne auparavant. Un amour indestructible qui les aiderait à toujours aller de l'avant, côte à côte. Un amour qui les aiderait à rester unis dans les pires moments, un amour qui les aiderait à surmonter, ensemble, n'importe quel obstacle. Mais surtout un amour unique qu'il chérirait plus que sa propre vie, car cette femme était désormais sa vie, dans le sens que sans elle, il ne serait plus rien, ansi elle était devenu sa vie, et il ferait tout pour ne pas la perdre, ne pas la décevoir, ne pas la faire pleurer, ne pas la délaisser, ne pas la faire se sentir seul, ne pas la laisser tomber dans les moments difficile. En deux mots, il l'aimerait pour toujours.

Ceux qui connaissaient Jude ne le croirait sûrement pas, pour eux cela devait être inimaginable que le Jude qu'il connaisse puisse rester tranquille toute sa vie avec une seule femme, et c'était vrai, ce Jude là en serait incapable. Mais il n'était plus le même, cette journée avait fait de lui un autre homme, comme tout changement, durant ces deux semaines il avait eu un peu de mal, mais le bonheur qu'il y avait en parallèle était si intense, que ca en valait le coup. Et puis, il n'était plus possible de faire marche arrière, l'ancien Jude était mort, il faisait partie du passé, une nouvelle vie s'offre à lui à présent avec Léna, cette femme dont chaque parcelle de son corps, chaque attitude le fait craquer et lui met du baume au coeur. Rien qu'un sourire, ou un regard, ou juste un mot, et il se sentait aux anges. Elle avait une emprise infinie sur lui, et dont elle ne s'imaginait probablement même pas à quel point. Mais était ce le cas pour lui aussi par rapport à elle? En la regardant, il comprit, c'était oui, elle partageait ce sentiment, oui, ces étincelles dans ses yeux. Aucune doute possible, il avait compris rien qu'en la regardant. Lorsqu'elle lui dit "merci", il ne dit rien, et sourit tout simplement, il n'avait pas besoin de parler, car tous les sentiments qu'il éprouvait, elle l'avait mis dans ce mot, il profitait de cet instant si joyeux et plein de bonheur

Il la vit poser sa tête sur ses jambes, il sourit, la regarda pendant quelques secondes et posa sa main sur son front, en commencant à passer sa main dans ses cheveux si agréables à toucher et à les caresser. Ils étaient bien là, ces deux jeunes gens si euphorique de s'aimer mutuellement, ils ne se l'étaient même pas avouer, mais ils l'avaient lu dans les yeux de l'autre. Cela pouvait paraitre étrange, mais c'était pourtant vrai. Il ne quittait plus son regard des yeux, captivés par ces deux étincelles de lumière. Tout ce bonheur qui flamboyait en lui, c'était vraiment de l'euphorie de bonheur, quelque chose qu'on ne peut expliquer sans l'avoir vécu. Il lui sourit à nouveau lorsqu'elle finit par lui dire après avoir cherché ses mots que les fleurs qu'il lui apportait chaque nuit étaient parfaites. Cela le touchait, chaque complliment qui venait d'elle avait un impact surdimensionné, comme si il avait plus de valeur en venant d'elle qu'une autre. Il ne dit rien, car tant que possible, il voulait préserver ce silence si apaisant, et cette atmosphère si magique qui s'était créé entre eux.

Il fut surpris qu'elle lui demande ce qu'il lui avait dit avant leur baiser, ne s'en souvenait-elle pas? Une angoisse commenca à lui nouer l'estomac, il prit quelques secondes pour respirer, et en fait sa peur partit en la regardant dans les yeux, comment pouvait il douter que ses yeux là lui portait un amour de la même nature que le sien à son égard. Il lui dit donc avec tout cet amour dans la voix, et avec un sourire béat de bonheur.

Juste avant que l'on partage ce dernier baiser, je t'ai dit que je t'aimais comme je n'avais jamais aimé aucune autre femme auparavant. Mais avec un peu plus de mots, car c'était tout nouveau pour moi à ce moment, maintenant aussi, mais j'ai eu un peu le temps pour m'habituer à ce sentiment.

