« LIGHT MY FIRE »

Oh, gosh. Il n'avait pas prévu, dans sa boite crânienne, qu'un tel scénario pourrait avoir cours. Garant sa caisse à une quinzaine de pas de son logement, Gabriel se remettait tout juste de la fellation qu'il devait déjà se déplacer. Il avait enfilé une veste et dissimulait son érection en refermant la braguette de son jean, quittant l'habitacle du véhicule et ouvrant la portière passagère pour que les formes pulpeuses de la belle puissent se retrouver à l'air libre. La fraîcheur subsistait mais, pour sa part, les hormones agissaient comme des catalyseurs, des incendies qui circulaient dans ses veines et le laissait totalement anesthésié de la température ambiante. Malgré la faible distance qui les séparait désormais d'un lieu plus confortable qu'une ruelle, une frénésie presque animale le poussait à vouloir déchirer le peu d'habits qu'elle avait revêtu et à la baiser sur le capot de sa bagnole. Injectant du sang-froid à son organisme, il se contenta de lui sourire, de reluquer ses fesses et de claquer la portière avant d'escorter la vedette jusqu'à son antre.

Gabriel eut un instant l'idée de lui passer un bras autour des hanches mais il redoutait que ce geste en entraîne un autre, et un autre, amenant un cycle sexuel au milieu de la rue qui ne lui semblait pas à même de correspondre à ses attentes. Il y avait dans son appartement assez de fantaisies à accomplir pour qu'il puisse parvenir à restreindre ses envies pour une poignée de minutes. S'allumant une cigarette tout en marchant à côté d'elle, il s'avisa par les lueurs éparses des lampadaires que la fatigue n'avait pas encore le contrôle de la jeune femme et qu'il pouvait encore abuser d'elle pour une heure ou deux. Plutôt deux se dit-il en baissant son regard jusqu'à sa poitrine. Même si tout était né sur de l'attirance physique, il lui venait peu à peu quelques attentions, quelques pensées qui dérogeaient à son tempérament turbulent. Il était obsédé par le sexe mais avec le temps il se disait qu'elle pourrait calmer ses ardeurs et faire en sorte que sa vie se conjugue avec autre chose que des culottes et des orgasmes.

« J'habite dans ce building, au troisième étage. On sera tranquille, la plupart de mes voisins sont des étudiants et ils ne doivent pas employer la nuit pour dormir à l'heure qu'il est. »

Tirant abondamment sur sa clope, y reposant son impétuosité, Gabriel parvint peu à peu à être presque calme. Avançant sans songer au déhanchement de sa gonzesse qui lui renvoyait des images de ses danses au cabaret. Mentalement, il visualisa brièvement son appartement, essayant de se souvenir s'il était dans un état correct ou désastreux. Certes, elle ne devait pas l'accompagner et s'inquiéter réellement d'être dans un environnement chaotique mais Gabriel songeait déjà à explorer les pièces en corps-à-corps et il n'était guère désireux de se heurter à un capharnaüm. Il se rappelait que la chambre était clean ; la salle de bain aussi. Le reste, well, ils verraient. Pianotant le code à l'entrée, un de ses bras massifs ouvrit la porte et laissa la frêle silhouette de Phoenix s'y engouffrer. Une occasion supplémentaire de la contempler de dos, ramenant des images de leur rencontre brutale il y a peu. Ils arrivèrent à la jonction ascenseur/escaliers et, au vu des dizaines de marches, Gabriel opta pour la cage montante même si cela impliquait une promiscuité dont il se savait incapable de résister. Si, dans la voiture, il lui avait demandé ses services particuliers ce n'était que pour dégrafer ses pensées sordides et se concentrer sur la route. Pénétrant dans le faible habitacle, il appuya calmement sur l'étage désiré avant de se retourner vers Phoenix et de la plaquer contre l'une des parois de l'ascenseur.

L'une de ses mains lui fit remonter la cuisse gauche alors qu'ils échangeaient un baiser mêlant la passion et l'érotisme, son corps chaud se pressant contre le sien ; son parfum enivrant ses sens alors qu'il posait ses lèvres à son cou. Le roulement métallique de l'ascenseur était à peine audible tant leurs souffles s'étaient accélérés, lui la dominant et la piégeant avec sa carrure. Donnant presque l'illusion de la baiser dans son bassin était collé entre ses reins, sa bosse massant l'entrejambe de la belle. Durant les quelques secondes d'ascension, il laissa ses doigts en liberté, agrippant sévèrement l'un de ses seins et ne laissant guère tranquille les lèvres pulpeuses de Phoenix. Au signal correspondant à l'ouverture des portes, Gabriel employa ses muscles pour la soulever, l'entraînant dans un couloir où plus d'une porte jonchait les côtés. L'ayant solidement dans ses bras, Gabriel ne manœuvra cependant pas avec délicatesse, le dos de la jeune femme heurtant quelques parois mais il reprenait bien vite la bonne direction et il avait déjà les clés dans sa main droite, face à la porte de son appartement, lorsqu'un jeune homme torse nu à moitié réveillé ouvrit sa propre porte pour savoir qui avait frappé.

Il se contenta de refermer tout en secouant la tête alors qu'eux deux en venaient enfin à rentrer dans son appartement. L'acteur pornographique ne la reposa pas sur le sol mais directement sur son lit, échangeant un dernier baiser avant d'ôter le bas de ses fringues en un mouvement succinct dont aucune résistance ne put l'arrêter. Il en vint à enfouir son visage entre les cuisses de la jeune femme, redécouvrant son vagina qu'il n'avait profité qu'à moitié dans la ruelle. Sa langue parcourut la corolle, cherchant le point d'orgue et insistant toujours un peu plus, délaissant la jeune femme de tout contrôle alors que son cunni' ne faisait que commencer. Ses doigts caressant l'intérieur de ses cuisses.

Une certaine obscurité habillait l'atmosphère, la seule lumière venant de la fenêtre où la lune et un lampadaire à proximité divulguait un faible éclairage sur son lit. Phœnix, jambes écartées, subissait déjà une atteinte à sa personne, sa langue extrayant des soupirs de sa gorge alors que ses mains puissantes caressaient et s'emparaient de temps à autre de ses cuisses. Auparavant inquiet quant au comportement de la danseuse, Gabriel avait cessé d'être sur la défensive à son égard ; son couteau devait se promener dans sa veste ou sa bagnole, le seul danger qui le menaçait était de connaître plus d'une nuit blanche maintenant que la jeune femme connaissait l'emplacement de son habitation. Il percevait sa résistance à ne pas vouloir s'avouer vaincue si vite, ankylosant la moindre décharge électrique qui souhaitait naître dans son bas-ventre mais il insistait, ayant assez d'expérience en la matière pour que sa torture soit garante de plus d'un frisson pour la belle. Il était bien loin du pseudo-viol qu'il avait souhaité commettre. Il lui tardait de la baiser à nouveau, sauvagement, dans un lieu plus douillet mais l'acteur réfrénait ses envies pour pousser presque la jeune femme à vouloir elle-même la suite des évènements. La sentir si incontrôlable qu'elle s'immolerait sur son corps d'éphèbe, partageant son furieux désir avec son habilité et sa force. Gabriel se débarrassa aisément de sa veste, laissant percevoir son torse imberbe et musclé, les pectoraux saillants qui faisaient fantasmer plus d'une jeune femme.

Ayant pleinement le contrôle sur Phœnix, il ne manquait pas de diriger ses deux cuisses en les faisant s'ouvrir davantage ou en les repliant légèrement, les manœuvrant et les palpant ; tacitement, il faisait comprendre qu'elle était désormais sa poupée, si frêle, si sexuelle, à même d'être promenée dans un couloir ou de se voir malmenée par ses bons soins dans une ruelle. Il la voulait docile mais avec une pointe de rébellion dans les yeux, prête à tortiller des hanches sur des pistes de danse mais ne confiant réellement ses meilleurs prestations qu'à son attention. Sa langue jugula toujours un peu plus la tension dans son corps, découvrant peu à peu les faiblesses de la belle et y insistant tout naturellement. Même si elle cherchait à élever des barrières contre le plaisir, Gabriel faisait en sorte que les vagues brisent ces fabrications et la laisse toujours un peu plus instable sur son lit. Une de ses mains lui lâcha une cuisse et il ouvrit la braguette de son jean ; son sexe ne s'était jamais véritablement remis de sa fellation et il se contenta de le laisser simplement sorti, n'ayant désormais plus l'impression d'être à l'étroit dans ses habits. Sa langue s'employa d'ailleurs à imiter un pénis, allant et venant dans son intimité en ayant toujours en leitmotiv le souhait de placer un baril de kérosène dans le bas-ventre de Phœnix et d'y jeter régulièrement des allumettes.

Elle pouvait crier, hurler, gémir. C'était là tout son souhait et il ne rechignait à rien pour y arriver. Si la nuit avait déjà bien commencée, elle était loin d'être finie. Peu à peu, il cessa son insistance buccale, ses baisers se perdaient autour de son vagina avant de remonter lentement ; sa bouche s'empara du sommet d'un de ses seins, jouant à nouveau sur les sensations alors que ses mains s'emparaient des deux globes fermes et les pressaient avidement. Sa poigne n'était pas brutale mais malgré tout sérieuse, cherchant à faire ressortir d'autant plus le charme de la belle en massant sa poitrine. Il termina son ascension en partageant un baiser incandescent avec elle, leurs sexes se frottant avec une lascivité plaisante. Les doigts de l'acteur glissèrent dans le dos de la jeune femme, dédiant des effleurements jusqu'à ses fesses qu'il s'empara généreusement, les utilisant finalement pour garder Phœnix contre lui tandis qu'il faisait en sorte de se retrouver sous elle en tournant. Quelque chose lui disait qu'elle souhaitait désormais prendre les rênes, ayant été une victime à la fois dans la ruelle puis utilisée dans la voiture, et démontrer son caractère foncièrement nymphomane. Son bassin lui semblait à même de délivrer des coups de reins fulgurants autant sur une piste de danse que dans un lit. Et juste après, il allait veiller à ce qu'elle soit sévèrement secouée à son tour de manière à ce qu'elle se souvienne particulièrement bien de lui. Qu'elle devienne addict à sa dose d'orgasmes régulières par un de ses fans les mieux membrés.

« Je te ferais visiter l'appart' un peu plus tard... » susurra-t-il. Annonçant déjà à la fois ce qui pouvait suivre mais également une manière sous-entendue de dire qu'elle ne passerait pas seulement une nuit en sa compagnie. L'heure était mal choisie pour songer à l'avenir et ils seraient à même d'y songer plus tard, quand ils ne seraient plus traversés par des désirs salvateurs. Gabriel continua d'échanger des baisers tout en laissant ses mains pleinement s'accaparer de toutes ses formes, la palpant et la caressant habilement.

La pénombre dans laquelle était plongée la pièce, était suffisant que pour discerner les mouvements de deux corps dont l’un partiellement nu, protéger par un manteau ouvert de haut en bas ce qui n’empêchait pas la lumière d’épouser les courbes avantageuses de la belle danseuse, leur donnant un certain contraste puisque faiblement éclairées. Rejetant la tête vers l’arrière ainsi qu’une cascade d’une chevelure soyeuse, les yeux fermés, Phoenix se laissait emportée par l’envie qui grimpait petit à petit au niveau de son bas-ventre grâce à la dextérité de Gabriel qui lui offrait un cunni’ sans pareil, provocant les soubresauts et les soupirs de la belle. Il lui manipulait les jambes à sa guise, sans qu’on lui offre quelconque résistance. C’était si bon. Elle caressa le haut du crâne de Gabriel d’une main tendre et douce avant de relever la tête vers lui.

