Après la plage, le resto et la boîte ... Aaron

Même leur chemin en taxi se fit simple, et sans ce qu’on pourrait appeler bavures. Une petite demi heure de voiture seulement, et les voila devant l’hôtel luxueux qui servait d’appartement au jeune homme. Ils passent tout de même par la réception, d’une part pour demander les clés qu’il avait laissé, mais aussi pour annoncer qu’ils ne souhaitaient absolument pas être dérangé, et qu’on n’aurait qu’a leur monter les repas que lorsqu’ils téléphoneraient a la réception. Autant qu’ils soient, durant leur grippe, seuls tout les deux hein…

Bien entendu, ils s’empressent presque de monter a l’étage, et sans même qu’ils ne soient déjà rentré, voila la belle Adriana qui se collé a lui, Bien entendu, il en profita pour poser ses mains sur ses hanches, et laisser ses lèvres frôler les siennes, provocation supplémentaire.

Moi aussi, je suis fier de nous… mais maintenant….

Un sourire joueur se plante sur son visage, alors qu’il s’avance d’un pas, coinçant la jeune femme entre lui et la porte, une main venant fouiller sa poche sortir la clé, et ouvrir la porte, poussant la belle brésilienne dans la pièce. Un grand lit, une salle de bain contiguë, et diverse pièces, c’était en fait un petit appartement luxueux, tout pour la belle vie en soit.

Passons au plan B

Il ferme simplement la porte, qu’il verrouille même, histoire d’être certain qu’ils soient seuls, un petit baiser, histoire de gouter aux lèvres de la jeune femme.

Attends, autant faire ça dans les règles… mets toi a l’aise, j’reviens

Il s’éclipse quelques seconde, ouvrant le petit réfrigérateur, duquel il sort une bouteille de champagne qu’il met dans un petit seau plein de glaçons, attrapant deux verres, il revient vers le lit…

D’un geste lent, il imite la jeune femme, retirant ses chaussures, qu’il balance dans un coin de la pièce en agitant les pieds l’un après l’autre. D’un petit bond, il rejoint la lit, sur lequel il se laisse tomber, faisant sauter le bouchon de la bouteille, et servant dans la foulée les deux verres, en tendant un a la belle brésilienne. Et pour faire de la place, il se glisse jusqu’au haut du lit, posant le seau a glaçon et la bouteille sur la table de chevet.

La pauvre bouteille, c’est vrai.

Adossé au bois de lit, il tape sur la place a coté de lui, et ajoute un clin d’œil, histoire d’inviter la jeune femme a venir le rejoindre, parce que si la bouteille avait attendu, lui aussi l’avait fait. Et même s’il ne souhaitait pas presser les choses, autant les rendre d’emblée attrayante non?

Allez viens là, on va trinquer encore une fois en plus.

Un haussement de sourcils en dit aussi long sur son état du moment, a savoir euphorique et ’open’ pour cette fameuse nuit… matinée… semaine même de … fièvre.

Faute de soupe et de médicaments, on va se réchauffer autrement tant que j’y pense.

Amusé, le jeune homme tape doucement son verre contre le sien, et s’enfile quelques gorgée, bien entendu, il buvait vite, trop sans doute, mais le coup de chaud offert par l’alcool ne serait qu’une chose encore meilleure pour la suite de leur nuit, qui chaque seconde promettait d’être plus chaude que possible. La jeune femme, qui était venue le rejoindre pour s’assoir juste a coté de lui, pour ne pas dire contre, lui lança une regard bouillant, qui ne put pas laisser froid le jeune Aaron.

Comment comptait-il s’y prendre? Avec un petit sourire, il avance encore son visage plus prêt du sien, plissant légèrement les yeux, ses lèvres frôlant les siennes, sans qu’il ne l’embrasse pour autant, sa main libre, quant a elle, vint passer derrière le dos de la belle brune, afin de l’entrainer d’avantage contre lui, qu’ils soient assit, tout contre l’autre, ou chaque petit mouvement ne pourrait qu’attiser d’avantage leur envie réciproque.

Pour l’instant… peut-être ne devrais-je pas te réchauffer, mais te refroidir, ta fièvre et palpable d’ici… je me trompe?

Avec un petit sourire, il recule un peu la tête, fixant ses lèvres.

Mais, histoire de m’assurer que tu aille bien, je t’occulterais plus tard

D’un trait, il imite la jeune femme, vidant son verre de champagne, qu’il repose sur la table de chevet, sans meme regarder, bien trop occupé a fixer la jeune femme. Collée a lui, elle fait de même, posant le faire, signe qu’a présent, ils commençaient les choses sérieuses. Et c’est elle qui ouvrit clairement le bal, une bise sur sa joue pour commencer, glissant des baisers jusqu’à ce que leurs lèvres ne viennent se coller l’une l’autre dans un baiser passionné.

