Shoot' manqué. - [PV K.]

Je n'aime pas la ville. Je n'ai jamais aimé la ville. Ô, que le bruit des gens qui papotent dans la rue est agréable, que l'odeur des poubelles qui trainent sur les trottoirs l'est aussi. Je n'ai jamais compris la volonté des gens à se presser tous les matins pour aller au travail, dans des métros bondés, dans des bus puants, et même dans les aires de repos. Quelle ironie. Malgré l'apparence agitée de la ville, ma vie ne l'était guère. Tous les jours, la même routine s'installait, et il était inutile de dire que je m'ennuyais. Les seuls moments de bonheur de ma journée ? Ceux où je pouvais chasser de mon esprit mon travail en lisant un livre. En parlant de ça, je ne suis pas très amateur de romans nouveaux, d’ouvrages commerciaux, de ce genre de choses. Ce que j'aime, c'est l’ancien. C'est pour cela que je n'aime pas trop les États Unis, et que je me voyais vivre dans un pays comme l'Angleterre ou encore la France. Tout y était raffiné. Tout y était beau. Tout y était élégant. Dans la ville, ce n'était que grands buildings sans aucune recherche architecturale et musique de banlieue. Enfin, le moment était bien mal choisit pour avoir ce genre de réflexions inutiles. Alors que le soleil éclatant affichait les premiers rayons mon portable sonna. Abattant brutalement ma main sur l’engin je m’en emparais et découvrait l’heure sur le petit écran digital ; 10H30 du matin. Je ne me pressai pas mais lorsque mon regard glissa sur la date j’eu un haut le cœur. Lundi ?! Sans y croire je me précipitais devant mon frigo et découvrais un post-it « Lundi à 10H25 rendez-vous à l’agence pour un shooting » . J’étais à la bourre génial ! Je me préparais vite fait, grimpais dans la voiture et empruntais la route de l'agence, grillant au passage quelques feu rouges. J'étais souvent en retard et je savais qu'on ne me dirait rien, cependant la séance serait finie et ils auraient trouvé un autre mannequin. Une fois garé je traversais le hall, prenais l'ascenseur et me rendais dans les vestiaires. Là, mon agent m'attrapa. « Encore en retard, c’est finit de toute façon, on a pris quelqu’un d’autre. » Enervé j'allais chercher une robe et me pressais dans une cabine pour l'enfilais, certes c'était finit mais j'avais le droit a un cadeau, je m'étais déplacé pour rien ! J'enlevais mes "fripes" et rentrais dans la cabine libre la plus proche. En plus cette robe était trés jolie, noire et courte.

La matinée avait était longue… Déjà que je n’apprécie pas me lever tôt, cette fois-ci j’avais dû faire un effort. En effet, l’agence de mannequinat pour qui je travaillais m’avait contacté la veille comme quoi j’aurais un photoshoot de sous-vêtement aujourd’hui, dès la première heure. Je m’étais donc levé assez en avance, de manière à avoir assez de tant pour me doucher et me préparer. Je m’étais habillé à la va-vite, enfilant un short en jean et une chemise rouge et blanche. J’avais les cheveux humides et détachés, de toute manière ils sècheraient sur le chemin. Je pressai le pas avec des converses basses et grises au pied, les talons se n’étaient pas tellement mon truc. Je quittai avec regret la plage pour me retrouvait dans un métro étouffant et loin d’être agréable. Mon employeur me fit essayer des dizaines de sous-vêtements différents, me bombardant de flash à la moindre occasion et en profitant sans doute pour un peu se rincer l’œil, mais cela m’étais bien égal. Plaire à un homme ne m’apportais aucune importance, les femmes sont beaucoup plus belles et attirantes avec leur courbes. Une heure après mon photoshoot était enfin terminé. Il devait être dans les alentours de 10h45 quand je me retrouvai dans le vestiaire, mon dernier essayage sur moi. Il s’agissait d’un ensemble noir à dentelle, à la fois sexy et sérieux. Je m’assis devant une glace afin d’arranger mon maquillage. Il me paraissait étrange que personne ne se trouve dans les vestiaires, jusqu’à ce qu’un bruit se fasse pour que je me rende compte de la présence de la délicieuse Summer.