La vue de son membre bien dressé était plaisante à voir, d’autant plus qu’elle en connaissait la raison particulière qui l’avait gardé éveillé depuis qu’ils avaient quitté les recoins sombres d’une ruelle. Phoenix se mordit brusquement la lèvre inférieure lorsque la langue de Gabriel s’introduisit dans son intimité à la manière d’un pénis qui y faisait des aller et venue. Les quelques décharges électriques supplémentaires qu’il lui imposait étaient suffisante pour faire réagir la belle dont le corps se crispaient de temps à autre sous ses coups de langues, ses mains rejoignant les draps qu’elles serraient fortement, incapable de contrôler l’effet d’instabilité qu’il lui infligeait. Gabriel était de toute évidence plus fort qu’elle à ce petit jeu, soutirant à la belle de petits cris à demi retenus. Phoenix baissa les yeux vers lui, le regardant faire, profitant de chacun de ses mouvements. Il la voulait à sa merci, en pleine état d’excitation, chose que l’acteur pornographique parvenait à faire sans peine. Du haut de ses vingt et un ans, la belle danseuse avait rarement croisé un homme à même de provoquer en elle autant de désir autant de plaisir rien qu’avec un jeu de langue parfaitement habile. Elle aimait le sentir redessiner le pourtour de son vagin de baisers affamés avant d’entreprendre une ascension le long de son corps jusqu’à ses seins qui avait tout bonnement droit à un traitement de faveurs.Glissant un doigt sous son menton, elle s’empara de son visage pour le rapprocher du sien et l’embrasser avec plus de fougue. Ses gestes semblaient plus prompts, plus à même de démontrer à quel point elle avait envie de lui, plus que jamais. L’agression dans la ruelle n’avait alors été qu’un apéritif, partageant désormais les cartes à peu près à force égale. Phoenix savait que la nuit serait d’autant plus longue qu’affreusement agréable. En quelque part, la Belle semblait avoir un ange gardien là-haut, dans le ciel qui avait fait en sorte que son chemin croise celui de Gabriel et non celui d’un détraqué avide de sexe auquel elle aurait servi de vide-couilles rien de plus, peut-être la lame au coup sérieusement cette fois, une fois le méfait accompli, comme on racontait bien trop souvent dans les journaux d’agression sauvage de jeunes femmes, tard le soir, qui s’était soldé par un meurtre sordides. Bien que Gabriel s’était donné les airs d’un agresseur sans pitié, sa véritable personnalité était beaucoup plus plaisante à côtoyer, surtout sachant que la surprendre au détour d’une rue n’avait été qu’un moyen de l’approcher marquant à grands coups son entrée dans la vie de la jeune femme devant laquelle il avait baissé les armes. Tout deux semblaient visé le même but soit l’assouvissement de leurs pulsions premières et ce pourquoi ils se retrouvaient dans le même lit. Phoenix aimait sentir les mains de Gabriel parcourir son corps en entier provocant de temps à autre de doux frissons qui la faisait frémir de plaisir. La proximité de leurs sexes, le fait qu’ils flirtent dangereusement, rendait l’envie de baiser comme jamais était d’autant plus insoutenable que Phoenix passait ses nerfs en embrassant Gabriel langoureusement, avide de sexe. La chaleur de leurs corps bouillants se mélangeant, créait en quelque sorte une aura autour d’eux qui les isolait du reste. La belle danseuse accompagna le mouvement de Gabriel pour se retrouver au-dessus de lui, bien qu’entièrement allongée contre lui, leurs lèvres ne trouvant pas le moyen de se séparer pour le moment. Elle déplaça ses baisers contre son torse musclé lorsqu’il prit parole, le léchant parfois jusque dans son cou et alla jouer avec le lobe de son oreille.

Elle lui répondit d’un simple hochement de tête approbateur, croisant son regard quelques instants tétanisée par la profondeur de celui-ci tout en lui renvoyant un de ces petits airs irrésistiblement charmeur. L’une de ses mains dessina tout doucement les muscles saillants de Gabriel, tout en descendant lentement jusqu’à son membre dressé, qu’elle saisit fermement, le faisant glisser entre ses doigts pour le branler vigoureusement. Une façon peu subtile de lui faire savoir qu’elle ne le jugeant pas suffisamment éveillé pour lui en offrir plus, mais également pour le faire patienter un peu. Phoenix continua de s’appliquer à la tâche tout en ayant reposé ses lèvres contre les siennes, les yeux clos faisant durer un peu plus le plaisir avant de daigner s'attaquer plus sérieusement. Une chose était sûre, ce ne serait pas la dernière nuit des deux amants et ils s’entendaient plutôt bien là-dessus bien qu’aucune parole ne fut dite. Ils se comprenaient bien mieux autrement.

Les pales du ventilo au plafond (qu'il avait oublié de couper à son départ pour violer Phœnix) continuaient à tourner, envoyant une fraîcheur à peine palpable sur le lit. L'ensemble de ses muscles étaient maintenant à l'état de veille. Gabriel était sous le joug des mains de la danseuse, la laissant accomplir son job, sa tâche. Il ne savait s'il préférait la voir totalement habillée de lumière, en train de le masturber, ou bien si l'obscurité n'était pas un charme supplémentaire. Ses doigts commençaient à ne plus pouvoir faire le tour de son sexe. Si la plupart des hommes aimait l'idée d'être le détenteur d'une virilité impressionnante, l'acteur avait la chance d'avoir cela pour réalité. Son souffle connaissait des perturbations alors que ses mains épaisses passaient dans les cheveux de sa compagne, ayant régulièrement la visite de son minois qui souhaitait échanger un baiser langoureux aux accents érotiques. En toile de fond il ne perdait l'envie de la baiser violemment. Des soupçons de tendresse cherchaient parfois à s'immiscer dans le scénario sexuel de sa boite crânienne mais l'idée qui faisait pilier était de la sentir tremblante. Agonisante de plaisir. Et il avait la force à même d'y contribuer.

Gabriel retenait pour l'heure ses mouvements, golem de chair qui faisait une grève pour permettre à la jeune femme de reprendre le pouvoir. D'avoir la sensation d'être la maîtresse du pieu. Un courant électrique traversait souvent ses avants-bras, ce désir de la ramener sous lui et de la pilonner avec toute l'élégance bestiale qui faisait sa réputation d'acteur pornographique. Il avait maintenant bien à l'esprit qu'il partageait une nuit avec son fantasme personnel. Et il comptait bien lui donner envie de revenir, histoire d'être secouée dans les règles de l'art. Cela lui plairait qu'elle soit une régulière, cherchant sa dose quotidienne de plaisirs éphémères. Il empoigna l'un des seins de la jeune femme, le massant et le compressant tout en ayant encore le traitement manuel de Phœnix comme torture plaisante.

« Je croyais que tu te débrouillais mieux que cela avec les barres... Une douche me procure plus de vibrations. »

L'ayant déjà bien allumé avec sa langue, Gabriel espérait bien avoir le droit à une batterie de vertiges de la part de sa belle. Et jouer avec son égo lui semblait être un chemin des plus adéquats. Tout deux avait à gagner à se complaire mutuellement. Plus vite il serait à même de la baiser, plus vite elle serait à même de prendre son pied. Et si la ruelle laissait encore un souvenir plaisant, les promesses du futur suffisaient à le faire bander d'autant plus. Le confort du lit ne permettrait que davantage à savourer ses coups de reins salvateurs.

Une hargne colonisait ses veines et malgré l'efficacité des doigts, il la voulait pleinement concentrer à la tâche. Une manière pour lui de déterminer à quel point elle souhaitait partager sa vie avec lui. Elle n'était clairement pas une prude mais il pouvait vider ses couilles auprès de la première venue. Il voulait une salope. Recherchait une poupée à même de subvenir pleinement à ses besoins colossaux. Malgré ses nombreux tournages, Gabriel ne semblait jamais en mesure de diminuer ses désirs. Et Phœnix allait en être la victime durant cette longue nuit. Les idées commençaient déjà à circuler dans sa tête et sa carrure lui permettait de disposer comme il le souhaitait de la jeune femme dont la souplesse allait être mise à l'épreuve.

« Tu veux baiser ou dormir? » souffla-t-il finalement, ses doigts se refermant autour du cou de la belle sans serrer, entraînant des caresses qui se perdaient sur l'ensemble de ses formes.

Toujours allongée contre le corps musclé de Gabriel, ou plutôt collée contre lui sur le côté et une jambe par-dessus, Phoenix continuait d’exercer une pression plaisante sur la bite de son amant avant de venir le frotter contre son intimité qu’il pouvait sentir déjà bien ruisselante d’excitation. Mouvement qu’elle cessa au moment que le séduisant acteur porno termina sa phrase pour lui répliquer sèchement, bien que pas méchamment, laissant traîner ses doigts sur son torse musclé :

« Tu es certain de ce que tu avances là ? Tu sais… je peux toujours ramasser mes fringues et me tirer de ta piaule si tu me juges pas assez bonne pour toi. »

Phoenix se redressa, se servant de ses mains comme appui pour se maintenir au-dessus de Gabriel de nouveau, ses jambes repliées de chaque côté des siennes n'ayant aucune réelle intention de quitter la pièce. Elle soutenait intensément son regard, à la fois furieuse et provocatrice, se penchant un instant pour lui mordre la lèvre inférieure au moment où il crut que la belle danseuse voulait d’un nouveau baiser langoureux. Si le beau brun avait voulu jouer avec l’égo de la jeune femme, il était tombé pile sur une corde sensible qui consistait à remettre ses talents au lit en question, ce qu’elle ne prenait évidemment pas trop bien. Phoenix avait beau savoir qu’il ne cherchait qu’à la provoquer, il était impératif pour elle de lui faire ravaler de telles paroles prononcées à son endroit. Oui, la belle Phoenix avait la défaut d’être affreusement orgueilleuse et Gabriel aurait comme seule récompense, une seconde fellation de la demoiselle qui constatait que la patience ne faisait pas partie des vertus de son amant. Elle la lui apprendrait peut-être plus tard, une fois qu’ils auraient passé une première nuit ensemble.

Agissant comme une tigresse affamée, Luxuria descendit petit à petit le long du torse musclé de Gabriel, laissant traîner sa langue, comme par besoin personnel de le faire languir un peu plus longtemps. Puis, tenant toujours son membre entre ses mains, la jeune femme s’attaqua à sa base avant de laisser sa langue parcourir la bite du bel acteur porno sur toute sa longueur, sans même le quitter des yeux. Elle retourna ensuite gober ses bourses pleines, qu’elle suçait avec insistance comme pour faire savoir qu’elle ne les oubliait pas elles non plus. Se détachant un court instant pour rejeter une mèche de cheveux gênante vers l’arrière, Phoenix plongea finalement la bite de Gabriel entre ses lèvres pulpeuses, jouant à l’aide de sa langue avec le gland de son membre imposant dans sa bouche, qu’elle faisait rouler sous son palais. La belle poussa de petits « Mmhh mmhh » appuyés afin qu’ils soient audibles par le jeune homme au même moment où elle commençait à lui donner la sensation de va-et-vient dans sa bouche, comme s’il la lui baisait violemment. Ses mouvements se faisant de plus en plus rapides, elle glissa une main sous les bourses de l’acteur qu’elle caressa avant de les soupeser. Phoenix, qui avait baissé les yeux pour se concentrer sur le membre imposant et bien dressé de son amant que lorsqu’elle l’enfonça dans sa bouche pour la prendre en gorge profonde, tout en poursuivant les mouvements de va-et-vient. Son regard trahissait trop bien son petit côté. Salope et lui renvoyait le même petit air coquin qui l’avait séduit lors des shows précédents de la danseuses au Sweet Berry.

« À ton avis ? » Lâcha-t-elle en réponse à sa question, prenant ces quelques secondes pour pouvoir mieux respirer et reprendre son souffle avant de retourner s’attarder à son joujou favori. Elle aimait le voir aussi imposant alors qu’il grossissait toujours un peu plus sous ses doigts et sa bouche. Il ne fallait pas lui demander par deux fois, surtout qu'il était évident qu'elle n'avait pas très envie de dormir sagement à ses côtés, mais qu'un partie de jambes en l'air était beaucoup plus intéressante pour les deux partis, d'autant plus que Phoenix mourrait d'envie qu'il la possède à nouveau.

