Heure de pointe (Phoenix)

Ah les joies du métro…Des tas de gens qui venaient se coller à vous, du bruit, encore du bruit, de la pollution … Disons pour faire cours que Art détestait prendre le métro, surtout depuis qu’il avait les moyens de s’en passer. Pourquoi le prend t’il alors ? Pour prendre un peu l’air, pour ne pas se sentir empatté. S’il prenait soin de lui, il aimait tout de même faire une bonne marche. Et puis soyons honnête, il y avait de très belles femmes dans le métro. Lui qui paraissait si propre sur lui ne se gênait jamais vraiment pour placer une petite main aux fesses. C’était humain, ou du moins, masculin comme attitude.

Bref, passons les détails plus que intéressant de sa vie. C’était donc par une journée ensoleillée qu’il avait décidé de se rendre a l’autre bout de la ville pour aller voir un film et ensuite rentrer chez lui.

Il marchait a présent dans la rue, les mains dans les poches et se dirigeait d’un pas tranquille en direction du métro. Il descendit tranquillement dans le souterrain, comme ci il rentrer dans la bouche du diable, direction les enfers avec les vendeuses de charmes, les drogués, bref tous les gens pas très recommandables dont il avait d’ailleurs lui-même fait partis. Les laissés pour comptes qui maraudaient pour survivre. Il donna donc un billet à l’un des mendiants qui faisaient la manche puis entra dans la première voiture qui se présenta à lui. Puis il la vit. Elle était de dos, mais cela n’altérait en rien l’impact qu’elle put avoir sur le rentier. Il lui donnait un peu plus de la vingtaine, une brune aux cheveux sauvages, au port dangereusement érotique, une beauté à couper le souffle dont les fesses semblaient inviter à des nuits sans fins de plaisir jusqu’à la plus totale des extases, la plus complètes des jouissances.

Le genre de femmes qui à n’en pas douter, devait sans cesse se retrouver entourée d’hommes avides d’elle. Il décida de monter dans le même wagon, mais c'était son compter la foule qui voulait également monter. Il vint se coller contre la jeune femme, plaquant son bassin contre les fesses de la belle, tandis que partout dans la voiture du métro, les gens se poussaient et se serraient les uns contre les autres. Le wagon démarre et les mouvements de ce dernier ne peuvent que faire sentir à la femme qu’il colle en ce moment,allait-il se faire gifler, ou alors le jeu de la séduction allait-il démarrer?

Il se trouvait fort confortablement installé, ainsi plaqué contre la belle inconnue. Le jeune homme faisait preuve de beaucoup de sans gêne, mais c'était son style. Et puis sentir les belles petites fesses de la brunette sur son bassin ne faisait que le conforter dans son idée que c’était une situation des plus excitante. Surtout que son petit manège ne semblait pas perturber ou déranger la belle inconnue qui semblait même se prêter au jeux en venant frotter son parfait petit cul contre son membre. A moins qu’il ne se faisait des idées et qu’il ne s’agissait tout simplement que des mouvements du wagon. Il lui fallait en avoir le cœur net. Il laissa sa main glisser par inadvertance contre la cuisse de celle-ci, la frôlant sans insister, la laissant certainement se demander si il l'avait vraiment touchée ou si elle se faisait des idées.Il répondit donc à ces mouvement de bassin, son sexe se durcissant sous ces assauts torrides. Il laissa son pénis venir glisser de haut en bas le long de ses fesses, son gland gonflé venant titiller ses deux entrées, par-dessus ses vêtements. Il avait un grand sourire avenant, comme si il ne faisait rien de mal ou de sans gêne, alors que c'était clairement le cas.

Art regardait la jeune femme qui était bien plus séduisante d’après ce qu’il pouvait en voir dans le reflet de la vitre. Ainsi, il pouvait voir son visage de temps à autre, mais également le reste de son corps, et notamment, une poitrine généreuse. Mais le wagon du métro était capricieux. Tantôt il se retrouvait face à elle, tantôt il se retrouvait dans son dos. Il cherchait à trouver une bonne prise pour arrêter d'être trimballer dans tous les sens. C'est ainsi qu'il se retrouva dans le coin du fond du wagon, lui devant elle, son bassin collé contre les fesses de la jeune femme qui lui tournait le dos. Il pouvait voir son visage par la vitre du wagon. Il pouvait voir que ses seins étaient plaqués contre cette vitre froide, tandis que le bassin de Art était bien calé contre les fesses de la jeune femme. Elle pouvait sentir son membre qui durcissait et grossissait le long de ses fesses. Il trouvait cela un peu gênant, mais surtout, très excitant. Il vint se pencher vers elle, parce qu'il était plus grand qu'elle, et vint murmurer à son oreille de sa voix suave.

J'espère que je ne vous cause pas de trop de soucis mademoiselle.

Il sourit et laissa son sexe imposant se glisser le long de la raie de la jeune passagère, qui lui faisait beaucoup d'effet. Elle pouvait ainsi sentir que le jeune homme était bien membré, qu'il sentait l'eau de Cologne, sans pour autant que ce ne soit trop envahissant.