Se retrouver en face d’un mannequin n’était pas offert à tout de monde. Et encore moins en face de Summer qui était pour moi, sans aucun doute la plus belle et la plus sexy des femmes de l’agence de mode de Los Angeles et autant vous dire que toutes les belles femmes s’y trouvait. Summer se rapprocha se moi pour me déposer un baiser sur ma joue, je souriais automatiquement suite à ce geste d’affection. Elle me salua ensuite par la parole et je n’attendis pas pour la saluer à mon tour. « Salut ». Je lui décernai le plus beau sourire que j’avais avant de scruter son corps de haut en bas. Je me retins presque de ne pas me lécher les lèvres tellement elle était attirante dans cette robe. Je n’eus pas le temps de réfléchir plus qu’elle s’empara déjà de mes lèvres en me donnant un baiser qui me rappela alors toutes les merveilleuses soirées passées en sa compagnie. Je mettais lever et elle passa son bras autour de ma taille. On faisait quasiment la même taille ce qui était à la fois agréable et pratique. Je déposai mes mains sur chacune de ses cuisses et les remontai par dessous la robe, touchant alors à sa splendide peau inimitable. J’arrêtai mes mains au-dessous de ses fesses pour le pas céder à la tentation. L’excitation montait déjà en moi devant un corps si fabuleux et une voix si douce. J’attrapai ses lèvres avec les miennes pour lui donnait un long baiser tendre que je n’avais aucune envie d’achever. Mes seins se pointaient de plaisir sous mon soutien-gorge mais je n’avais pas envie d’y aller trop vite, elle était si agréable à embrasser que j’aurais très bien pu rester comme cela toute une journée.

Je ne pouvais détacher mes lèvres des siennes, elles avaient une odeur si agréable et étaient d’une douceur incomparable. J’aurais pu en faire qu’une seule bouchée mais je voulais surtout en profiter. Le commentaire qu’elle me fit sur ma tenue ne pouvais que me faire plaisir. Un sourire malin s’afficha alors sur mon visage. Elle fit glissait une de ses mains le long de mon dos et l’autre sur mon ventre. Un frisson chaud traversa mon corps. Je l’embrassa de nouveau, mais cette fois-ci plus langoureusement et avec un petit plus de fougue. Une fois mes lèvres difficilement séparées des siennes je souris pour lui dire : « Tu préfères donc que je les enlève ? » Sans attendre de réponse je continuais de sourire de plus belle et je retirai habilement mon soutien-gorge, ma poitrine respirait enfin l’air frais. Je continuai en retirant ma petit culotte et je balançai le tout dans un coin des vestiaires. Je reporta mon regard sur Summer avant de demander d’une voix sensuelle : « C’est mieux peut-être ? ». Je posa une main sur son visage pour le rapporter au mien l’embrassant de nouveau en collant mon corps nu contre le sien, étrangement beaucoup trop habillé.

En quelques secondes elle fut nue comme un ver, apparemment elle n’avait pas prit ma remarque à la légère, tant mieux. J’avais ainsi tout le loisir de contempler son corps sans doute bien plus que magnifique. Je me retiens de ne pas lui sauter dessus et respirais une bouffée d’air afin de remettre mes idées en place. Il m’était difficile de ne pas céder, la voir comme ça me donnais chaud, trop chaud. Rapidement je fis de même, ne gardant sur moi que mes sous-vêtements. Un sourire aguicheur apparut sur mes lèvres tandis que je murmurer à son oreille. « C’est mieux oui, beaucoup mieux...». Je ne me fis pas prier, je reluquer son corps dans tout les sens et finissais par aller mordre la peau de son épaule, doucement. Je la forçais à reculer contre un mur et l’embrasser avec beaucoup plus de fouge qu’avant. D'un coup d'oeil furtif je vérifiais l'heure sur une horloge et me disais que plus personne ne pourrais nous déranger puisque maintenant ils devaient être tous partit déjeuner. J'eu un immense sourire, je l'avais rien que pour moi à présent. Je me serrais contre elle et déposais des baiser dans son cou, sur sa joue, sur sa machoire et enfin sur ses lévres que je mordillais. Nos deux corps nus collés l'un contre l'autre me firent frémir bien que mes sous-vêtements fassent encore barrière. Je guidais dangeureusement une de mes mains vers son entre-jambe mais n'y toucher pas, pas encore. Je fis mine de détacher mon soutien-gorge mais m'arrêtais et souriais. « Tu m'aide ma belle ? Je ne vais tout de même pas tout faire toute seule si ? »