Heurtant le point sensible, Gabriel s'attira les foudres de Phœnix. Son corps chaud cessa d'être le vecteur d'un désir de plus en plus grand, le regard de la belle poignardant le sien et le défiant de réitérer ses propos. Tout deux savait qu'elle provoquait du plaisir ; et tout deux savait qu'elle ne partirait pas. L'amazone refusait le moindre commentaire à l'égard de ses prouesses sexuelles et il ne témoigna que d'un sourire muet, laissant ses bras à l'écart et attendant qu'elle se remette en action. Ce qui ne tarda pas. L'acteur commençait à se demander si, sous la peau pâle et douce de la danseuse, il n'y avait pas une nymphomane prête à tout pour griffer ardemment l'orgasme. Gabriel n'était guère patient et souhaitait lui directement en venir au blow-job, sentir la langue de Phœnix en tête-à-tête avec son outil de travail. S'activant à l'ouvrage avec une vivacité dévorante.

Il ne tenait qu'à elle de construire son plaisir futur. Gabriel plaça ses mains derrière sa propre nuque, fermant même un instant les yeux durant les premiers coups de langue pervers de sa compagne. Il sentit les yeux de la jeune femme sur lui tant et si bien qu'il partagea leur compagnie en ayant peu à peu du mal à retenir ses premiers soupirs. Son job l'entraînait assez souvent à se faire sucer mais il ne s'en lassait pas : et Phœnix avait des qualités indéniables. Ne délaissant rien, et offrant un logement à son sexe de plus en plus imposant. Des bruits de succions accompagnaient ses élans, entraînant toujours un peu plus sa queue dans sa gorge. Gabriel commençait à avoir la cage thoracique palpitante, subissant désormais la hargne de la jeune femme qui souhaitait lui confier un souvenir immortel de leur première nuit. Posant une main sur ses cheveux, il eut un sourire aux lèvres en l'entendant répondre en écho à sa question.

« Il est clair que tu veux baiser. » soupira-t-il tout en la laissant encore faire, profitant chaleureusement de sa fellation. Là, c'était un rythme qui lui convenait. L'air lubrique dans les pupilles de Phœnix était également à même de lui convenir tant il comptait sur son caractère pour passer une nuit blanche. La ruelle lui avait déjà donné à voir qu'elle ne craignait rien si ce n'est un rapport sexuel de moins de vingt minutes. Gabriel comptait bien la pilonner de longues heures. Ses deux mains se rejoignirent au menton de la danseuse pour l'inciter à cesser, la ramenant jusqu'à ses lèvres pour mieux tirer un baiser de son minois sexuel. Leur entente risquait d'être électrique mais à la longue il allait pouvoir s'habituer de sa compagnie. Au lit, ils commençaient à partager la même longueur d'onde. Sa main glissa entre ses cuisses, remarquant qu'elle n'avait pas perdu un zeste d'excitation.

« Alors baisons. »

Leurs sexes se frottaient, il en jouait, mais ils firent plus que se frotter une fois qu'il ramena la jeune femme sous lui. Gabriel acceptait que faiblement l'autorité féminine ; ses coups de reins étaient plus violents. L'acteur porno commença à s'immiscer jusqu'à la garde, une main sur son ventre, une autre sur un sein, et ses mouvements furent presque calmes en comparaison de la récente fellation. Il enregistra la sensation, veillant à ce qu'elle écarte les cuisses puis bloquant les poignets de Phœnix dans ses mains tout en l'embrassant et la baisant. Gabriel la voulait salope et soumise quand il le désirait, prête à se faire prendre aussi bien sauvagement que sagement.

Son vagina accueillit un rythme plus soutenu alors qu'il relâchait la pression de ses doigts, ses dents se laissant traîner sur sa poitrine. Durant cinq minutes, il n'y eut que leurs souffles chauds et le bruit du ventilo comme climat érotico-aphrodisiaque. Ce n'est qu'au terme de cette introduction qu'il amena les jambes de la jeune femme sur ses épaules, pouvant désormais s'insinuer plus vulgairement en elle. Son sexe ne rentra jusqu'alors qu'à moitié put désormais davantage disparaître. Et ils commençaient tout juste à vraiment profiter de la nuit.

Phoenix était bien déterminée à ancrer solidement un souvenir particulier d’elle et de leur nuit torride dans la mémoire du Beau brun qui ferait en sorte qu'il en demande encore - assurément -. Ils ne manqueraient probablement pas de se revoir par la suite, ce qui n’était pas pour déplaire à la jeune femme qui commençait à apprécier sérieusement les talents de baiseur de Gabriel, dont elle avait eut un court aperçu dans la ruelle et qui promettait pour la suite des événements. Quoi demander de plus à un acteur porno que de faire son travail et assouvir les pulsions sexuelles d’une jeune salope avide de sexe ? D’ailleurs celle-ci, s’adonnait toujours à une fellation exemplaire, fournissant l’énergie nécessaire pour provoquer de tendre frisson et faire grimper d’un cran ou deux l’envie qu’il pouvait déjà éprouver pour elle.

Déposant un petit baiser sur la bite tendue de Gabriel avant de la quitter, Phoenix laissa ce dernier ramener son visage vers le sien pour l’embrasser, chose que prolongea avec fougue la demoiselle, qui laissa sa langue accompagner celle de son amant dans une valse charnelle. Un petit rire se dessina au coin des lèvres de Phoenix, entre deux baisers lorsque la main du jeune homme était allé vérifier la tiédeur et l’humidité bien présente de l’intimité de sa compagne qui avait subit un cunni’ hors pair.

La jeune femme avait envie de lui comme jamais et savait que le tout était sans issus pour calmer ses ardeurs, si ce n’est de partager une longue baise excessivement sauvage avec le Beau brun bien membré pour qu’elle puisse songer à apaiser son appétit sexuel vorace. D’ailleurs, Luxuria ne répondit à l’affirmation de son amant que par un simplement petit hochement de tête approbateur, pour baiser ils allaient le faire et pas qu’un peu. Il ne restait à espérer que leur endurance était à peu près égale chez les deux partis, puisque Phoenix ne comptait pas demeurer sur sa faim.

La belle danseuse au teint de porcelaine, s’amusait à laisser la bite de Gabriel flirter avec son sexe, se tenant à proximité de l’entrée de vagina alors qu’elle était toujours allongée entièrement sur lui. Au moment que la jeune femme se retrouva de nouveau sur le dois, sous le corps musclé de Gabriel, elle savait qu’il n’était question que de quelques secondes avant qu’il n’abuse de nouveau de son corps de déesse. Luxuria laissant entendre un petit cri suivit d’un soupir lorsque le jeune homme la pénétra finalement avec force. Elle le laissa caresser son corps transi par un courant électrique qui la parcourait causé par le plaisir qu’il lui offrait sur un plateau. La belle le regardait avec des yeux qui lui renvoyait le message, l’ordre de faire d’elle sa soumise, sa pute pour la nuit entière alors qu’il lui tenait les poignets contre le matelas. Gabriel, taisait les gémissements de la jeune femme en l’embrassant, bien que quelques soupirs trouvaient le moyen de se glisser entre deux baisers.

Phoenix plongea son regard dans celui de Gabriel, alors qu’il lui avait relevé les jambes pour mieux la baiser avec sauvagerie. Le contact visuel était une forme d’excitation à part que pouvait soutirer l’acteur porno, puisque l’expression du visage aux traits fins de la demoiselle sous lui trahissait trop bien le malin plaisir qu’elle prenait à se faire pilonner de la sorte par lui, lui jetant de temps à autre de ces petits regards irrésistiblement coquins de la perverse qu’elle était.

Tout son corps gracile et parfait s’activaient sous les bourrasques puissantes du sexe du jeune homme en elle, la laissant tremblante d’un plaisir inouïe et d’autant plus intense alors que ses seins ballottaient au même rythme. D’ailleurs, Luxuria s’attarda à masser, malaxer d’une main sa poitrine avec insistance, faisant rouler ses tétons durcis entre ses doigts tandis la seconde, les doigts crispée contre les draps, s’accrochait au lit pour lui permette de mieux encaisser, de mieux sentir les coups de butoir de Gabriel qui la pénétrait avec vigueur. Cette fois, Phoenix gémissait à gorge déployée, cassant le silence paisible qui avait envahie la chambre quelques secondes auparavant. Ses cris étaient d’autant plus forts que comparables à ceux d’une petite chatte en chaleur, quoiqu’à quelques détails près, la belle danseuse l’était tout de même d’un certain sens, amoureuse inconditionnelle du sexe hard. Il était à espérer que les voisins de Gabriel dormaient à point fermé ou étaient plongés dans leurs bouquins d’études, écouteurs dans les oreilles pour ne pas entendre leurs ébats bestiaux. Cela dit, il fallait avouer qu’une petite branlette en solitaire n’avait jamais fait de mal à personne après tout tandis que la nuit serait longue et prometteuse pour les deux amants…

Malgré la baise sordide de la ruelle, Gabriel ne manquait pas d'ardeur. Son corps se cognait contre Phœnix, ne lui laissant qu'à peine le temps d'encaisser un coup de rein qu'un autre s'ensuivait. And again, again. A en voir les traits de son visage, elle comptait s'abonner. Du bout des doigts, il caressait ses cuisses encore en l'air, les écartant finalement peu à peu et les ramenant au niveau du lit. L'acteur avait passé de longues nuits à fantasmer sur le corps de cette tentatrice, se plaisant à revoir ses spectacles et voilà qu'elle en livrait un pervers à ses yeux. Se touchant, confrontant la lubricité de ses attouchements personnels et de son regard à la sienne, à peine plus vorace. Il entoura d'une main le menton de la jeune femme et l'embrassa, restant au niveau du minois de la belle tout en assénant quelques mouvements de bassin. Ses baisers se perdirent un instant à son cou. Récupérant dans sa boite crânienne le souvenir de son parfum corporel mais déjà il se redressait à moitié, sortant sa queue entièrement et la ramenant en Phœnix.

Cernant sur ses traits l'expression de son sentiment intime. Gabriel se passa une langue sur les lèvres tout en revenant à des mouvements plus basiques, ayant la sensation diffuse d'être en train de prendre son pied avec son fantasme. De baiser Luxuria juste après la fellation qu'elle lui avait gratifié. Il ne chercha pas même à lui demander si elle aimait tant elle répondait déjà avec sa gorge. Le voisinage tout entier était habitué à entendre des cris féminins mais Phœnix commençait à prendre la pole position ; elle gémissait tout en redemandant, souhaitant que la nuit se pare d'une blancheur éternelle. Et elle allait sûrement avoir son vœu d'exaucer. Il n'était pas un acteur pornographique pour ses yeux. Se reposant à nouveau sur la poitrine de Phœnix, après avoir mordillé le sommet d'un de ses seins, il passa ses bras au dos de la belle et la collant tout contre lui en se relevant légèrement.

« Et si je te faisais visiter la cuisine? » susurra-t-il simplement, comme un agent immobilier, tout en quittant le lit avec elle. Tâtonnant sur quatre pas avant de la poser sur la surface de travail de la cuisine, une partie du U que formait le mobilier des lieux. Le corps incandescent de la belle siégeait à côté d'une corbeille de fruits : une fraise se logea entre les lèvres de la belle dont il en mordit une partie, quittant finalement la jeune femme pour mieux la retourner et avoir sa croupe sous le nez. Ses pieds pouvaient toucher le sol et, tandis qu'elle pouvait observer le réfrigérateur à un mètre d'elle, il commença à la baiser à nouveau tout en acclimatant son second orifice aux possibles estocades qu'il allait recevoir d'ici peu.