Il laissa sa main venir se glisser entre les cuisses de la belle, profitant d'un mouvement abrupt de la cabine de métro pour pouvoir enfin toucher l'objet de sa convoitise. Son entrecuisse était chaude, et la main ferme du jeune homme appréciait la douceur de ce qu'il touchait. Cela lui donnait vraiment des envies, et son pantalon se déforma doucement d'une bosse. Il y avait tellement de monde dans le métro que personne ne fit attention à leur petit manège et qu'il gardait un grand sourire vainqueur et triomphant, commençant à décrire de léger cercle avec la paume de sa main contre l'intimité de la belle brunette.

La jolie jeune inconnue lui faisait face à présent et il pouvait bien admirer son beau minois. Un visage aux traits doux et bien dessinés, des lèvres pulpeuses, un regard clair et intense, et que dire du reste. Il aimait beaucoup sa belle crinière brune qu’il imaginait sans peine tenir entre ses doigts quand les ébats se feraient fougueux, ou plus tendre quand le sexe serait finit. Il lui adressa un sourire charmeur, ne se lassant pas de la regarder. Il fut délicieusement tiré de sa contemplation par les gestes de la belle qui vint taquiner sa ceinture. Il soupira d'aise en constatant qu'elle venait de poser sa main sur sa cuisse puis plus bas. il frémit à ce contact qui lui donnait du plaisir. Nul doute qu'ils allaient vraiment passer du bon temps ensembles. Il aimait la regarder droit dans les yeux tout en laissant ses mains la parcourir subrepticement. Il insistait parfois un peu plus sur ses cuisses ou ses fesses en suivant les mouvements du wagon. Parfois, son torse venait frôler la pointe de ses seins qu'il sentait durcir sous ses caresses furtives. La jeune femme était vraiment très sexy et très sensuelle. Il avait des envies lubriques à son égard et il ne s'en cachait pas. Elle pouvait sentir qu’il commençait à durcir et que son pantalon le moulait tellement l’étoffe de tissu était fine et serrée maintenant qu’il bandait pour elle. Apparemment, elle aussi était joueuse et il aimait cela chez une femme. Cela voulait dire qu’elle avait de l’initiative et cela n’était que prometteur pour les moments à venir.

Il fait vraiment chaud dans ces transports en commun…

Il murmura de nouveau à son oreille, mordillant au passage son lobe d’oreille, sur un ton plus suave tandis qu'il laissa la main qu'il avait posé sur le ventre de la jeune inconnue, qu’il laissa glisser plus bas. Lentement, sans se presser, il descendit son ventre, puis il arriva au petit bouton de son pantalon, pour venir se glisser entre les cuisses de celle-ci de nouveau. Là, il laissa sa main venir se plaquer contre le bassin de la jolie passagère. Sa paume était plaquée contre l'intimité de la jeune femme, et il laissait ses doigts venir provoquer doucement l'entrecuisse de la belle. Elle pu constater que le membre de Art avait grossit et durcit quand il remonta sa main pour venir défaire le bouton qui séparait les deux corps.

Chaud, c'était effectivement le sentiment qu'il avait avec une si belle femme contre lui. La température grimpait, et devenait plus intense, il venait parfois lui embrasser les éapules, ou la nuque quand les coupures de courants intervenaient.

Il savourait le contact chaud et doux du bassin de la brunette contre sa queue qui ne cessait de durcir contre elle. L'envie gagnait en intensité, mais il arrivait encore à entamer la discussion ce qui était plus simple pour masquer ses mouvements qu’elle imprimait contre lui. Il regardait autour de lui et se disait que c'était vraiment excitant de caresser la belle petite chatte de la jolie brune devant tout ce monde, qui pour le moment ne se doutaient de rien. Ses lèvres venaient se perdre au creux de l'épaule de la passagère, puis parfois il prenait son lobe en bouche, le lui mordillant à peine.

J’ai entendu dire que pour vaincre la chaleur, il fallait combattre la chaleur par la chaleur…

Il glissa discrètement sa main entre les cuisses de la belle, et il fit en sorte de pousser l'élastique de sa petite culotte, pour dévoiler sa petite chatte. Il voulait qu'elle soit totalement désarmée au contact de son membre qui durcissait dans son pantalon et qui suivait les va et viens sous le mouvement du wagon et du bassin de la jeune femme. Il soupira doucement de plaisir, regardant autour d'eux et voyant tous ces gens serrés comme des sardines. Il laissait son souffle chaud venir mourir contre la nuque de celle-ci.

Après un long moment à se provoquer de la sorte, il laissa deux doigts aller et venir, le long de sa petite chatte et de son anus, il se redressa et fit mine d'être bousculé un peu plus dans les mouvements du wagon, de sorte à ce qu'il puisse abaisser son boxer et laissa sortir sa longue et grosse queue dont le gland se gonflait doucement et qui venait glisser le long de la fente de la belle. Il soupira doucement à son oreille et exagérait parfois les mouvements du wagon pour laisser son sexe monter et redescendre le long de la chatte de la jeune femme. Ses mains viriles , puissantes et douces à la fois, vinrent lui presser les fesses fermement, la plaquant un peu plus contre lui, tandis qu’il collait son front au sien. Il lui adressait un grand sourire, la regardant avec intensité. Elle le rendait fou d’envie, et elle était trop belle pour être réelle. Pour s’en assurer, il laissa son gland gonflé venir titiller le clitoris de la belle, faisant de léger mouvements de sa queue contre ce bouton de plaisir tout en ne la quittant pas des yeux, les souffle rauque et court.