Il se souvenait parfaitement de cet instant, cet instant ou il était passé d'une joie considérable à la pire des angoisses qui puissent exister!

Invité

C

Je crois que personnellement je m'y habitue plutôt bien !

Invité

Chacune des secondes qui passaient en cet instant aux côtés d'Elenia était comme un don tombé du ciel, il n'avait besoin de rien d'autre. Elle était comme un ange resplendissant de lumière descendu juste pour le combler, et rien que d'exister, cela le comblait et le rendait l'homme le plus heureux qui soit! Sa vie prenait une toute autre tournure, une tournure si inattendue, comment pourrait il avoir la même vie désormais, ce jour marquait pour lui pas seulement un changement, mais le début d'une nouvelle vie, une vie de fidélité et d'amour, tant d'amour! Tout chez elle était au dessus de l'humain, tout était si merveilleux chez elle, son sourire, ses yeux, son nez, ses cheveux, son menton, tout, elle était la pièce manquante du puzzle de sa vie, et ce puzzle était désormais complet. Il ne pouvait plus imaginer une seule seconde sa vie sans elle à ses côtés. Jude n'aurait jamais été capable d'imaginer passer sa vie avec une seule femme, et pourtant cela allait se produire, la seule dont les mots le toucheraient, la seule qui pourrait l'émouvoir avec tant de force, la seule qui le comblait en somme, c'était elle.

Plus aucune autre de ses expériences avec d'autres femmes ne lui semblaient avoir de goût, et il avait confiance en eux deux, en ce qui se passerait dans leur relation, car il ne pouvait rien concevoir qui puisse les séparer, la vie ne serait pas des plus facile, mais ensemble ils pourraient surmonter n'importe quel obstacle! A deux, tout lui pensait réalisable, avec cette amour qui se déversait en lui depuis les yeux de cette femme qui était devenu le centre de sa vie, non, qui était devenue sa vie, tout lui paraissait possible, dans sa tête, une mélodie se formait, une mélodie gracieuse, envoutante, douce, tendre et romantique. Elle lui inspirait des sons auquels il n'aurait jamais pensé, elle était en train de devenir sa source d'inspiration, sa muse. Ses chansons précédentes lui paraissaient fades en y repensant comparé aux sons qui lui venaient en tête à cet instant, ce n'était plus le même rock, cela restait du rock, mais tellement plus intense, plus joyeux, plus positif dans les paroles, plein d'espoir! Plus rien n'avait le même gout dans cette nouvelle vie qui s'annoncait.

Et puis, chose qu'il attendait depuis pas mal de temps, elle releva légèrement la tête, puis posa ses mains derrière sa nuque, pour déposer sur ses lèvre un baiser si intense, il était pourtant très simple, mais les sensations qui traversèrent son corps étaient si fortes, si agréables! Un torrent de bonheur et d'amour se déversait en lui, il posa également ses mains dans sa nuque, profitant de ce baiser si extra ordinaire, de ses lèvres si délicates au toucher, si uniques! Elle n'était pas un ange tombé du ciel, mais une déesse qui lui était dévouée corps et âme et à qui il aurait tout donné, même sa propre vie! Cela paraissait dérisoire à côté du bonheur qu'elle lui offrait, il en aurait presque pleuré de joie tellement ce baiser tant attendu lui procurait de sensations qu'il n'avait jamais ressenties auparavant. Après qu'elle se libère de leur étreinte, elle le regarda en lui disant avec un sourire qu'elle s'y habituait plutot bien à leur amour, il lui sourit, elle savait vraiment trouver les mots pour le toucher. Elle était tout simplement la femme de sa vie. Et il lui dit alors avec un sourire semblable au sien.

En tout cas, ca aide à s'y habituer plutot rapidement.

Lui dit il en parlant bien entendu de leur baiser, après il la regarda droit dans les yeux et lui dit avec tous ces sentiments qui tourbillonaient en lui, car il voulait lui dire cette phrase, et uniquement cette phrase quelle n'avait pas entendu la dernière fois, surement parce qu'elle devait être au bord de l'évanouissement ou du coma.

Je t'aime Léna.

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