La ruelle lui avait permis d'apprendre qu'elle était plutôt libre tant qu'elle pouvait mordre du plaisir. Mais Gabriel ne comptait pas la sodomiser, pas encore. Il gardait cela pour l'épisode dans la salle de bain à venir. Avec cette nouvelle position, il lui semblait pouvoir accéder plus intimement en Phœnix. A moins qu'elle ne soit encore plus coopérante désormais. Une de ses mains gifla légèrement l'une des fesses de la salope avant qu'il ne les empoigne, ne les compresse tout en s'insérant toujours un peu plus entre ses cuisses alors que la poitrine de la poupée se compressait un peu plus sur le plan de travail de la cuisine. Il comptait bien la faire jouir plus d'une fois durant cette longue nuit.

Il était évident, si l’on s’attardait quelques instants à lire à travers le regard de Phoenix, que celle-ci ne refuserait pour rien au monde de se retrouver en ces lieux un autre jour, un autre moment ou même se retrouver complètement ailleurs tant qu’elle recevait sa dose de sexe torride en compagnie de Gabriel. Elle avait trouvé chez lui un partenaire à sa mesure et ne comptait pas passer ceci sous silence. Le membre imposant et l’ardeur au lit du jeune acteur pornographique l’avait complètement séduite. La jeune femme frissonna aux caresses du bout des doigts qu’il offrit à ses cuisses tout en continuant de s’enfoncer en elle sans relâche. C’est un petit sourire coquin et des yeux illuminés par un plaisir extrêmement fort qui croisa le regard de Gabriel lorsqu’il attira son visage vers lui en lui prenant le menton. Pour s’aider, Luxuria s’appuya sur ses coudes, les jambes désormais revenues au niveau du lit, prolongeant avec fougue le baiser langoureux de Gabriel avant de rejeter ses cheveux vers l’arrière, la tête relevée, frémissante sous les baisers dont il en couvrit son cou. Phoenix rebaissa la tête un instant lorsqu’il se releva à moitié, jetant un œil à la queue colossale de son amant qui entrait et sortait de son intimité ruisselante d’excitation avec puissance.

La Belle n’avait même pas diminué l’intensité de ses gémissements de plaisir, poussant de temps à autre de longs râles toute les fois que Gabriel choisissait d’étirer le moment avant de mieux reprendre la cadence. Phoenix était le genre de femme qui ne se gênait absolument pas pour faire entendre à son ou sa partenaire tout le bien qu’il ou qu’elle prodiguait à son joli corps de rêve. La jeune danseuse caressa délicatement la nuque de Gabriel, glissant une main dans ses cheveux lorsqu’il s’attarda à mordiller l’un de ses seins. Sentant que son tendre amant cherchait à se relever avec elle, Luxuria accompagna ses mouvements, repliant ses jambes autour de son bassin pour ne pas trop le gêner dans ses déplacements. Une petite lueur complice jaillit dans les yeux de la belle qui faisait savoir son approbation pour qu’il lui fasse visiter une seconde pièce de son appartement.

« MHm.. avec plaisir, je veux bien faire le tour du proprio » 

En deux temps trois mouvements, Phoenix se retrouva alors assise sur la surface de travail de la cuisine, admirant au passage la déco plutôt jolie de la cuisine et la salle à manger que l'on apercevait un peu plus loin, avant d’entrouvrir la bouche lorsque Gabriel vint à lui glisser une fraise au bout de ses lèvres pour mieux en gober une partie, tout en laissa un petit baiser atteindre la demoiselle. La fraise était délicieuse. La jolie danseuse lui adressa un petit sourire charmeur avant de le laisser la retourner dos à lui. Phoenix se laissa quelques instants pour profiter de la chaleur des bras de Gabriel, collé contre son dos, caressant du bout des doigts la joue puis le menton de son amant. Puis suivant les désirs du jeune homme, elle se retrouva à présent penchée contre le comptoir, poussant un petit râle de plaisir lorsqu’elle senti sa queue s’immiscer à nouveau entre ses cuisses. Appréciant de nouveau les coups de reins et de bassin qu’il lui donnait, son corps gracieux se cambra légèrement pour mieux encaisser le doux traitement que Gabriel offrait à sa petite chatte. Ce qu’elle aimait qu’il la baise ainsi sans retenu, sentant qu’il s’approchait dangereusement de son petit anus, de l’entre de ses fesses.

« Ah ah... ah ouii! Ouii ! Vas-y... Baises-moi comme une chienne bébé ! »

Luxuria se redressa un peu, les mains à plat contre la surface de travail, elle subissait les coups de butoir de Gabriel avec un plaisir intense qui se traduisait par des petits gémissements de plaisirs à la fois plaintif et rempli d'un petit accent d'excitation. La belle prenait bien son pied au point d'en ressentir les effets jouissifs d'être aux mains d'un expert qui ne semblait pas trop se plaindre du fait qu'il était profitable pour son copain de travail de se relâcher un peu sur une jolie danseuse de cabaret qui ne demandait qu'à se faire défoncer en toute splendeur. Pour une fois qu'il n'y avait pas de caméra pour les filmer... À moins que Gabriel ait fait installer un système sophistiqué pour garder en mémoire un souvenir de toute celles qui avaient visité son appartement, bien que Phoenix n'avait aucune gêne et fantasmait un peu trop sur le fait d'être filmée en train de s'envoyer en l'air que cela ne lui poserait absolument aucun problème. Aucune simulation que du sexe à l'état pur et dans ses apparats les plus dangereusement hard semblait attirés les deux jeune amants.

La jolie brune tourna la tête vers Gabriel, qu’elle regarda avec un sourire aux lèvres au moment où il lui gifla une fesse avant de chercher à mieux sentir son membre la baiser plus profondément. Ses seins ballotaient au rythme de ses va-et-vient violents auxquels Phoenix était soumise avec délice. La jeune femme avait laissé entrevoir son petit côté salope lorsqu’il l’avait « agressée » dans la ruelle, ce qui l'avait du premier coup d'oeil surpris, mais bien vite il avait appris à découvrir chaque courbes voluptueuses et invitantes de l'anatomie de la Belle salope.

Sans aucune retenue, il la baisait. Et comme tout ce qui procurait du plaisir, ils en désiraient toujours plus tout deux. Elle répondait à ses agressions physiques par des gémissements appuyées, prête à se voir ainsi malmener durant la majeure partie de la nuit sans en être ennuyer. Les piaules voisines obtenaient un concert gratuit offert par les cordes vocales de la danseuse. Les mains de l'acteur porno continuaient à presser les fesses, à tenir les hanches, à enfoncer ses doigts dans la peau souple pour mieux prodiguer ses mouvements de bassins. La soirée prenait l'allure d'un des scripts de ses films mais il avait rarement autant pris son pied devant une caméra qu'avec Phoenix. Véritable Aphrodite perverse, il se menaçait à chaque instant de se déverser tant l'extase lui mordait le bas-ventre. Et si elle se faisait entendre, il ne tarissait pas de sons masculins également. Le confort du lit avait laissé sa place à une position moins romantique mais si plaisante, à même d'envoyer son membre profondément et lui faire ressentir une douce drogue naturelle que son corps émettait dès lors qu'il percutait sa salope. Mine de rien, il lui manquait le goût des lèvres de la belle pour ponctuer la baise, comme des balises pour échelonner sa rage sexuelle. Il la laissa légèrement se relever, confiant à son regard un sourire pervers qui entraîna un peu plus sa vivacité. Bassin masculin rencontrant bassin féminin.

Suivant ses ordres, il continua de la baiser comme une chienne, cherchant toujours autant à la faire gémir ; sa voix ne servait qu'à émettre des pseudos-grognements, n'ayant rien à dire pour l'heure. Il se retira finalement, laissant orpheline un bref instant le vagina de sa compagne pour mieux s'amuser à faire rentrer puis sortir son membre imposant. Vint ensuite le moment où il se contenta de frapper les fesses de la belle avec son pénis, lui donnant toujours un peu plus l'envie d'être à nouveau sa victime. Sa poupée docile prête cependant à démontrer sa valeur. Mais Gabriel ne lui laissait pas le temps de se plaindre ou de comprendre la situation qu'il lui baisait le cul d'une autre manière. Ses lèvres imprimèrent des baisers sur les fesses de Phoenix, caressant les courbes et laissant même sa langue traîner entre ses orifices.

C'en était presque sadique s'il n'insistait pas parfois plus sérieusement pour continuer à donner des frissons à sa partenaire. Ses attentions buccales cessèrent cependant, le jeune homme se relevant et la faisant à nouveau pivoter pour retrouver et sa bouche pulpeuse et sa poitrine opulente. Le voyage de son appartement était loin d'en être arrivé à son terme mais il se délectait déjà de pouvoir l'embrasser, de presser son corps chaud contre le sien et de faire mine de se fondre à nouveau en elle. Mais son sexe se contenait de frotter contre le sien. Et d'une main il se saisit du menton de la belle, arrachant un énième baiser sur le minois d'ange.

« La cuisine a l'air de te plaire... Continuons la ballade. »

Il empala Phoenix, fixant son visage pendant la seconde avant de la prendre à nouveau dans ses bras pour les entraîner tout deux dans la salle de bain dont l'on discernait légèrement l'agencement de la pièce grâce à la lune qui envoyait des éclats de lumière par la fenêtre. Gabriel se contenta d'entraîner sa salope sur la plate-forme de carrelage à proximité du lavabo, déposant ses fesses délicieuses et recommençant à s'insinuer amoureusement entre ses reins.

Traînant et entraînant son membre plus ardemment. N'ayant plus à la tenir en l'air, ses mains s'emparèrent à nouveau de sa poitrine. Sans la malmener, simplement des caresses, plus appuyées assez souvent au sommet de ses dômes de chair. L'envie d'y traîner ses dents lui revint mais il se retint, se contentant de l'embrasser et t'offrir à son tour un regard pervers à Phœnix.

« Toujours pas envie de dormir? » souffla-t-il dans un sourire alors qu'il pouvait voir le dos de sa beauté dans le miroir derrière elle. La chaleur ne cessait d'augmenter et à la longue ils allaient sûrement traîner dans la douche d'à côté ou dans le bain juste à côté. Mis à part cela, il n'y avait qu'une chaise qui comblait la pièce dont les teintes bleues ne ressortaient guère la nuit. Il souhaitait toujours s'emparer d'elle totalement mais se consacrait pour l'heure à exécuter ce qu'il faisait de mieux ; la baiser comme une chienne, lui écartant les jambes et s'emparant jusqu'à son âme dans ses percussions bestiales.

Phoenix ne pouvait s’empêcher d’émettre quelques petits sons d’appréciations alors qu’elle sentait différents frissons lui parcourir tout le corps, ses baisers et ses caresses sur ses fesses bombées étant auteurs de ces soubresauts. La belle avait fermés les yeux, laissant les battements de son cœur ralentir quelques peu, pourtant toujours alerte et profitant de la sensation agréable de sentir la langue de son amant découvrir l’entre de ses fesses jusqu’à son vagin humide, portant toujours les traces d’une agitation récente. Il savait ce qu'il faisait et Phoenix sentait qu'elle avait trouvé joueur à sa mesure et que les confrontations ne seraient que plus savoureuses.

Une fois à nouveau face au jeune acteur, elle s’était appuyée à deux mains contre le rebord de la plate-forme de travail qui venait de les accompagner, -temporairement transformé en terrain de jeu érotique-et se laissait guidée par les lèvres de Gabriel; prolongeant amoureusement le baiser langoureux qu’il avait initié en attirant son visage vers le sien. Il avait pris soin de la garder à sa merci, excitée par la sensation de son sexe frôlant le sien, la laissant assoiffée de le sentir à nouveau s’immiscer entre ses cuisses chaudes. Luxuria ne le quittait pas des yeux, peinant à détacher son regard du sien, il provoquait en elle tant de désirs qu’elle le savait à même d’être à la hauteur, qu’elle du réprimer ses envies de lui sauter dessus littéralement et immédiatement, comme si l’embrasser ne suffisait plus à lui faire comprendre à qu’elle point il lui faisait l’effet d’une drogue à laquelle elle était devenue accro et complètement dépendante. L'ivresse du moment était plus fort que le reste et il lui fallait le pousser à bout.