Il sourit en entendant les paroles de la jeune femme et lui embrassa le cou, venant lui mordiller le lobe de l’oreille, y glissant de sa voix suave.

Dernière escale avant le grand voyage.

Sur ces mots murmurés à son oreille. Puis, lors d’un mouvement de wagon particulièrement saccadé, il en profita pour s’enfoncer en elle, la prenant sans douceur, d’un bon coup sec et profond. Il lui mordilla le cou pour étouffer un cri de plaisir, pendant que la lumière du wagon revenait peu à peu. Il serrait plus fort les fesses de la belle, et sa queue se trouvait maintenant bien enfoncée entre les cuisses brulantes de la jeune femme. Quel plaisir c’était. Il se glissa donc en elle, d’un coup sec et puissant, s’enfonçant dans sa petite chatte jusqu’à la garde. Le plaisir devenait brulant, et l’envie, toujours plus grandissante. Son regard se montrait de plus en plus déterminé à mesure que l’envie de la prendre sauvagement se faisait entendre dans son esprit.

Il laissa ses dents mordiller les lèvres de la belle brune, lui léchant parfois le creux du cou, un bon moyen de ne pas gémir trop fort. Il lui caressait également la naissance de ses fesses sa main glissant parfois sur ses seins quand ils passaient trop vite et que cela coupait par moment la lumière le temps de quelques secondes. Sa queue devenait impressionnante tellement il se sentait bien dans sa petite chatte brulante et humide. Il se mordit la langue très fort pour ne pas gémir de façon trop audible. Mais il savait qu’il ne pourrait pas les retenir tout le long de leurs ébats sauvages. Il gardait son front colé au sien, et lui pressait fermement les fesses pour coller son bassin contre le sien dans une étreinte plus intime encore.

Il la trouvait délicieuse et elle le mettait dans un état d'excitation à peine croyable. La sentir si brulante sous ses doigts, sa queue et contre lui, ne faisait qu'attiser le désir qui bouillonnait dans ses reins. Pour apaiser un peu cette envie, il laissait ses lèvres venir se joindre à celle de la jolie brune, pour ensuite venir glisser dans le cou de celle-ci, ou sur ses épaules. Il allait un peu plus profondément en elle commençant à donner des coups de rein lents, mais profonds et puissants. Elle devenait vraiment très mouillée et il adorait la sentir ainsi. Il collait son bassin plus fort contre elle, et son torse venait imprimer ses muscles contre les seins généreux de la passagère du métro. Quelle étonnante rencontre, mais quel plaisir c'était. Il y avait toujours autant de monde autour d'eux, mais il savait que ça n'allait pas les arrêter. Ils avaient commencé et été bien trop loin à présent pour s'arrêter maintenant. Il laissa sa langue venir lécher lentement les lèvres de la belle. A présent, il s'enfonçait en elle avec un plaisir croissant, s'enfonçant profondément entre ses cuisses brulantes. Ce moment était fort, alors qu'il commençait à faire de lents, mais profonds, va et viens en elle. Il ne la quittait pas des yeux à mesure qu'il s'enfonçait dans sa chatte.

Art sentait bien que le cou était une zone très sensible chez la belle inconnue du métro et il insistait longuement, comptant bien y revenir plus tard également. Il y avait quelque chose de très excitant dans le fait qu’ils ne sachent rien l’un de l’autre, ni le métier, ni le prénom, rien. Tout cela viendrait plus tard, mais pour le moment, il se plaisait dans leurs ébats torrides en plein métro, susceptibles d’être surpris en pleine action. Alors qu’ils commençaient à passer aux choses sérieuses, elle réussit à prendre appui sur le rebord du wagon, facilitant ainsi leurs étreintes sulfureuses.

Et toi tu es divine mhhhh...

Murmura-t-il à son oreille de sa voix suave et virile, venant la lui mordiller. Il était vraiment très exciter , et voulais l'être encore plus en compagnie de la jeune femme. Il la provoquait de son membre qui la pénétrait, de ses lèvres qui la goutait, de ses mains qui la caressait. Il se fiait à ses soupirs et ses regards pour trouver la bonne mélodie, celle qui lui ferait accomplir une symphonie érotique parfaite.

Il adorait la sentir aussi ardente et désireuse de lui. De son côté il la voulait plus que tout, il voulait qu’ils jouissent dans une apothéose des sens. Il vint prolonger le baiser quand elle colla ses lèvres aux siennes. Il souriait en la plaquant doucement, mais fermement contre la vitre du wagon, adorant la sentir coincée entre son corps musclé et la paroi du wagon. Ainsi il pouvait la sentir vraiment serré contre lui et il l’empêchait de s’enfuir, même s’il savait qu’elle n’en avait pas l’intention. Il l’entourait de ses bras et de son corps musclé qui caressait le sien. Il lui remontait discrètement son haut, tandis qu’elle lui caressait son torse musclé.