Ma respiration commençait à se faire irrégulière. Je sentais comme un lien spécial nous unir, il suffisait d’un regard pour comprendre l’autre sans avoir recours à la parole. Ce lien si spécial que certains nomment d’amour mais que moi je préfère ignorer par peur de ce terrain inconnu. Je l’embrassai avec fougue bien qu’il y avait de l’amour dans ce baiser. Elle retira à son tour sa robe pour se retrouver dans des sous-vêtements qu’elle avait merveilleusement bien choisis : ils mettaient parfaitement en valeur son corps de déesse. Sa réponse me fit sourire, je reconnaissais bien là ma Summer. Elle me conduisit vers un mur sur lequel j’appuyai mon dos pendant que ses dents venaient à mon épaule. Un soupir de bonheur sortit naturellement de mes lèvres. Un baiser fougueux se fit de nouveau, je m’efforçais de l’embrasser avec toute l’énergie qui se créée en moi avec toute cette excitation. Elle retira ses lèvres des miennes pour les déposer un peu partout sur mon buste. Elle mordilla mes lèvres et je me laissai faire avec plaisir. Je sentis sa main descendre le long de mon ventre, ce qui me donnait quelques frissons. Lorsqu’elle me parla de nouveau je ne pouvais pas cacher mon sourire. D’un geste habile avec mes deux mains je détachai les agrafes de son soutien-gorge, j’attrapa une bretelle avec les dents et baissais l’autre avec une de mes mains. Je déposais quelques baisers à mon passage, le long de son bras jusqu'à ce que le soutien-gorge tombe au sol, dévoilant alors la plus belle poitrine du monde. Naturelle et tellement généreuse à la fois. Je déposai un baiser sur chaque sein avant de me consacrer un peu plus sur le droit : je l’embrassai avec envie en faisait quelques fois le tour de son téton avec ma langue. Ma main droite massait le sein gauche de ma partenaire tandis que ma gauche se déposa sans le dos de Summer, je la fis glisser jusqu’à sentir sa petite culotte. Je laissai ma main entrer dans celle-ci et longer la raie de ses fesses si douces. A ce moment-là je commençais à mordiller son téton droit légèrement, me retenant de ne pas trop m’emporter.

Quelque chose de bizarre ce fit en moi, j’eu comme un électrochoc dans le bas du ventre, ce qui me surpris bien sûr. Je paniquais intérieurement, je savais ce que c’était censé signifier mais je ne me l’avouer pas. Je n’étais pas certaine d’être prête pour ce genre de choses. Je ne savais pas si c'était pareil pour elle, enfaîte j'avais dans un sens peur de le savoir. Je soupirais lorsque je sentis ses lèvres sur mes seins et me laissais faire, poussant de petits gémissements. De ma main libre je caresser ses cheveux, fermant pendant quelque secondes mes yeux. Je frissonnais à chacun de ses gestes, m’abandonnant à elle, la laissant faire ce qu’elle voulait de moi. D’un geste vif j’enlevais la dernière chose qui me restait ; ma petite culotte. J’eu l’impression d’aller trop lentement et j’eu peur qu’elle se lasse alors je viens caresser ses fesses du bout des doigts en embrassant son épaule. Nous n'avions pas besoin de parler et tant mieux car je ne suis pas trés bavarde, il suffisait que je la regarde dans les yeux pour comprendre. N'attendant plus je fit redescendre ma main, le long de son ventre, jusqu'à atteindre sa cuisse que j'écarta doucement.

Pendant que je continuais ce que j’avais commencé, je sentis les doigts délicats de Summer passaient entre quelques mèches de ma chevelure. C’était un geste très agréable. J’aperçus d’un regard qu’elle retirait sa petite culotte. Je me redressai alors de manière à pouvoir l’embrasser de nouveau langoureusement mais assez doucement de manière à ce que les mouvements soient intenses. Je continuais de faire balader ma main le long des fesses de Summer, les caressant avec… amour. Je sentis ensuite sa main descendre jusqu’à ma cuisse pour l’écarter, ce que je fis automatiquement. Je rapprochai son corps du mien, collant nos poitrines l’une à l’autre ainsi que nos intimités respectives. Mon souffle n’était plus bien régulier et c’était quelque chose de tout à fait compréhensible vu la tournure des choses. Mon autre main, libre alla sur la nuque de Summer, je la caressais et aller coiffer parfois sa chevelure soyeuse. Je soulevai ma jambe gauche de manière à enrouler une des jambes de Summer. Je caressais sa peau sublime à l’aide de mon pied.