Enfin, le brève petit moment de répit bien que tout aussi agréable pris fin lorsque le jeune homme la reprit dans ses bras, pour poursuivre sa petite visite improvisée de son appartement. La belle colla son front au sien durant la balade, lui glissant parfois de petits baisers furtifs sur les lèvres, un sourire à la fois joueur et charmeur peint sur son visage angélique. Phoenix se mourrait déjà d’envie de connaître la suite, alors qu’ils pénétraient dans une autre pièce. Déjà, la froideur du carrelage du petit comptoir de céramique sur laquelle Gabriel posa les fesses de Phoenix, saisit cette dernière qui frissonna et finit par s’acclimater petit à petit alors que l’inconfort d’une surface aussi froide fut rapidement compensé par la chaleur de leurs corps qui ne cessait de monter. Les yeux de la belle était teintés, illuminés de cette petite lueur d'excitation mêlée à de la provocation pure et simple. Elle défiait du regard celui qui avait pris pour contrat de la faire jouir toute la nuit durant.

Ses fines et longues jambes entourant le bassin de son amant, leurs deux corps brûlants se touchaient, se frôlaient, s’imbriquaient ensemble à la perfection alors que Phoenix avait approché le visage de Gabriel de son cou tout en faisant de même, sa main droite caressant sa nuque et jouant un peu dans ses cheveux courts. Son souffles chaud, bien que saccadé, venait se perdre au creux du cou du bel acteur, interrompu de temps à autre par de petits gémissements plaintifs qui faisaient échos à ses grognements masculins qui se répercutaient aux murs de la salle de bain. La jeune femme embrassa son amant dans son cou, puis aux niveaux de ses trapèzes musclés, laissant parfois traîner ses dents contre sa peau chaude, un peu salée par la sueur qui perlait, tant et si bien qu’elle le marqua légèrement de ces petites morsures apaisées par de petits baisers. Elle laissa ses mains viriles remonter le long de sa taille de guêpe pour s'amouracher de ses seins qui s'agitaient sous ses yeux. Alors que quelques mots prirent forment et furent prononcés par Gabriel, la jeune danseuse se retourna vers le miroir derrière elle, croisant ainsi le regard du beau brun grâce à leurs reflets, elle lui adressa un petit sourire avant de se retourner vers lui. La belle se saisit de son visage en le tenant délicatement par le menton pour l’embrasser avec une fougue et une passion indescriptibles. Un petit gémissement se fit entendre lorsque ses lèvres quittèrent finalement les siennes, venant casser la réponse simple, mais significative qu’elle lui offrit:

« Dormir ? Je ne connais plus ce mot en ta présence... »

Phoenix balayait rapidement la pièce dans laquelle ils se retrouvaient, discernant l’ensemble de l’agencement des couleurs et du mobilier qui s’y trouvait grâce à la douce lumière lunaire qui filtrait par l’unique fenêtre et qui baignait l’ensemble de la pièce. Cela rendait l’atmosphère peut-être légèrement mystérieuse, laissant deux corps s’unir l’un à l’autre, se mouvant dans une certaine ambiance clair-obscur dessinant les formes de leur deux corps avides de se posséder mutuellement l’espace d’une nuit tout au moins...

Les yeux fermés, Luxuria encaissait avec délice les assauts du membre saisissant de son tendre amant, répondant à ses appels par toute une gamme de légères vocalises, tout en se tenant tout contre lui pour mieux le sentir en elle. Elle aurait voulu cette nuit infinie tant elle jouissait pleinement de chaque seconde passées en sa compagnie, pour ne pas faire de mauvais jeu de mot. Rejetant sa longue chevelure blonde vers l’arrière, d’un mouvement gracieux qui laissa retomber délicatement en cascade cette rivière dorée, la jeune femme leva la tête, libérant à la fois son cou et sa poitrine opulente qui ressentait chacun des avancements de l’imposant pieu de chair de Gabriel entre ses cuisses. Elle baissa quelques instants la tête, se reculant un peu plus sur le comptoir, elle avait les jambes complètement écartées d’une amplitude assez grande, souplesse de sa profession aidant, permettant au jeune acteur de varier les angles et la force de ses aller-et venu. Phoenix regardait, un petit sourire aux lèvres, ce qu’elle pouvait apercevoir de sa bite disparaître en elle dans un rythme plutôt régulier. La jeune femme releva la tête, embrassant le menton puis les lèvres de son amant avant de relever la tête, les yeux clos, laissant ses gémissements, ses cris se joindre à ceux de Gabriel. L’ange Gabriel.

Again and again. L'acteur pornographique ne manquait pas d'audace, et, le sommeil semblait bien loin des deux amants. Tout comme l'épuisement. Gabriel était d'humeur à livrer l'une de ses meilleures performances, percutant Luxuria (un fantasme brûlant qu'il pouvait enfin toucher) et prenant un malsain plaisir à l'entendre gémir. L'extase lui coupait presque le souffle. Plus le moindre agencement logique de ses pensées : rien que le désir de venir s'insinuait encore entre les cuisses de la danseuse. Et de pouvoir profiter de ses courbes qui l'avaient tant fait bander pour rien par le passé. Les globes de chair se pressaient l'un contre l'autre, ou bien ne cessaient de se balancer dès lors qu'il ne se concentrait qu'à emmener son bassin d'avant en arrière.

Dans chacune des pièces de son appartement, il n'avait pas manqué de placer quelques caméras ; d'une certaine manière, il ramenait assez souvent du travail chez lui. Et ne se privait pas, parfois, de laisser filtrer une ou deux sex-tapes qui ne faisaient qu'accroitre sa réputation sulfureuse. Celle qu'ils étaient en train de faire n'irait sûrement pas dans le net mais ne manquerait pas d'être visionner par lui à de nombreuses occasions. Les soirs où il n'aurait pas l'occasion de la baiser, par exemple. Observant le minois de Phoenix, toujours entre deux spasmes, encaissant sa dick colossal, il l'embrassa vulgairement pour mieux finalement se retirer d'elle avec un sourire de salopard au coin des lèvres. Depuis dix/quinze minutes, il ne cesse de jouer avec sa sensibilité, avec son appétit sexuel qui est presque le reflet exact de qu'il désire lui-même.

Au lieu cependant de revenir en elle, Gabriel la tire par les cuisses pour lui faire retoucher le sol et d'une main à son cul il l'entraîne et la pousse dans la douche. Depuis qu'ils en sont à baiser, la sueur a imprégné leurs corps et il n'est pas contre d'une virée en sa compagnie sous un jet d'eau chaude et deux caméras. A même de prendre pleinement l'action. Gabriel l'enjoint à poser les mains contre l'une des parois, ne souhaitant pas le moins du monde la voir se retourner pour l'heure et caressant ses fesses avec cette perversion et cette domination qui lui sont propres. En cette nuit, Phoenix lui appartient totalement et il active l'eau qui tombe sur les deux corps en même temps qu'il s'imbrique en elle. La prenant langoureusement par derrière, et ne manquant pas d'avoir une main à son entre-cuisses pour la masturber dans le même temps. Maintenant qu'elle est entrée dans sa vie, il ne compte pas le moins du monde la laisser s'en tirer et son bassin appuie toujours un peu contre le sien, entrant presque jusqu'à la garde en elle.

L'instant lui fait tordre des râles de plaisir tandis qu'il adresse une gifle aux fesses si bandantes de la jeune femme. Combien de fois a-t-il pu voir ce cul s'agiter et rêver de le tirer : il n'en compte plus les fois et s'empare de sa main libre de la chevelure dorée de la jeune femme pour tirer sa tête en arrière et lui faire davantage cambrer ses reins. L'eau chaude épouse parfaitement désormais son corps, le rendant humide à souhait. Et peu à peu, l'acteur qu'il est en vient à ne plus la ménager, profitant de sa partenaire au point que l'on entend à nouveau le son de sa queue entre ses fesses, le bruit de leurs deux corps qui s'affrontent. Gabriel lui arrache un baiser avant de la renvoyer à sa position, bien désireux de lui laisser un souvenir immortel et peut être même des difficultés à évoluer facilement en marchant.

Gabriel ne semblait pas démordre de son obstination à offrir à l’objet de ses fantasmes l’une de ces baisers grandioses, sublimissimes, qui ne manquerait pas de marquer son corps de rêve autant que faire naître en elle, le désir qu’il la possède, encore et encore… À coup sûr, Phoenix se doutait bien que ce ne serait pas la dernière fois qu’elle mettrait les pieds dans l’appartement de son tendre agresseur. La belle gémissait toujours, la tête relevées et les yeux clos pour mieux profiter du moment où il la pénétrait vigoureusement sentant cette jouissance extrême poindre au creux de son bas ventre. Le bel acteur savait de tout évidence manier ses outils à la perfection et nul doute qu’aucune de ses partenaires sur ses films ou ses conquêtes ne pouvait feindre à quel point il était doué.

Phoenix ignorait la logistique sophistiquée de camera qui couvrait l’appartement entier de Gabriel, et ce fait, qu’il serait le seul à garder un souvenir visuel de leurs ébats sauvages. Espérons tout de même que le beau ne s’épuisera pas trop à se masturber devant la vidéo… rien de mieux que le réel de deux amants qui s’envoient en l’air librement plutôt qu’un script de film. L’effet de séduction opérant à ce moment probablement davantage alors qu’ils découvraient mutuellement les habiletés l’un de l’autre. Luxuria n’avait de tout évidence rien d’une néophyte en matière de sexe et il y a longtemps que Gabriel en avait eut la preuve. Jetant un de ces regards irrésistiblement charmeur aux accents d’une petite salope alors que le jeune homme quitta ses lèvres de même que ses cuisses pour mieux la faire descendre de son trône et la repousser à l’intérieur de la douche tout juste à côté, bien qu’elle n’offrit peu pour ne pas dire aucune résistance à son initiative.

Luxuria lui faisait désormais dos, sentant Gabriel rôder près d’elle tel un prédateur auprès de sa proie qui pour une des rares fois se plaisait entre les griffes de son adversaire tout juste avant que les premières gouttes d’eau glacées percutent sa peau avant de se réchauffer à en bouillir au contact de sa peau brûlante. La belle était bel et bien fiévreuse, souffrante d’un désir sans borne de jouer les petites salopes pour les beaux yeux de l’acteur. Elle senti bien vite sa bite venir s’immiscer entre ses fesses, ne laissant pas de côté ce petit anus qui ne demandait qu’à être bien ouvert. Gabriel ne semblait pas ménagers ses talents pour la faire jouir, glissant une main à ses hanches qui convergea rapidement vers son entre-jambes pour mieux la masturber pendant qu’il s’offrait son joli petit cul. Phoenix retenait à peine ses gémissements de plaisirs sentant qu’à chaque aller et venu la queue de Gabriel se frayait un chemin de plus en plus profond en elle bien qu’elle ne fut pas frigide à la douleur de cet assaut soudain bien qu’elle ne laissait rien paraître si ce n’est qu’une petite coquine bien excitée qui réagit à la fessée amoureuse que le beau goss accolant à ses fesses. Elle sentait le jeune mâle dominateur reprendre le dessus et ne détestait pas l’idée, se pliant à ses volontés et se cambrant au mieux dans l’étroitesse de l’espace qu’il lui laissait entre lui et la paroi de la douche légèrement embuée.

Mêler au bruit régulier de l’eau, le bruit des couilles pleines de Gabriel qui se heurtait fréquemment au joli postérieur de la demoiselle alors que sa queue elle coulissait sauvagement au milieu, en sortant à demi pour mieux replonger. D’une main, elle chercha à vouloir faire davantage de place à ce membre imposant qui lui martelait son joli petit cul. La tête toujours tirée vers l’arrière, elle se tut un instant pour cueillir le petit baiser qu’il lui offrir avant de la repousser pour mieux s’atteler à la sodomiser avec grâce. Elle étendit une main vers l’arrière touchant quelques peu le bassin en mouvement du bel acteur un peu comme si elle lui en demandait encore, l’incitant en le poussa légèrement chaque fois qu’il revenait la percuter durement. Peut-être que cette nuit torride lui causerait bien des problèmes de mobilité, se rassurant tout de même de n’avoir aucune pratique ni spectacle le lendemain lui permettant alors de se remettre un peu de ses émotions, si besoin s’en faisait ressentir.