Quel délice c’était de pouvoir prendre la belle brune tandis qu’il lui mordillait les seins. Son intimité étroite et chaude le grisait à chaque va et viens et plus il s’enfonçait en elle, plus son souffle devenait rapide et profond. Il la tenait par les hanches pour pouvoir s’enfoncer encore plus puissamment en elle. Ses coups de reins se faisaient plus inquisiteurs, puis viril à mesure qu’il la prenait plus fort. Il poussait sur ses orteils en levant les talons pour pouvoir varier l’angle avec lequel il pénétrait la belle brune. Il lui souriait en la regardant avec ses yeux pénétrants et intenses. Il déposait des baisers de plus en plus appuyés au creux de son cou, ou de ses épaules, pendant qu’il la pénétrait plus profondément. Il grognait de plus en plus de plaisir à mesure qu’il y allait de façon plus virile. Ses coups de reins se faisaient plus féroces, tandis que ses baisers voraces et avides d’elle.

Il prenait vraiment un plaisir énorme à prendre cette beauté hors du commun contre la vitre du wagon de métro. Il y avait beaucoup de bruit ce qui couvrait à peine leurs gémissements et leurs cris de plaisir. Il s'enfonçait toujours plus vigoureusement entre les cuisses brulantes de la jolie brunette. Il venait grogner de plaisir à son oreille, venant parfois lui mordiller son lobe, d'un coté, puis de l'autre. Il aurait bien voulu voir un peu mieux ses fesses et son corps, mais le lieu était mal choisit pour cela. Il se contentait donc de la prendre avec ses vêtements. Elle était brulante et avec ce corps de rêve qu’elle avait et cette chaleur intense, ne pouvait que l'exciter toujours un peu plus.

Hmmm ohhh ohhh

Murmura t-il à son oreille d’une voix suave cassée par le plaisir. Ses soupirs de plaisir devenaient plus rauques tandis que son souffle se faisait plus court. Il s'agrippait aux hanches de son amante, n'en revenant pas de tout le plaisir qu'elle lui donnait. Ses coups de reins se faisaient bien plus puissants tandis qu’il lui pilonnait plus virilement la chatte, venant lui embrasser le cou, puis les seins. Ses coups de reins étaient plus vifs, plus profonds et plus secs. Elle était brulante, et lui, était chaud bouillant, il grognait plus fort sous cet assaut divin.

Art aurait vraiment voulu pouvoir la voir entièrement nue, coulante de sueur et le corps tremblant sous ses coups de reins. Il était sûr que le spectacle aurait été encore plus excitant. Mais nul doute qu’ils se reverraient tous les deux, et qu’ils pourraient alors se dénuder et avoir plus de place pour pouvoir baiser de façon torride, sans devoir se contenter d’un espace excitant mais assez exigu. Le pompier prenait bien du plaisir avec cette superbe brunette qui avait un corps de rêve, même s’il ne pouvait que le voir qu’en quelques parties. Il lui mordillait les lèvres, laissant son front collé au sien, lui donnant des coups de queues toujours plus féroces et inquisiteurs à mesure qu’elle le poussait sur les fesses pour qu’il s’enfonce plus sauvagement en elle. Et ses coups de reins se firent plus virils, plus intenses.

Il colla son torse musclé et chaud contre les seins généreux de la belle inconnue. Il laissa ses baisers venir courir le long du cou de la jeune femme pour glisser à sa joue, puis à ses lèvres. Il laissa son regard intense se figer dans celui tout aussi clair de la belle amante. Il l’embrassa langoureusement avant de commencer ses mouvements de bassins. Ils étaient profonds et inquisiteurs. Il voulait qu’elle ressente enfin le plaisir de ses bons coups de bite et il lui lécha les lèvres, se nourrissant de ses soupirs et de ses gémissements avec un ravissement non feint. Ses mains se crispaient sur les fesses de l’inconnue pour pouvoir aller plus profondément en elle. Il s’y ancra et ce rivage improvisé pouvait laisser la marée se déverser et s’agiter. La houle commençait à prendre de plus en plus de force à mesure que ses coups de reins se faisaient puissants, vigoureux, virils. Il allait et venait en elle pour mourir un peu et renaitre à la fois. Le souffle plus bas et plus rapide, il plaqua son torse contre les seins de la belle brunette, les lui écrasant légèrement, adorant sentir ses tétons se durcir contre lui.

Il la retourna alors sèchement, la plaquant contre la vitre du wagon, laissant ses gros seins chauds et brulant venir se rafraîchir au contact de la vitre froide. Là, il put admirer les fesses nues de la jeune inconnue. Elle avait vraiment un cul superbe. Il lui mordilla le cou, y donnant des coups de langue, tandis que sa queue venait se glisser de nouveau dans la petite chatte ruisselante de plaisir de la belle.

Ohhh ton petit cul est superbe ma belle…

Il avait bien envie d’y glisser sa bite d’ailleurs, mais il ne savait pas si elle aimait ou pas, alors il s’abstint, venant lui bourrer sa belle petite chatte tout en puissance. Excité par la belle, par ses soupirs, ses caresses et par la situation, Art sentait qu’il n’allait plus tarder à jouir. Ses coups de reins se faisaient bien plus puissants tandis qu'il lui souriait par la vitre, venant lui embrasser le cou, puis les seins. Ses derniers coups de reins étaient plus vifs, plus profonds et plus secs.