Prolongeant toujours l’embrassade, le jeune Aaron laisse sa main voyager dans le dos de la jeune femme, il recule finalement la tête, lui lançant un sourire complice, et charmeur, sa main quittant le dos de Adriana pour venir glisser sur sa hanche, et descendre plus bas, sur sa cuisse, afin de remonter lentement le tissu de sa robe.

Déjà, je crois que ça, c’est de trop

Se redressant un peu, il laisse son autre main venir faire glisser les bretelles du haut de sa robe. Ses lèvres venant se poser dans sa gorge, et suivre la bretelle qu’il retirait lentement. Son autre main relacha le bas de la robe, remontée un peu plus haut que la mi cuisse. Nouvellement libre, cette main ne resta pas inactive, puisqu’elle vint se glisser dans le dos de la belle latine.

A peinte eut-il commencé a essayer de retirer la robe de la belle Adriana que cette dernière en faisait autant avec son tee-shirt, qu’elle envoya valser un peu plus loin, venant caresser son torse, et faisant naitre quelques frissons chez Aaron. Bien entendu, décidé a lui rendre la pareille, il s’activa un peu sa main revint a la cherche, faisant remonter la robe, pour finalement la lui retirer de la même manière qu’elle avait enlevé son haut a lui.
Il l’aida aussi a retirer son jean, qui vint voler dans un troisième coin de la salle, en a peine quelques secondes, ils passait de boire de champagne a s’effeuiller mutuellement… quoique c’était une habitude chez eux maintenant.

Attends…

Avec un petit sourire en coin, faisant signe a la jeune femme de s’allonger. Un sourire parfait sur le visage, il grogne en tendant la main vers le seau, duquel il sort un glaçon, lançant vers la jeune femme un regard aguicheur et brulant.

Histoire de sortir du banal…

Haussant les épaules, l’air de dire « ça passe ou ça casse » le jeune homme écoute les paroles de la jeune femme, bien entendu, son visage se fend dans un nouveau sourire, alors qu’il agite presque diaboliquement le glaçon. Dans l’innonvation? Oui sans aucun doutes.

Disons que si on doit passer plusieurs jours, autant que ça soit différent pour chacune des fois ou il se passera quelques choses… là les glaçon, après on trouveras bien de toute façon.

Ricanant légèrement, il revint donc auprès d’elle, se penchant au dessus d’elle, se retenant d’une mains, l’autre tenant toujours le glaçon fondant. Il se contente d’abord de l’embrasser, doucement, simplement, descendant ses baisers, sur son menton, et dans sa con. Et puis, relevant la tête, c’est au tour du glaçon de tenir toucher la peau de la brulante latine, étalant d’abord un peu d’eau glacé dû a la fonte sur ses lèvres, puis son menton, ses lèvre venant se reposer sur les siennes. Et puis, le glaçon descend, lentement, entre ses seins, suivit de prêt par la langue du jeune homme, qui semblait chercher a effacer le trace d’eau glacé. La descente lente continue, il joue un peu, faisant tourner le glaçon autour du nombre de la jeune femme, ses lèvres, elles, remontant lentement.
Finalement, il laisse le glaçon sur le nombre de la belle, lui lançant un sourire brulant, sa main nouvellement libre, et trempée vint glisser dans son dos, histoire de défaire son soutient gorge. Dés lors, il revint chercher le petit bloc d’eau gelé, qu’il fait remonter jusqu’à ses seins parfait, frôlant ses tétons avec celui-ci.

Il remonte finalement lentement, le glaçon ayant tout bonnement complètement fondu, ses lèvres venant clore celles de la jeune femme dans un nouveau baiser, durant lequel il ne put s’empêcher de frissonner, sous le contact des mains de sa partenaire, qui descendaient dans son dos, pour finalement commencer a retirer petit a petit son boxer.

Pour toute réponse a ce geste, il laisse sa main droite glisser sur le corps de la jeune femme, caressant ses seins, puis descendant plus bas. Caressant l’intérieur de ses cuisses, et frôlant son entrejambes, ses lèvres elles, voyageaient entre sa gorge, ses lèvre, et ses seins, Aaron ayant décidé qu’ils commenceraient doucement, histoire de débuter leur nuit de retrouvaille sur une note plus douce… la fougue viendrait bien plus tard, ils avaient le temps pour ça.

Continuant ainsi, il passe la vitesse tout de même, sa main, glissant entre ses cuisses, se fit plus entreprenante, et vint lentement entrer dans sa culotte, caressant lentement son intimité.

Est-ce que je suis pardonné maintenant?

Ricanant légèrement, il lui envoie un clin d’œil, continuant ses caresse sur son sexe, et venant l’embrasser une fois de plus.