Le cul de Phœnix lui avait manqué ; depuis la rue, il n'avait pas souvenir de s'y être immiscé à nouveau. Et le même plaisir, violent et sourd, le reprenait. Comme il s'y attendait, sa compagne n'avait élevé aucune résistance et à en sentir son corps, elle était même plutôt d'avis à poursuivre encore longtemps. De son doigt majeur, l'acteur ne manquait pas non plus son devoir auprès de son vagina, n'incarnant cependant qu'une pâle copie de son sexe ; ce dernier prenait désormais des initiatives de plus en plus violentes à l'égard de la jeune femme. L'eau pénétrait dans la bouche de Gabriel, glissant sur son torse et créant un son particulier à chaque fois qu'il donnait un coup de bassin. Il était connu dans le domaine pour en être un expert de la sodomie et il ne manquait pas d'audace durant cette phase. Cessant de la masturber un bref instant, il la plaqua encore davantage contre la paroi de la cabine (écrasant au passage ses seins) et entreprit d'appliquer ses mouvements les plus secs. Prenant son pied en ne la ménageant pas, il songeait encore qu'il avait fait sa connaissance en cherchant à la violer et se surprenait à délivrer ses coups de reins comme si c'était le cas à présent. Gabriel revint cependant à un rythme moins effréné mais en enfonçant toujours un peu plus sa queue en elle. Sa simple longueur suffisait à faire gémir mais il possédait en plus de cela le potentiel pour l'employer efficacement. Et il en vint à pousser le vice en faisant pencher sa blonde et en alternant d'orifice, ne privant pas de la posséder pleinement comme si deux hommes s'amusaient à la baiser l'un après l'autre. Avec une queue sensiblement importante. Toute sa carrière avait commencé avec elle et son succès ne déméritait pas depuis. Il pourfendait la jeune femme sous des trombes d'eau, ne pensant déjà plus à ce qu'il pourrait visionner après le départ de la danseuse ; son cul l'attirait tant qu'il y consacrait davantage son membre, le perdant jusqu'à la garde à l'intérieur de sa partenaire.

Mais à nouveau, au bout d'une minute, il se retira et fit basculer Phoenix sur elle-même pour qu'il puisse à nouveau l'embrasser. Pressant sa poitrine violemment, pinçant ses tétons et lui faisant toujours sentir l'érection qu'il lui devait entre les cuisses. Malgré que cela soit presque inutile, Gabriel en vint à s'agenouiller et à exercer sa langue dans un cunni' des plus salaces ; sa langue travaillant le corps de la jeune femme là où sa queue, bien trop importante, ne pouvait réellement procurer du plaisir. Il traînait à l'intérieur d'elle, ayant agrippé ses fesses en faisant passer ses bras par l'intérieur de ses cuisses ; les jambes de la belle se retrouvait sur ses épaules et il en vint à légèrement la soulever tout en articulant ses baisers buccaux à son vagina. Cela lui permettait de ne pas se vider trop vite en elle alors qu'il avait encore bien des projets ; il possédait une salle spéciale dans son appart' où la perversité de Phœnix pourrait vivre. Il se releva finalement lentement après l'avoir déposé, mordant un sein tout en coupant l'eau derrière la jeune femme ; sa queue la pénétra à nouveau, trois fois, avant qu'il ne l'enjoigne du regard à lui offrir une seconde fellation dans son appart'. « Ta performance est filmée... » souffla-t-il tout en la forçant plus ou moins sévèrement à se mettre à genoux pour essayer de prendre en bouche tout ce qu'elle était à même d'entraîner dans sa gorge.

Écrasée contre la paroi, la belle sentait les soubresauts secs que sa queue lui imprimait tandis qu’il la serrait entre la vitre et la forte carrure de sa personne. Vif rappel d’une rencontre dans les recoins d’une ruelle, Phoenix s’en mordit les lèvres soupirant d’aise et de plaisirs chaque fois qu’il la repoussait contre la paroi. La belle danseuse avait rarement connu d’aussi bon coup et il était hors de question qu’elle n’en abuse pas un tout petit peu tout au moins. Se reculant un peu plus, Luxuria sentie la main de Gabriel se poser sur l’une de ses épaules pour lui signifier qu’il souhaitait ses deux orifices bien en vu, et la jeune femme ne put que gémir son approbation à l’idée perverse de son amant qui s’occupait de ses deux petits trous si invitants l’un après l’autre en alternance.

Phoenix répondit à l’appel de ses lèvres avec une fougue intense, l’embrassant langoureusement un long moment, laissant ses mains s’emparer ses seins ronds présentés sous ses yeux. Les petits pincements qu’il lui infligeait trinquait l’excitation toujours à son comble de la demoiselle et n’en appelait qu’à le sentir en elle. Sentir son érection frôler l’intérieur de ses cuisses et flirtait avec son sexe auquel il lui laissait un peu de repos bien que la jeune danseuse s’appliquait à se frotter continuellement contre Gabriel, traçant de lent mouvements sinueux du bassin sans pour autant le laisser s’infiltrer en elle pour le moment. Luxuria fini par le laisser descendre petit à petit son visage effleurant sa poitrine volumineuse et son ventre plat au passage avant de retrouver un nid douillet pour sa langue aventureuse. La belle le laissa la contrôler en la soutenant de ses bras forts et musclés poussant de petits gémissements bien sentis, alors qu’elle fermait les yeux pour profiter d’un cunnilingus irrésistiblement excitant, tant et si bien que Gabriel pouvait toujours la sentir frémir de jouissance entre ses mains. Luxuria se caressa les seins durant la procédure avant que l’acteur X ne se relevant laissant l’espace à sa bouche qui vient lui mordre un sein la distrayant un instant alors qu’il la pénétra sèchement à trois reprises pour se défaire d’elle. Sa demande était sans équivoque et la belle ne se priverait pas de la satisfaire.

« Tu veux un beau souvenir ? » lui répondit-elle dans un murmure alors qu’elle approcha ses lèvres de son oreille pour l’embrasser furtivement dans le cou.

Curieuse, Phoenix chercha discrètement des yeux l’une de ces fameuses caméras, qu’elle aperçue braquée sur eux placée d’une telle façon que son objectif ne pouvait rien manquer de la scène qui se déroulait sous la douche. Elle adressa d’abord un sourire mi-malicieux mi-pervers en direction du petit voyant rouge avant de lever les yeux vers Gabriel qui lui présentait sa queue tout près de ses lèvres tout juste après l’avoir fait s’agenouiller devant lui. La blondasse ne se fit pas prier pour engloutir cette énorme masse de chair entre ses lèvres, qu’elle s’exerçait habilement à la manipuler avec sa bouche et sa langue, lui faisant faire des aller-et-venue plus ou moins vigoureuse pour le faire languir, la laissant parfois orpheline pour l’embrasser coquinement, la lécher sur toute sa longueur avant de la reprendre en bouche, le tout sans quitter Gabriel des yeux qu’à peine quelques secondes. Puis, elle aspira un court moment ses bourses pleines avant de mieux répondre à aux caprices du bel acteur, le pompant sans gêne et avec énergie pour finalement lui offrir une délicieuse fellation en profondeur au fond de sa gorge. Elle se retirait un peu chaque fois qu’elle sentait qu’il lui fallait pour respirer et éviter de s’étouffer. La belle poussa tout au long de petits « mmhhmm » amplifiant la satisfaction certaine du beau Gabriel.

Oh, gosh. Gabriel prenait un plaisir sans borne à se faire sucer par la jeune femme, appliquant ses mains dans les cheveux de la belle pour lui faire engloutir toujours un peu plus son membre. Le fait de se savoir filmer semblait lui donner une ardeur nouvelle tandis que lui ne se privait pas de lui baiser la bouche, ayant désormais un total contrôle sur elle et perdant ses coups de reins entre ses lèvres pulpeuses à souhait. Trempée, baisée dans tous les sens, Phoenix continuait cependant à exercer son rôle sans chercher à se défaire de l'ardeur de l'acteur. Plus il l'entraînait dans la luxure, plus elle était partante. A croire que cela n'avait pas de fin. Il parvenait à lui faire engloutir une large portion de sa queue, gonflant parfois ses joues et heurtant sa gorge. Plus ou moins pris au piège par le plaisir, Gabriel s'adossa légèrement à une paroi tout en se confiant toujours un peu plus en râle. Elle lui donnait à la fois l'envie de la violer et d'en prendre soin, et le choix ne se résolvait jamais. Alors il déchaînait un peu plus sa violence à son égard. Les bruits de succions lui plaisaient tout comme les regards pervers qu'elle lui adressait. Comme si elle avouait par ses yeux qu'elle était prête à ça tous les jours. Nymphomane insatiable, et salope sensuelle ; elle semblait avoir le CV idéal pour pouvoir rester longtemps dans son existence. Il la laissait accomplir sa délicieuse fellation, lui donnant envie de venir mais se retenant à chaque fois pour ne pas clore encore l'épisode.

N'y tenant plus, Gabriel en vint à la relever précipitamment, la sortant de la douche pour mieux la faire se coucher au bord du support de l'évier ; les seins se collant à la paroi, et lui laissant tout le loisir de lui adresser des fessées violentes et des coups de bassins à faire gémir la dernière traînée. Au bout de cinq minutes à lui démonter le cul, l'acteur pornographique ne se retint pas davantage et se libéra en spasmes dans un souffle de satisfaction sans nom. Les mains sur les hanches de Phoenix, il délivra encore deux ou trois mouvements avant de se retirer à nouveau, récupérant dans le placard juste à côté des serviettes et deux peignoirs pour leur permettre de ne pas être tenté de baiser encore immédiatement. S'il s'avérait impitoyable dans la baise, le jeune homme retrouvait un caractère délicat voire presque protecteur dès lors qu'il n'avait pas une érection à perdre entre des cuisses féminines. Ayant recouvert le corps de sa partenaire, il l'embrassa tout en lui prenant sa main et l'attirant lentement dans son appartement. Maintenant qu'il avait davantage de temps, Gabriel allumait quelques lumières, offrant un visuel de ce qu'il avait pu traverser et où les objets renversés témoignaient de leur passage. A côté de sa piaule, il déverrouilla une porte et laissa la jeune femme y accéder en premier, allumant la lumière juste après elle. C'était une pièce presque aussi grande que sa chambre, ayant d'un côté au lit et de l'autre un ordinateur avec cinq écrans. Il accumulait par ailleurs ici tout ce qu'il avait pu avoir employé dans un film, ayant ainsi un miroir au plafond du lit ; des menottes traînant sur une commode ; des appareils à faire fantasmer plus d'une lesbienne ainsi qu'un harnais en cuir, dans un coin de la pièce, qui permettait de maintenir un corps au-dessus du sol. Plus d'une vidéo de lui en train de baiser ainsi une jeune femme circulait sur le web ; il se contenta d'allumer l'ordinateur avec une télécommande et de sélectionner le dernier enregistrement de leur entrée, sur un écran, à la sodomie dans la douche en passant par la baise dans la cuisine. « Cet endroit passe presque pour un musée de l'obsédé mais après tout, au vu de mon job, je ne risquai pas de te montrer une collection d'avions fait en allumettes. Toujours pas la moindre empreinte de fatigue? » questionna-t-il tout en continuant à la peloter, à travers le peignoir, et à perdre un baiser à l'intérieur de son cou.