Puis ce fut la délivrance. Il ne put tenir plus longtemps. Il donnait un ultime coup de rein en elle. Il éjacula en elle, continuant encore ses coups de reins jusqu'à ce qu'elle jouisse et pas avant. Il avait prit un sein de la belle brune entre ses lèvres pour retenir un cri rauque et puissant de plaisir pendant l’orgasme. Il la pilonnait avec virilité, lui donnant de fougueux coups de reins, plaquant ses seins qui venaient gigoter contre la vitre froide. Par moment, il lui tenait les cheveux, fermement, mais doucement, entre ses doigts, lui tirant la tête en arrière, venant l’embrasser avec fougue, pour mieux plaquer sa joue contre la vitre et la prendre en levrette. C’était intense et sauvage et il continua jusqu’à ce qu’elle aussi ait atteint la jouissance. Le souffle de Art était saccadé et rauque, tandis que son corps était perlé de sueur, qu'est ce que ça avait été intense et bon!

Art sourit en entendant la jolie brunette qui l’invitait à lui défoncer son joli petit cul qui lui faisait très envie. Elle l’agitait devant lui comme une offrande, et il ne pouvait pas refuser ce cadeau. Il se contenta de l’embrasser langoureusement pour la remercier avant de glisser son gland bien gonflé contre l’anus de la belle, avant de l’enculer bien sèchement. Le pompier pouvait être doux et tendre ou sauvage et passionné durant la baise, tout dépendait des envies qu’il avait ou celles de son amante du moment. Mais là, vu le lieu et vu le corps de rêve de la jolie inconnue, il voulait la sodomiser avec vigueur. Il donna une bonne claque ferme sur son beau petit cul, tout en venant titiller son cou du bout de la langue. Il s’occupait d’elle avec beaucoup d’application, voulant la rendre toujours plus désireuse de lui. Et pour être tout à fait honnête, il aimait l’entendre gémir et se cambrer sous ses coups de reins et ses attentions.


Bon sang tu es vraiment….mhhh étroite.mhhh…c’est divin…hannn

La jolie petite inconnue allait maintenant subir les assauts d'un pompier qui était excité comme un taureau en rut tellement elle l'avait chauffé auparavant en agitant devant lui son joli cul. Soupirant de plaisir, il sourit un peu plus. Elle était si serrée par ici. Il regardait les belles fesses de la brune, qui ne demandait que sa queue, et il lui sourit en coin. Elle en voulait, et elle allait en avoir. Il n'allait pas ménager ses gestes, voulant vraiment la défoncer le plus sauvagement possible. Il lui pénétra l'anus d'un coup puissant et vif. Oui, il la prenait à sec, entrant l'entier de sa grosse bite en elle. Son coup de rein était si puissant qu'il l'avait poussé vers l'avant par ce simple geste. Il était en elle, elle était vraiment très serrée et il n'y était pas allé de main morte, mais il n'allait pas s'arrêter là, il allait vraiment la défoncer encore et encore jusqu'à la garde. Il se redressa et se pencha contre elle et vint lui lécher les lèvres puis lui mordilla les épaules, et venant lui claquer les fesses, il commença de grands coup de reins, lui limant littéralement les fesses, allant et venant en elle avec vigueur et puissance.

hannn….ouii….hannn…

Il donnait des coups de rein de plus en plus puissants et violents, venant faire claquer ses bourses contre ses fesses rondes. Il y allait tellement fort qu'il lui rougissait déjà les cuisses. Il la défonçait de plus en plus virilement. Les bruits de claquements étaient de plus en plus secs et excitants.

Il aimait beaucoup s'occuper des belles fesses de la brune sauvage. Elle était des plus serrées et plus il entrait en elle, et plus son anus se serrait par convulsion. Il était dingue de l'effet que ça lui donnait. Voulant renforcer cette impression d'être dans un étau, il lui écarta les fesses avec les mains puis les pressa ensuite contre son membre qui avait un volume incroyable. Il se penchait lui mordillait les épaules, venant même la mordre par moment, tellement le plaisir était intense. Tirant fermement sur ses cheveux il la poussa à se cambrer plus encore et il lui cassait un peu plus encore le bassin. Il lui ramonait prestement l'anus, venant entrer l'entier de son sexe en elle. Il tenait parfois fermement ses seins entre ses doigts et les pressait violemment, tout en continuant ses coups de butoir en elle. Ses bourses ne cessaient de claquer contre ses fesses dans un bruit de frottement. Il grognait de plus en plus fort, devenant toujours plus sauvage à chaque coup de rein, venant la pousser violemment à chaque coup de sa longue bite. Puis il finit par jouir et poursuivit jusqu’à ce qu’elle vienne à son tour. Une fois cela fait, il vint la faire s’asseoir sur ses genoux, venant s’installer sur un siège du wagon. Il la gardait contre lui, l’embrassant doucement, la caressant en reprenant son souffle. Il eut un sourire aussi coquin quand elle lui dit qu’elle serait bien prête à remettre ça encore et encore. Il était tout à fait d’accord. Alors qu’il l’embrassait au coin des lèvres tout en la caressant, il répondit d’un voix rauque et cassée par le plaisir.