Prolongeant ce dernier baiser fougueux durant quelques minutes, le jeune homme met un peu plus d’ardeur a la tache, en caressant un peu plus rapidement l’entrejambe de la jeune femme. Sans boxer, il fallait bien qu’elle aussi se retrouve entièrement nue, c’est donc avec lenteur qu’il se redresse, et retire lentement le dernier vêtement de la jeune femme. Lentement, il revient vers elle, l’embrassant une fois de plus, et redescend, lentement, embrassant d’abord sa gorge, puis ses seins, qu’il lèche, et mordille légèrement, descendant de nouveau, il joue un peu a lécher, et embrasser le ventre de la jeune femme.

Et puis, dans la continuité, il descend encore, une main se posant sur sa poitrine, l’autre tenant sa cuisse. Et il laisse sa bouche s’approcher de l’intimité de celle-ci, la flattant de petit coup de langue audacieux, qui bien vite deviennent des léchouilles presque fougueuse tant il y met du cœur, sa main, inutile autour de sa cuisse, vint même se glisser la dedans, caressant, en plus de sa langue le sexe de la brulante brésilienne.

Relevant la tête quelques instant, en lui offrant un sourire plein de malice, il s’y remet, cette fois-ci, laissant un doigt entrer lentement de son vagin, et aller et venir doucement

Relevant une fois de plus la tête, il croise le regard de la belle brune, provocant, charmeur, aguicheur, tout ce qui fit penser a Aaron qu’elle en désirait d’avantage. Soucieux de son bien être, Aaron lui adressa un sourire large et tout aussi brulant que le sien, suivit d’un clin d’œil du genre « t’inquiete j’m’occupe de tout » et lentement, il reprit ou il en était, sa langue jouant parfois rapidement avec son clitoris, ralentissant pour mieux accélérer, histoire que jamais elle ne ressente la même chose sur ses agissements.

Son doigts aussi continuait ses lents va et vient en elle, n’allant ni trop loin, ni pas assez, il ne cherchait qu’a faire naitre un début de plaisir, la faire envier la suite, la faire imaginer ce que serait le reste de la nuit. Et puis, il ralentit lentement son action, sa main cessant de bouger en elle, et il refit donc le chemin inverse, remontant en embrassant et en léchant son corps, son nombril, ses seins, sur lesquels il s’attarda tout particulièrement, venant l’embrasser avec fougue.

Ses lèvres, après quelques minutes s’éloignent des siennes, déviant vers son oreille, qu’il mordille lentement, ses deux mains s’occupant parfaitement de sa poitrine parfaite.

A toi de jouer maintenant…

Sur ses mots, il se décale, s’allonge sur le dos, en entrainant la jeune femme avec lui, histoire qu’ils inverse simplement les roles.

Allongé sur le dos, le jeune homme se redresse en s’appuyant sur ses coudes, laissant la belle brésilienne prendre position a califourchon sur lui. Leur baiser qu’elle lui offre le laisse sans voix, lui donnant, a vrai dire une belle claque, qui le motive pour la suite bien entendu. Secouant un peu la tête, il la regarde descendre lentement, serrant les dents pour ne pas soupirer sous ses actes, griffures et morsures l’émoustillant comme jamais.

Les caresses de la jeune femme viennent jusqu’à son sexe, qui a peine la main de la belle brune posé dessus, se gonfla un peu de sang. Les baisers descende, les caresses s’amplifie, mais il tient bon, et se jure de ne pas lui montrer de suite l’effet qu’elle lui faisait.

Et puis, la jeune femme vint a mettre son sexe dans sa bouche, le faisant complètement frissonner, le premier va et vient est irrésistible, les suivants carrément magique, si bien qu’il ne peut se retenir plus longtemps, lâchant un soupire franc de béatitude. L’une de ses mains vient simplement lui caresser la nuque, les cheveux, la joue même pour la remercier de ce qu’elle faisait. Son sexe, quant a lui, s’érigeait peu a peu, fièrement de toute sa taille, prêt a l’action.

Laissant la jeune femme faire, Aaron ne put s’empêcher de soupirer, la regardant faire sa tache avec une attitude de pure béatitude, une chose était certaine, Adriana était une partenaire parfaite, et ce n’est pas Aaron qui irait dire le contraire. Elle arrêta toutefois ce qu’elle faisait, certes, il aurait put la laisser faire durant des heures, mais il ne faut pas trop profiter des bonnes choses après tout. Il la laissa donc revenir, lui souriant en guise de remerciement, se promettant de lui faire atteindre les summum du plaisir dans les minutes qui suivraient.

Souriant, il caresse délicatement ses hanches, lui envoyant un clin d’œil, avant de se redresser un peu, une de ses main se posant sur sa joue, il l’embrasse dans la foulée avec fougue, son autre main venant caresser un peu le sexe de la belle brésilienne.

Après quelques secondes ainsi, il se retourne vivement, entrainant la jeune femme avec lui, histoire d’inverser les positions une fois de plus, son bassin se callant entre les jambes de la jeune femme, ils commenceraient par le classique missionnaire. Comme toujours, Aaron vint l’embrasser, et recule un peu la tête, plantant son regard dans le sien, simplement pour attendre qu’elle lui donne le feu vert pour la pénétrer.