C’était tout de même excitant pour Phoenix de connaître le vice particulier de Gabriel qui consistait à filmer chacune des conquêtes qu’il ramenait dans sa piaule, mais également le sentiment en lui-même, de jouer dans un film porno avec l’un de ces plus grands acteurs. Il n’allait très certainement pas être déçu d’avoir trouvé en la jeune danseuse, une docile petite poupée amoureuse inconditionnelle du sexe, soumise à ses fantasmes, heureuse de les lui réaliser.

Luxuria ne le quittait toujours pas des yeux, par perversité peut-être, mais aussi pour le défier un tant soit peu. D’une main ferme, elle l’utilisait pour branler la queue majestueusement tendue vers elle et offerte aux soins de ses lèvres pulpeuse. Puis, au bout d’un moment, Phoenix ferma les yeux, poussant toujours de petits gémissements réprimés par le colossal pieu de chair que Gabriel s’exerçait désormais à faire aller et venir dans sa bouche, la fourrant au chaud entre les lèvres de la belle suceuse. Confiant de sa prise sur la tête de la jolie blonde, l’amant de celle-ci ne se gêna pas pour lui baiser sa bouche de salope aussi sauvagement qu’il l’avait fait avec ses autres petits orifices marqués de son passage violent. La belle l’engloutissait au mieux, mêlant sa langue aux mouvements de bassin de Gabriel. Elle en vint à remonter jusqu’à la naissance de son sexe tout juste avant qu’il ne lui saisisse son joli petit minois pour la faire se relever.

La scène qui suivit fut définie comme fatale, comme l’apogée… l’extase finale qui devait marquer la fin du premier acte. Phoenix n’eut pas vraiment eut le temps de réagir, que Gabriel l’expulsais déjà hors des jets d’eau, pour mieux la plaquer contre le bord du support de l’évier. Il l’enculait à nouveau avec une rage au ventre inouïe, ce qui ne fit pas gémir à proprement parler la salope, mais plutôt la faire crier. Elle conjugua l’ardeur de Gabriel à son envie de s’empaler entièrement sur son pieu de chair tant si bien qu’elle sentait l’envie d’un orgasme plus très loin. Ses cris se faisaient différents, plus appuyés comme si elle cherchait à aller au bout de son souffle pour encaisser les coups de bassin dangereusement violents qu’il lui prodiguait. Relevant la tête, Phoenix précéda de quelques secondes le beau brun, s’abandonna entièrement à la douce emprise d’une jouissance si forte alors qu’elle sentait son amant céder à son tour à lui remplir son joli petit cul et donner quelques derniers coups qui mirent un terme à une baise grandiose.

Se retournant, Phoenix souria à Gabriel, son regard voilé par l’effet paralysant d’un orgasme. Appuyée au rebord du support, la jeune femme attendit qu’il revienne près d’elle, lui donnant une serviette avant de couvrir son corps d’un délicat peignoir avant de faire de même. Elle leva le menton et répondit à son baiser plus tendre longuement, le laissant tout à la fois, la guider hors de la salle d’eau. Entre les deux pièces, le petit bordel, vestige de leur passage, laissa un sourire se glisser sur les lèvres de la jeune femme avant qu’elle ne se retourne, croisant le regard de Gabriel avant de pénétrer dans la mystérieuse pièce où il l’amenait.

Pénétrant lentement dans la pièce, la danseuse découvrait à peine l’ensemble de la pièce que le beau brun attirait déjà son attention, modifiant quelques paramètres de son ordinateur, activant qu’un seul écran qui diffusait leurs ébats précédents. Se voir en train de baiser était chose peu commune pour la jeune femme qui s’en amusa quelques peu. Disons qu’aucun petits détails n’avaient échappés à l’œil attentifs de cette multitudes de caméras qui avaient été témoin de leur union violente.

« C’est certain, cette pièce est tout à ton image Honey. Sinon, je tiens encore le coup, ne t’inquète pas.. reste à savoir si Toi, tu comptes toujours être opérationnel… » dit-elle alors que Gabriel revint près d’elle, sentant ses mains se faufiler à sa taille fine, dessinant ses courbes à travers le léger tissus qui la préservait de l’œil voyeur du séduisant acteur. Elle posa sa main contre le dos de la sienne lorsque celle-ci glissant contre son ventre plat se collant contre son torse alors qu’il était revenu derrière elle.

Dégageant habilement le cou de Phoenix de sa longue chevelure blonde, Gabriel s’attaqua à se petit recoin de l’anatomie de la belle des plus cruellement sensibles. Elle résista alors tant bien que mal aux assauts des lèvres du beau mâle sentant son souffle venir effleurer son épaule qu’il avait légèrement dénudé du peignoir. Au bout de quelques secondes, Luxuria finit par se retourner face à Gabriel, se défaisant ainsi de son emprise mortelle. La belle préféra lui quémander un petit baiser tendre auquel le beau brun sembla répondre avec plaisir. Finalement, coupant court au plaisir, la jeune femme se détacha complètement des bras de son amant et avança à travers la pièce en profitant pour explorer l’endroit secret de Gabriel, le laissant admirer sa vertigineuse chute de rein alors qu’elle libéra son dos de la protection du peignoir, abaissant tout juste le vêtement à la commissure de la raie de ses fesses, alors qu’elle marchait gracieusement pieds nus dans la grande salle, ondulant quelques peu des hanches. Peut-être lui aurait-il fallu s’abstenir, mais sentir le regard de son amant posé sur elle, l’avait un peu trop tenté à vouloir maintenir un peu la flamme de désir du bel acteur. Enfin, elle remonta son peignoir telle une vulgaire petite prude. Phoenix adressa un petit sourire mi-malicieux, mi-angélique à Gabriel avant de détourner les yeux vers la collection de ce dernier. Déjà quelques petites idées surgissaient dans son esprit effleurant au passage du bout des doigts certains des accessoires sexuels de la collection du jeune acteur telle une gamine au rayon consacré aux Barbie dans un magasin de jouets quelconque. Disons que sa passion de petite fille avaient laissé à une autre beaucoup plus adulte et les jeux n’étaient également plus du tout les mêmes. Enfin, il était impressionnant d’analyser chacune des composantes particulières de cette pièce.

Phoenix revint finalement près de Gabriel, avançant vers lui telle une féline, sa démarche sensuelle, son peignoir dissimulant à peine les courbes sinueuses de la jeune danseuse. Elle agrippa la petite ceinture qui refermait le peignoir du beau mâle l’attirant violemment à elle pour mieux laisser ses lèvres joindre les siennes tendrement, langoureusement. Ses baisers avaient certes perdus un peu de la fougue des ébats orageux et torrides, mais laissaient place à une approche différente, plus douce à son égard que le jeune homme n’avait peut-être pas encore eut la chance de rencontrer depuis leur arrivée. Elle passa lentement une main dans les cheveux encore humide de Gabriel tout en plongeant son doux regard, dans le sien, laissant ses beaux yeux bleu-vert se perdre dans le profond regard de son amant. Au lieu de prendre peur devant un agresseur armée et prêt à lui infliger les pires sévices, la belle blonde avait obéit à ses ordres, non pas à contrecœur, mais plutôt avec une assurance et une volonté qui avaient pu surprendre le bel acteur. Ils se retrouvaient désormais dans les bras l’un de l’autre au beau milieu de cette pièce insolite et digne d’un grand fanatique du sexe et de sa personne.

Il aurait fallu l’une de ces petites musiques lentes emplies d’une certaine chaleur et sensualité évoquées digne des scènes de couple des films pour que l’instant puisse paraître un tant soit peu romantique ; au lieu de cela, on entendait faiblement en backgrounds les échos de leurs ébats précédents ce qui rappelait plutôt ce qui unissait Gabriel et Phoenix l’un à l’autre. La belle se déroba à nouveau des bras musclés du beau brun, dont le mouvement vif vint à bout de son peignoir qu’elle laissa entrouvert, elle fila, grimpant sur le lit qui trônait majestueusement sous le miroir au plafond. De son index, Phoenix lui fit signe d’approcher d’elle alors qu’elle était demeurée debout sur le matelas. Elle le dominait désormais de hauteur uniquement, laissant son visage à la hauteur de sa poitrine fleurissante sous le mince petit tissu de son peignoir.

Tirant sur les deux rebords du collet du peignoir de Gabriel tout en soutenant son regard, la belle se baissa légèrement attirant le visage du sex symbol vers le sien pour apposer délicatement ses lèvres contre les siennes. Toujours un peu alanguie par l’effet de l’orgasme intense dont il venait tout juste de la gratifier il y a de cela quelques minutes à peine, la demoiselle ne souhaitait pas reprendre le « travail » dans l’immédiat, profitant davantage des caresses et des baisers de l’actor X délaissant pour le moment, son meilleur ami sur ses plateaux de tournage.

« Alors, Beau Brun… suis-je à la hauteur des fantasmes ? » dit-elle en se reculant légèrement de lui pour mieux le regarder droit dans les yeux, une petite moue affichée sur son visage, cachant mal la confiance qu’elle avait en elle-même et ses talents au lit.

Phoenix attira finalement Gabriel de sorte qu'elle le fit basculer sur le lit, le laissa retomber lourdement sur le dos contre le matelas. Elle se contenta de venir s’installer sur le lui; ses jambes repliées de chaque côté de son bassin. Se penchant vers la gueule d’ange de Gabriel, Luxuria lui soutira un énième baiser de ses douces lèvres tout juste avant de lui laisser le temps de répondre.

Plus ou moins épuisé, Gabriel dévoilait ses secrets à sa nouvelle poupée de chair tout en lorgnant encore les formes de Luxuria. Il comprenait aisément le fait qu'il est planifié de la violer et s'ils n'avaient pas baisés presque sans arrêt jusqu'à présent, l'acteur aurait cédé à son impulsion. Échangeant quelques baisers, il ne tarda pas à la laisser visiter, se passionnant pour ce qu'il avait accumulé. La plupart n'était qu'une certaine décoration, une manière de servir à ses groupies les plus fanatiques une image de lui qu'elle n'oublierait pas et répèterait, accentuant le caractère sulfureux qui l'auréolait désormais. Une poignée de demoiselles cependant accédait à cet endroit, et il avait à l'idée que Phœnix s'y retrouverait d'ici peu à nouveau. En trouvant une telle partenaire, il ne comptait pas la laisser partir sans avoir satisfait le moindre de ses fantasmes. Perdu dans ses pensées, Gabriel ne remarqua pas immédiatement qu'elle revenait dans sa direction et se retrouva enchaîner à ses lèvres avec un plaisir non feint. Il aimait la violence mais une fois vidé, peu lui importait ; et il ne pouvait que reconnaître qu'elle était douée et à même de se voir accorder une parcelle de tendresse. Il ne souhaitait pas pour autant qu'elle s'y habitue, sa queue ne serait pas toujours au point mort. Et la baise ne frôlerait jamais le romantisme. Gabriel avait besoin de laisser épanouir le moindre de ses muscles et se sentir en position de dominateur, de prendre sauvagement la jeune femme en pleine nuit s'il le désirait tant il était incontrôlable.