Oui, je crois qu’on va souvent se revoir toi et moi…au fait, je m’appelle Art Donovan

Il lui fit un grand sourire et la garda dans ses bras un moment. Il aimait sentir son odeur, et la chaleur de son corps contre le sien. Sans parler de ses seins généreux qui se pressaient contre son torse musclé. Ses mains descendirent à ses hanches, pour venir ensuite épouser le galbe de son superbe petit cul qu’il avait visité peu auparavant. Oui, elle était vraiment très belle et très excitante. Il adorait le fait de la sentir assise sur ses genoux à califourchon, mais la chaleur de son corps et les mouvements du wagon pouvaient très bien à tout moment lui redonner une érection. Il n'avait pas envie de bouger tout de suite, profitant de cette étreinte douce, qui bientôt allait laisser place à des étreintes plus torrides et mouvementées. Il aimait faire preuve de tendresse après les ébats. S'il montrait un tout autre visage quand il était en pleine action, adorant dominer et utiliser les mots crus, il n'était pas pareil dans sa vie de tous les jours. Cette belle brune était une femme superbe et un coup d’enfer. Il aimait beaucoup la tenir dans ses bras, la traiter en diamant précieux et la protéger, tout en lui donnant ayant donné de grands coups de queues sauvages quand ils avaient été en plein ébats. Elle était incroyablement sexy. Le tissu qui l’habillait glissait aisément et avec sensualité sur ses courbes parfaites. Il l'aurait volontiers prise de nouveau, mais il s'imposa de la patience. Après tout, ils auraient de quoi se laisser aller à la passion et à la fougue, très bientôt, un autre jour

Oui, et nous nous arrangerons pour voir si l’on ne peut pas satisfaire tes autres envies quand elles se présenteront…

Dit-il sur un ton suave, souriant de plaisir en la sentant mordiller ses lèvres. De sn coté, coquin, il lui caressait plus fermement ses fesses, appuyant son torse bien bâti contre les seins de la jolie brunette dont il n’allait plus ignorer le nom très bientôt.

Luxuria? Un prénom prédestiné on dirait. En tous les cas, je suis ravi que l’on se soit rencontrés ici, je n’aurais jamais cru que je pourrais tomber sur une femme aussi sexy et excitante que toi Phoenix, dans ces transports en commun.

Dit-il en venant lui mordiller l’oreille, laissant sa langue redessiner le pourtour de celle-ci. Elle lui donnait envie à chaque moment, c’était assez incroyable.

Tu utilises souvent le métro?

Il lui caressa le dos, passant ses mains sous son haut discrètement, aimant sentir sa peau nue et chaude sous ses doigts. Puis d’un coup il fut prit d’une légère interrogation et tourna la tête en tous sens pour voir à quelle station ils se trouvaient. Il avait raté sa sortie de métro, mais cela ne le génait pas beaucoup, il avait eut bien pluis excitant à faire après tout.

Et dire que j’avais pris le métro pour aller voir un film, mais à cette heure-ci les séances ont commencées partout.

Il frissonna légèrement sous les caresses de Phoenix contre son corps musclé. Il soupirait doucement d’aise, le désir commençait doucement à reprendre ses droits. A ce rythme-là, le deuxième round n’allait pas tarder à arriver. Cela semblait tout de même peu probable, en tout cas, pas dans ce métro . Il en profitait pour regarder avec un œil expert et ravi, la poitrine de la brunette qui vint lentement mais surement exciter son imagination. Il la regardait avec les yeux mi-clos, la gorge un peu sèche, ne quittant pas le regard couleur d’azur de Phoenix, en lui souriant. Ils avaient finis de baiser intensément et il la laissait disposer de son corps à loisir. Groggy par le plaisir et une certaine langueur, il avait du mal à bouger, la laissant pour le moment, maitresse des hostilités, elle pouvait savourer et profiter son corps qu’il mettait en offrande. Il laissait une main venir lui caresser la joue du dos de la main, puis il la glissa ensuite à ses seins qu’il caressa lentement, avant de la laisser reprendre selon ses envies. Puis il la reposa sagement sur les hanches de la belle.

Il est difficile de laisser échapper un si joli petit lot…

Dit-il en lui souriant, venant lui presser un peu plus fort son beau petit cul, avant de lui caresser les cheveux tendrement. Puis, plus coquin, il vint lui mordiller le cou, ayant bien remarqué que la belle brune aimait cela. Et vu qu’il adorait la sentir ronronner presque de plaisir, il ne se gênait pas. Il en profitait pour caresser les belles fesses bien bombées de son amante qui paressait maintenant dans ses bras. Il se demandait combien d’heure elle devait passer en salle de gym pour avoir des fesses pareilles. Surement un paquet ou alors elle devait pratiquer beaucoup de sport en chambre. Quoiqu’il en soit, un cul aussi beau que celui-là, il n’y en avait pas beaucoup. Laissant libre cours à ses envies, il laissait ses mains venir redessiner ses hanches, puis ses fesses, les pétrissant à loisir, adorant sentir leur galbe ferme sous ses doigts.