J’eu à nouveau un long frisson, ce qui me fit me cambrer très légèrement. J’avais chaud et j’étais déjà bien excitée, normal qui ne le serait pas dans pareille situation. Quand je sentis sa jambe contre la mienne une idée plus que judicieuse vient à mon esprit. Je la soulevais doucement de manière a ce qu’elle puisse facilement passer ses jambes autour de moi, puis je prenais appui contre le mur et mettais mes mains sous ses fesses pour la soutenir. Dans cette position tout serait plus simple, autant pour Keyla que pour moi. Je l’embrassais, avec cet étrange sentiment que je nommais amour dans ma tête. Sa main sur ma nuque m’électrisa un peu plus tandis que ma main aventureuse avait commencé à toucher cette partie si sensible qu’étais son intimité. Mon souffle s’accéléra aussi, si bien que quand je l’embrassais j’étais obligé de prendre de grosse bouffée d’air pour ne pas m’étouffé. L’odeur de sa peau soyeuse chatouilla mes narines et je dus respirer encore pour ne pas la lâcher. Contre elle, il n’y avait pas meilleur endroit au monde, je serais resté ainsi tout le reste de la journée et même la nuit si j’aurais put. Je voulut la serrer un peu plus contre moi mais c'était prendre le risque de la lâcher, hors je ne le voulais pas. Alors pour être plus proche je posais mon menton sur son épaule et fermer les yeux lentement.

Je ne voulais pas quitter son corps, je souhaitais y rester infiniment collée. Mais après avoir passé quelques instants dans cette position je reposai mes pieds au sol, cette sensation fit que mes jambes étaient un peu engourdies mais cela passa rapidement. J’embrassa de nouveau Summer avec envie pendant un bon moment. Pui je l’attira ver l’une des tables misent à disposition dans les vestiaires et je la fit asseoir dessus. Je l’embrassai de nouveau avec plus de sauvagerie. Ma main caressa alors ses cuisses de hauts en bas. J’écartai légèrement ses cuisses tandis que je me baissa de manière à ce que mon visage arrive au niveau de son intimité. J’allai coller mes lèvres contre son sexe, chaud. J’y déposai quelques baisers avant d’y passer quelques coups de langues. De mes doigts habiles j’écartai ses lèvres vaginales de chaque côté de manière à pouvoir passer ma langue entre. Je suçai ensuite ses lèvres vaginales et les aspiraient d’amour.

Je m’étais un peu lassé de cette position, même si je ne faisais qu’être debout elle avait quand même ses jambes autour de ma taille. Elle dut en avoir marre elle aussi puisque elle se laissa tomber sur le sol gracieusement. Je n’eu guère le temps de réagir que j’étais déjà allongé sur une des tables placé là, Keyla entre mes jambes. Ce qu’elle me fit m’électrisa et je poussais un long soupir en passant ma main dans ses cheveux. La chaleur grimpa en moi à la vitesse grand v et en quelques secondes mon souffle s’accéléra encore plus qu’avant. J’adorais ce qu’elle me faisait et cela s’entendait, tellement que j’avais l’impression qu’on entendait mes gémissements a l’autre bout du couloir. Ma main se crispa dans ses cheveux et je me cabrais sous le plaisir, rejetant ma tête vers l’arrière. J’avais du mal à croire qu’il m’était possible de coucher avec pareille fille, on aurait dit un ange. Un personnage tout droit sortit d’un conte de fée. J’exagère peut t’être ? Non car a mes yeux Keyla restait la plus belle des créatures qu’il puisse exister.

Je souris de plus belle lorsque j’entendais les gémissements que poussaient ma partenaire, ils sonnaient pour moi telle une récompense, un prix. Je voulais lui donner plus, encore entendre le son de la voix si mélodieuse que produisait Summer. Je commençai alors à accélérer mes mouvements, à l’aide de mes doigts habiles j’écartai les lèvres vaginales de ma partenaire pour passer ma langue entre les deux. Je léchai d’une longueur son intimité avant de commençai à faire quelques aller et venu avec ma langue dans son vagin, parfois accompagnée par l’un de mes doigts. Je tentais de me calmer, mais rien n’y faisait : l’excitation était bien trop importante pour résister au corps si splendide qui s’offrais à moi. Je voulais le garder pour toujours, tel un jouet et ne plus jamais me balader sans. Je ne pouvais arrêter d’accélérer mes doigter en elle, elle qui m’excitait tellement et qui me rendais folle face à son corps.