Cream please! // free

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Karen Nielsen entra dansle Starbuck avec sa robe noire et ses cheveux toujours aussi bien peigné. Elle prit son sac à main, fouilla dedans, et en poussant quelques vibrateurs vers le fond sans le montrer au autres, elle sortit son portefeuille. Elle en sortit un billet de 10 dollars, puis se dirigea vers la caisse. Elle regarda le menu et demanda:

- Je voudrait un café latte extra crème, et aussi un de ses croissants à la crème à la vanille s'il vous plait!

Elle donna le dix et reçut sa monnaie. Elle le mit dans son porte-feuille qu'elle garda en main, elle attendrait de se mettre à une table avant de le remettre dans sa sacoche, elle n'est pas sote! Le caissier pourrait ''regarder par inadvertance'' dans sa sacoche et remarquer tous ses vibrateurs! Sur ce, elle prit le latte et le croissant et prit une table, elle fourra son portefeuille dans sa sacoche et gouta son café. Il était délicieux! C'était évidemment qualité Starbuck! Elle prit son miroir et remarqua la crème en baissant vers ses lèvres. Elle l'essuya et regarda autour assez rapidement. Elle prit alors une bouché de son croissant avant de reprendre une gorgée du latte. Pour la crème, de la merde! Elle n'était pas pudique à ce point! Pourquoi ça la dérangerait après tout?

Il s'empara de son café tout en remerciant le barman. La fatigue de la veille continuait à dormir dans ses veines et Gabriel songea à freiner ses virées nocturnes dans les fêtes tant il lui était de plus en plus difficile de se remettre dans un état correct. Le Starbucks était calme, à peine une poignée de clients pour la matinée ; il avait décidé de se contenter d'un coin à l'écart, tranquille, pour mieux débuter la journée. Veillant à ne pas croiser le moindre regard féminin pour ne pas être perturbé, il donna cependant un léger coup de genou sur son passage à la sacoche d'une demoiselle et en fit tomber le portefeuille.

« Oh, excusez-moi. »

Ses muscles semblèrent sous l'emprise d'une vague d'électricité tant il fut prompt à poser son café sur la table de la jeune femme et à se baisser pour ramasser l'objet précieux ; la seconde suivante, il le replaçait dans le sac et ses yeux, pourtant presque éteints, discernèrent tout un attirail d'éléments surprenants. Gabriel releva lentement le visage vers l'inconnue, cherchant autant à la mettre mal à l'aise qu'à s'amuser de la situation avant de poursuivre.

« Je suis Gabriel... Je peux m'installer? »

Et sans attendre la moindre réponse, s'immisçant promptement dans l'existence de la jeune femme, il fit tourner la cuillère en plastique dans son café tout en dévisageant la demoiselle pour mieux la cerner. Et profiter de ce qu'il savait d'elle grâce à ses effets personnels.

« Est-ce que vous vous sentez seule, Mademoiselle? »

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Lorsque l'homme faillit tomber à cause de sa sacoche, elle ne remarqua pas tout de suite son porte-feuille qui était tombé. Lorsqu'elle le vit le mettre dans le sac, en un instant, les yeux de Karen furent globuleux. Elle devint rouge, rouge, rouge! Elle ne savait plus quoi faire, c'était un état de choc. Bon sang! Elle et sa nymphomanie! Pourquoi fallait-elle qu'elle garde toujours ses objets sexuels avec elle.... Lorsqu'il s'excusa, elle dit rapidment:

- Ce n'est pas grave! Laissez! S'il vous plait!

Cependant, Gabriel fut bien plus rapide qu'elle. Il l'avait déja mit dans la sacoche en cuir, et il avait vu. Il avait TOUT vu. Même trop! Évidemment, elle aurait quelques problèmes avec lui. Il lui demanda s'il pouvait s'installer, mais à peine eu-t-elle dit: ''Euuh.. Je ne sais pas...'' qu'il avait déjà prit un siège. Karen regarda l'homme la dévisager. Elle ne pouvait soutenir son regard elle tenta de fuir des yeux et but son café latte en se tournant vers la fenêtre. Elle prit son sac rapidement. Mais lorsqu'elle lui posa la question:

« Est-ce que vous vous sentez seule, Mademoiselle? »

Elle recracha une gorgée, voir la souffler. Il voulait profiter d'elle, si elle avait de la chance son coté nymphomane prendrait le dessus à temps pour l'empêcher de trop s'humilier et de lui expliquer la chose.. Mais déjà, dire son travail était suffisant..

- C'est pour mon job.. Je suis testeuse, oui testeuse! Vous savez ce magasin sexuel? J'y travail, pour tester ses trucs.... Hum...

Elle le regarda un instant et une impulsion la suivit. *Juste à temps! Allelluya!* Karen regarda l'homme, Elle le jaugea de haut en bas, il était sexy, grand et musclé. Il aurait surement ce qu'il faut la ou il faut. Le starbuck avait des toilettes une pièce c'est à dire pour une personne. Elle regarda autour et lui dit:

- Dans 3 minutes, viens au toilettes, je prendrai celle de gauche ok? La porte sera barré, tu devra dire, Madame, vous avez oublié votre sacoche, se que je n'aurai pas fait, comme ça, nous y serons tout les deux.

Elle coula son café, puis essuya la crème sur le bord de sa bouche avec son index, avant de licher son index. Elle prit sa sacoche, puis se dirigea vers les toilettes, elle lui fit un clin d'oeil.

« Testeuse, donc? Et si tu testais pour l'heure ceci... »

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Karen prit sa main et tata alors les nuts de Gabriel, voulant voir si elle sont bien grosses. Elle en aspirant alors une dans sa bouche et la licha.

- T'en as des bonnes toi!

Elle licha alors de haut en bas sur toutes la longueur le membre de l'homme. Elle le licha, jusqu'a ce qu'il soit bien humecté, alors Karen le fourra dans sa bouche. Elle lui suca dabord le bout, puis petit à petit alla de plus en plus loin. Elle réussi alors à l'avoir complètement dans la gueule. Elle avala bien de la salive et le garda longuement dans sa bouche, faisant bouger et enrouler sa langue autour du membre. Lorsqu'elle prit sa respiration elle dit:

- Tu veux que je le suce comme une vampire?

Sans attendre, elle le remit dans sa bouche jusqu'au fond et elle aspira et mouilla avec sa langue et sa salive, donnant un max de sensations! Elle massait toujours les couilles de Gabriel, et baissa sa robe, pour laisser apparaitre une belle paire de seins, bien naturel, avec des amemlons bien pointus. Avec son autre main, Karen se mit à se masser les seins, elle les massa violement. Elle sucaity toujours la bite jusqu'au fond et ne laissant pas de temps mort trop grand entre chaque respiration.

- Tu en aura pour ce que tu veux, ce qui veut dire, 2 pipe, 3 anal, 2 vagin, et peut-être 2 titfuck mon beau!