Nous sommes donc tous les deux très bien tombés. J’aurais du le savoir, y’avait écrit dans mon horoscope qu’un évènement imprévu me donnerait le sourire pour toute la journée.

Plaisanta-t-il en venant la serrer contre lui, adorant sentir son corps doux, chauds et galbé, venant se presser contre le sien. Phoenix était une reine, et il adorait être la cible de ses sourires, de ses regards, et de son attention, en ce moment même. Il repensait au plaisir intense qu’elle lui avait donné, et il avait du mal à revenir sur terre, l’esprit toujours un peu embrumé par l’extase et l’orgasme de feu qu’elle lui avait donné. A n’en pas douter, une telle étincelle de plaisir, demandait à ce qu’il y goutte de nouveau, encore et encore, sans jamais se lasser. Il lui caressait le dos sous son haut, s’appropriant sa peau douce et nue, brulante et tentatrice, comme le phoenix, elle portait bien son prénom.

Oui je les prends assez souvent. C’est utile pour garder la forme, et aider à garder ces muscles que tu es en train de caresser avec gourmandise. J’ai une voiture, mais je l’utilise rarement. Et puis dans mon métier, je suis assez souvent dans une boite de conserve et voyante en plus. Je suis pompier ! Donc si tu as le feu chez toi…tu sauras qui appeler…

Ses propos étaient à double sens et elle devait bien s’en douter. De toute façon, le sourire équivoque qu’il lui lança ne faisait que lui confirmer ses doutes. Elle agitait ses seins devant lui, et son petit cul…c’était vraiment difficile de rester stoïque devant un tel spectacle. Les mouvements de la rame ne faisaient rien pour arranger les choses. Se faisait-il des idées ou l’allumait-elle ? Il n’en savait rien, mais il savourait cette complicité naissante qu’il sentait fleurir. Et à ce rythme-là, il y aurait quelque chose dans son pantalon qui fleurirait également.

Désolée? Vraiment? Quelque chose me dit qu’au contraire, tu ne regrettes absolument rien. Et moi non plus d’ailleurs. Cependant, ça me laisse une bonne heure minimum à tuer. Une idée de ce que je pourrais faire en attendant?

Il laissa la belle venir coller sa tête contre son torse, venant alors lui caresser les cheveux, puis sa joue, du dos de la main. La chaleur du corps de la belle brune mettait vraiment ses nerfs à rude épreuve, surtout qu’il avait une belle vue sur ses seins libres sous son haut. Si elle bougeait à peine, le petit doigt, il allait bander de nouveau, c’était certain.

Il aimait prendre son temps pour la découvrir, la faire frémir sous ses main et ses lèvres, mais il comptait bien la faire crier de nouveaux sous ses coups de reins fougueux plus tard dans la soirée. Il voulait la faire monter lentement en pression. Il laissait ses lèvres venir mordiller le cou de la belle danseuse, écoutant son souffle et s'y guidant pour lui donner des caresses toujours plus appuyées et provocatrices, jusqu'à la laisser un peu plus haletante. Elle avait un corps exquis et hâlé se mariait bien avec la chaleur de son corps et de ses courbes parfaites. Il prenait parfois bien du plaisir à pencher sa tête en avant, pour venir saisir une des oreilles de Phoenix entre ses lèvres, lui mordillant le lobe jusqu'à l'extrême limite de la décence, venant parfois le lui mordiller tendrement,. Il laissait ensuite sa langue venir se mêler à la sienne. Le désir grimpait doucement à mesure qu’elle bougeait son bassin sur sa queue qui durcissait sous ces attentions.

Il y a des alignements intéressant, notamment quand la lune est bien en évidence.

Lui murmura-t-il d’un air coquin, faisait bien entendu référence à son joli petit cul. Il vint chercher ses lèvres et l’embrassa langoureusement, goutant ses lips qui avaient un gout légèrement sucré. Puis par jeu, et par envie, il glissa une main sous le haut de Phoenix pour lui caresser les seins. Ils étaient devant ses yeux, si gros, si chauds, comment résister ? Un jeu érotique des plus plaisants. Ce fut un moment du plus profond vertige. Il laissa ses mains venir courir le long de la peau de cette sirène qui voulait le perdre et le noyer sous la tentation. Il lui caressa un sein, puis l’autre, venant faire durcir ses tétons, taquinant ses auréoles, avant de retira ses doigts de sa poitrine. S’il continuait, il ne pourrait plus se retenir.

Tu es danseuse ? De quel genre au juste, danse classique, strip- club?

Cela expliquait le corps de rêve qu’elle avait, ferme et galbé, elle devait aussi être très souple. Cela il n’avait pas pu le vérifier, mais cela viendrait possiblement un jour. Murmura-t-il sur un ton bas et rauque, prit par le plaisir qu’elle faisait monter en lui en ondulant du bassin. Oh, elle ne perdait pas de temps pour attendre. Il se vengerait plus tard, de la plus exquise des façons, en la baisant avec fougue et sauvagerie.

Que dirais-tu d’aller se détendre dans un jacuzzi? Ensuite, j’accepte ton invitation de boire un verre chez toi.

Il laissait ses lèvres venir la lécher, la sucer, la mordiller, prenant chaque parcelle de ses lèvres et son menton, pour la provoquer de sa langue et de ses lèvres, de son souffle et de ses grognements. Elle pouvait sentir que la queue du pompier ne cessait de durcir et de s’allonger sous ses exquises caresses. Il essayait de garder le contrôle de son corps, pour ne pas céder à l’envie de la prendre de nouveau. Heureusement pour lui, elle se détacha doucement de son membre, s’éloignant, prête à partir la suite du programme de la nuit. Il lui sourit, attendit quelques instants le temps qu’il puisse marcher de nouveau, plus géné par la bosse de son pantalon. Il la regardait en laissant ses mains posées sur les hanches de la belle, attendant son avis. Entretemps, les idées cochonnes ne firent que se multiplier dans sa tête en imaginant la fin de soirée.

Phoenix le mettait dans un état d’excitation très avancé, elle jouait à le provoquer, sachant très bien qu’il ne pouvait plus rien faire pour le moment. Mais il aimait ce petit jeu auxquels ils jouaient, et le regard qu’il lui lançait voulait dire qu’elle le paierait quand le moment serait venu. Quand elle donna des précisions sur son métier, il essaya de chercher dans ses souvenirs pour essayer de voir si il connaissait ce lieu. Il ne connaissait ce cabaret que de nom. Il ne savait pas du tout comment c’était à l’intérieur, mais si toutes les danseuses étaient aussi sexy que Phoenix, il y ferait peut-être un détour, pensa-t-il en secouant légèrement la tête.

Tu as éveillé ma curiosité. Il faudra que tu m’invites à venir te regarder danser. De mon coté je te ferais visiter la caserne avec tous les beaux pompiers en uniformes, si tu veux.

Il rit doucement, se disant que si dans l’imaginaire féminin tous les pompiers étaient canons et musclés, c’était loin d’être le cas. Mais il y avait tout de même d’autres confrères à lui qui avaient du succès auprès des femmes, il n’y avait qu’à lire le courrier que ceux-ci recevaient chaque fois que le calendrier nu sortait, une fois par an. Il se leva à la suite de Phoenix et passa ensuite son bras autour des hanches de la belle brunette. Il lui mordilla les lèvres au passage avant de quitter la station de métro pour ensuite se rendre au centre de relaxation qui n’était pas très loin. Décidément, les choses semblaient bien s’agencer d’elles mêmes ce soir. Il avançait avec la jolie jeune femme à ses bras. Il voyait bien qu’elle était la cible des regards masculins, aussi regardait-il ces hommes qui la matait avec un regard sombre qui voulait bien dire qu’il valait mieux ne pas essayer de venir demander son numéro de téléphone à la jolie donzelle. Il poussa ensuite la porte du centre et se dirigea vers l’accueil. Sur le trajet il n’avait pas hésité à s’arrêter en plein milieu du trottoir pour embrasser Phoenix avec des baisers coquins et des caresses appuyées, pour mieux ensuite s’arrêter dans son élan et reprendre la route. Lui aussi pouvait jouer à l’allumeur après tout.

Nous sommes deux!

Il paya et ensuite il alla dans les vestiaires des hommes, ayant eut bien du mal à se détacher du corps de Phoenix avant de quémander un dernier baiser pour ensuite disparaitre de sa vue. Il n’avait que son boxer pour faire office de maillot de bain. Tant pis, cela ferait bien l’affaire. C’était là tout le sel de faire des choses imprévues. Il retira donc ses autres vêtements et se rendit ensuite à la salle qui leur avait été réservée. Dans celle-ci, ils seraient tranquilles. Le décor était bucolique et zen en plus, ce qui ne gâchait rien. Il se plongea dans le jacuzzi et attendit l’arrivée de la belle brune. Entretemps, il laissa échapper de ses lèvres, alors qu’il avait les yeux fermés.

Ça fait du bien de pouvoir se détendre de la sorte.

Il profitait immédiatement de la chaleur de l'eau qui apaisa ses souffrances. Poussant un léger soupir qui montrait tout son apaisement, il ferma les yeux et se plongeait dans ses pensées savourant simplement ce moment de bonheur intense. Il ressemblait à une véritable boule de nerfs à l'état pur: il suffisait souvent qu'un simple doute envahisse ses pensées pour qu’il se pose alors des milliers de questions comme si sa propre existence en dépendait. Ainsi, ce jacuzzi et surtout, la présence de la belle Phoenix lui apportait la sérénité dont il manquait cruellement dans sa vie quotidienne. Bercé par ce silence reposant que seul le bruit des bulles venait briser, il commençait à s'assoupir tout doucement pour rejoindre ses rêves lorsqu’il entendit un léger bruit qui le fit sursauter légèrement. Puis il la vit arriver et il fut saisit par la beauté de la jolie brunette. Petit à petit il finissait par en voir un peu plus, durant cette soirée, du corps à moitié nu de Phoenix. Il la laissa prendre place avec lui.

Alors dis-moi, ça fait longtemps que tu te trouves dans cette ville?