Néanmoins, pour l'heure à venir, il se laissait aller, savourant encore l'orgasme qu'il avait vécu et songeant à tout ceux qui l'attendaient alors que Phœnix prenait place sur lui. Il la sentait tout autant comblée que lui : ce n'était pas pour rien qu'il était acteur pornographique, et elle une danseuse sensuelle à souhait. Sans se gêner, au vu de la relation qu'il commençait à nouer, Gabriel lui pelotait les fesses et répondait à ses baisers en étant cependant légèrement absent. « Tu n'es pas mal, au moins tu m'as démontré comment tu étais prête à passer les nuits... Sur le long terme, je ne sais pas ce que tu vaux. J'aime à penser cependant que cela va me plaire. » La gardant contre elle, il recula plus intérieurement dans le lit ; au-dessus d'eux, le miroir les réflétait et renvoyait la scène d'un pseudo-couple tant il semblait précautionneux désormais. Lui retirant son peignoir mais recouvrant son corps dans la foulée par la couverture, passant et repassant ses mains sur le corps de l'Aphrodite sans se lasser et répondant à quelques baisers. Sa queue continuait à se reposer, frottant de temps à autre contre une jambe de la danseuse mais même une fellation ne la remettrait pas rapidement sur les rails d'une érection. La journée avait été longue, avec son lot de baises filmées, et Phœnix avait fini le travail en s'offrant sans le moindre cran d'arrêt. Mordillant sa lèvre inférieure, il ne manqua pas finalement de la faire passer sous lui à nouveau. Cette fois-ci, non pas pour la baiser violemment mais pour laisser ses lèvres sur sa poitrine. Savourant leur complicité naissante en laissant sa langue sur ses tétons et ses mains à la commissure de son entre-cuisses. « Et je ne pense pas que tu sois déçue de notre rencontre non plus. » Il n'en doutait pas le moins du monde ; jamais une femme n'avait eu à porter réclamation de son sexe imposant et de sa manière à l'employer. Continuant à faire naître des baisers, étant désormais à son cou, Gabriel prolongea encore jusqu'à en revenir à se coucher à côté d'elle. Une main la masturbant légèrement. Juste pour la laisser toujours entre le sommeil et le plaisir. Son majeur cessa lentement alors que lui-aussi était pris dans une torpeur sans borne. Le projetant dans le noir ; dans les abîmes de ses rêves.


Ne dormant généralement qu'une poignée d'heures par nuit, Gabriel en vint à être le premier conscient. Retrouvant lentement les contours de sa pièce favorite et observant le minois assoupi de Phœnix. La nuit de folie qu'ils avaient eu ensemble n'était donc pas un fantasme. Lentement et silencieusement, il quitta le lit et passa un peignoir autour de son corps d'éphèbe. A une montre qui traînait sur le bureau, il lut qu'il était seulement huit heures et quart du matin. Requinqué, il quitta un instant la compagnie de sa belle pour aller faire un café et remarquer qu'il avait plus d'un appel en absence. Le tournage d'un film était pour deux jours, quelques préparatifs étaient nécessaire auparavant mais aujourd'hui ne devrait pas nécessiter de sa part le moindre élément. Il pouvait s'occuper comme il l'entendait et en pensant à la danseuse qui était dans son appartement, des idées étaient déjà présents à son esprit. Il songea à aller prendre une douche mais y renonça, préférant plutôt emporter une autre tasse de café pour Phœnix et la retrouvant dans la même position qu'un peu plus tôt. Posant le récipient sur la table de chevet, Gabriel se glissa à nouveau dans le lit et en vint même à se retrouver sous la couverture.

Écartant lentement les cuisses de la jeune femme ; sa bouche déposa d'abord un simple baiser. Puis un second. Avant que sa langue n'entre en jeu, devenant à la longue une sorte de membre masculin ; son doigt d'honneur commença à nouveau à se loger en sa compagne, s'insérant toujours un peu plus. Histoire de réveiller la jeune femme et de lui rappeler sans plus tarder ce que sa présence impliquait presque obligatoirement ; être abusée, sans relâche, sans arrêt. L'exercice dura, créant presque un orgasme mais l'acteur cessa avant. Remontant le long du corps de Phœnix (où ses lèvres gravèrent presque un succion à sa poitrine) pour mieux l'embrasser : « Bonjour Mademoiselle... j'espère que tu n'as rien de prévu pour cette journée car j'ai plus d'un projet. Dont tu peux sentir le premier. » Sa queue flirtait avec son sexe, ayant déjà une proportion plus qu'honorable et qui allait en s'améliorant de seconde en seconde. La jeune femme se vit à nouveau prisonnière dans un baiser mais pas encore possédée à nouveau par lui ; préférant lui laisser une poignée de minutes pour se réveiller avant de la baiser dans tous les sens.

La jeune danseuse se plaisait à sentir les mains de Gabriel choir sur ses jolies fesses fermes. Si l'dée de vérifier la qualité de la marchandise était venue à l’esprit du beau brun, il ne pouvait s’assurer de l’authenticité de chacune des valeurs de la demoiselle, dont il dévoila bientôt le corps en entier avant de la protéger du froid par une couverture. Phoenix ne se formalisa pas du « pas mal » qu’employa l’acteur pour parler d’elle, bien qu’il l’avait piquée vif alors que l’expression de son visage trahissait un peu trop cette pâle blessure à son égo. La jeune femme resta penchée contre lui pour ne pas se détacher de ses lèvres. Luxuria aimait sentir les mains viriles de Gabriel s’aventurer sur son corps brûlant. L’intérieur de sa cuisse frottait de temps à autre contre la queue au repos du jeune homme chaque fois qu’elle se penchait plus en avant sur lui.

Guidée par Gabriel, la jolie blonde prit place sous lui, ses cheveux dorés encadrant délicatement son joli minois dont le regard perçant n’arrivait à le quitter des yeux. Phoenix savourait les délicieuses attentions de la bouche de son amant à l’intention de sa voluptueuse poitrine, frémissante sous ses caresses attentives et ses baisers remontés dans son cou. Dès lors que le bel acteur se retrouva allongé à ses côtés, une main posée contre l’intimité de la belle, traçant de petits gestes adroits qui conserva quelques secondes encore ce plaisir intense qu’il avait desservi à ce corps de déesse. Luxuria le laissa faire doucement, sa tête reposant contre l’épaule de Gabriel. Elle finit par s’assoupir lentement, peu après que sa main ne repose contre sa hanche.

Seul guerrier debout, Gabriel se retira de sous les draps et quitta la pièce sans que sa nouvelle conquête ne réagisse vraiment si ce n’est qu’au petit courant froid qui s’infiltra dans son dos lorsqu’il souleva précautionneusement les couvertures. Phoenix se retrouva bien vite entre deux mondes après le retour de son amant auprès d’elle. Traînant toujours dans un sommeil léger, voir à demi-conscient, la belle senti bien quelques petites ondes électriques naître en son bas ventre, lui infligea alors qu’elle ne sorte que plus précipitamment de ses songes dès lors que Gabriel l’avait doucement retournée sur le dos – alors qu’elle était initialement de côté – pour mieux avoir accès à son intimité invitante. Aussi poussa-t-elle de petits soupirs, son corps se crispant qu’une seule fois, sous l’effet d’un spasme incontrôlé qui l’avait prise soudainement. La langue aventureuse de son amant ne manquait pas d’éveiller en elle certaines envies en même temps qu’elle recouvrait un peu plus ses esprits. Son bassin se mouvant quelque peu en sentant le doigt de l’acteur s’immiscer en elle avec toujours un peu plus d’insistance. Maintenant que Gabriel remontait lentement le long du corps de la jeune danseuse, celle-ci se retrouva réveillée de la plus délicieuse des façons qui soit. Elle attendit qu’il détacha ses lèvres des siennes pour finalement ouvrir petit à petit les yeux et lui répondre, un petit sourire mi-coquin, mi-joueur peint sur son visage :

« Bon matin monsieur… j'ai normalement d'autres engageants pour cette journée… mais j’ai bien l’impression qu’ils devront bien se passer de moi pour aujourd’hui. Quelque chose me dit que mon bourreau ne me laissera pas quitter sa demeure de si tôt….»

Phoenix était consciente des petits problèmes que son absence occasionnerait au Cabaret, mais elle était loin de s’en préoccuper. Elle qui ne manquait jamais une seule de ces répétitions, s’accordait pour une fois une petite faveur. La jeune danseuse savait qu’elle rattraperait rapidement le retard et que la chorégraphie serait ancrée dans sa tête et dans son corps en moins de deux. Et puis, ce n’était un secret pour personne; Phoenix était connue pour ses besoins insatiables en matière de sexe qui avaient plus souvent qu’autrement nécessitait d’être comblés; c’était SA drogue comme d’autres affectionnaient seringues, pills ou concentrés alcoolisant. Il ne fallait même pas se surprendre de savoir que le Cabaret même devenait un terrain de jeu. Les clients, sujets à une sélection particulièrement stricte, ne s’en plaignaient pas, le Big Boss non plus et tout le monde était content.

Pour la journée, elle appartiendrait donc à son amant qui semblait déjà avoir planifié son emploi du temps à son profit et probablement au sien également. Gabriel la dominait entièrement ne laissant qu’à Luxuria, que la sensation d’être la prisonnière de ses mains et de son corps. L’étau semblait se refermer de plus en plus autour d’elle à mesure qu’une érection grandissante se faisait déjà sentir contre son sexe. Dans un état d’esprit plaisant, Phoenix montrait déjà des signes d’une énergie nouvelle qui reprenait possession de ses membres. Elle passa furtivement une main dans son dos, caressa délicatement la peau chaude de Gabriel en même temps qu’elle prolongeait son baiser. Une jambe légèrement repliée et s’aidant doucement de son pied, la belle semblait vouloir presser la queue de son amant contre elle, être plus à même de pouvoir la sentir prendre de l’ampleur presqu’en elle. Phoenix cherchait sur le regard du beau brun ténébreux, le petit signe qui précéderait la réalisation de son désir ravageur de lui rappeler ce pourquoi elle était ici.

Elle était un fantasme, son fantasme, et séjournait dans ses draps pour son plus grand plaisir. Les souvenirs de la veille étaient encore bien à son esprit mais l'acteur porno ne pouvait se contenter de sa mémoire ou des vidéos enregistrées, surtout s'il avait encore Phœnix rien que pour lui. Son job nécessitait sa présence cependant sa queue en avait encore besoin, histoire de la marquer une nouvelle fois ; de la défoncer à nouveau, maintenant que le repos avait circulé dans leurs corps respectifs. La jeune femme lui semblait être une nymphomane par bien des aspects et il ne manquait pas de s'en réjouir, n'étant pas dans la pornographie pour simplement être filmé. Le cunni' qu'il lui avait fait semblait avoir remis de l'électricité dans les désirs sexuels de Phœnix, ne désirant nullement quitter le lit si ce n'est en sa compagnie la plus intime. Il l'embrassa avec une affection vulgaire mais tendre, peut être même trop, tandis que sa main continuait à caresser les cuisses de la succube.

Son sexe effleurait le sien, de plus en plus. Elle lui donnait une trique en une poignée de secondes, et elle n'avait même pas employé ses mains ou sa bouche. « J'ai envie de te baiser jusqu'à en avoir mal. » souffla-t-il au creux de son cou, se logeant lentement en elle avec sa queue qui lui valait tant de succès sur la pellicule. Sa taille ne cessait d'augmenter, prenant de l'essor à l'intérieur de Phœnix dont il pressait les seins, les mordillait et les palpait avec une assurance désarmante. Elle lui appartenait et lorsqu'il commença à donner ses premiers coups de reins, Gabriel adopta un rythme proche de celle d'un couple en lune de miel. Une manière de réveiller la jeune femme en douceur, partageant bien plus des baisers et des caresses que des fessées et des râles. Cette perspective lui plaisait tout autant mais il se donnait le temps d'amadouer la belle, de lui donner l'idée de revenir régulièrement au pieu avec lui. Au final, Gabriel espérait bien la compter comme une de ses propriétés personnelles, une esclave personnelle, qui emménagerait dans son appart' et serait prête à se faire baiser à trois heures du mat' par son seul caprice. C'était là ce qu'il voyait comme une relation proche pour lui, et sa queue qui s'enfonçait entre les jambes de la danseuse était le moteur même d'une liaison avec lui. Il la laissa le chevaucher, employant ce moment pour mettre en mal encore plus de coutume la poitrine qu'elle arborait et serrait ses fesses où il avait déjà hâte de se caler sans plus tarder. Les draps étaient en boule, dans un coin, leur permettant de laisser aller leurs doigts, leurs lèvres jusqu'à la satiété sur leurs peaux de plus en plus tremblantes.

Plus tard, sous la douche, ils continuèrent leurs jeux interdits ; la vision de la croupe de Phœnix devant lui n'avait pas manqué d'entraîner Gabriel à la prendre par derrière tandis que l'eau chaude tombait en trombe sur eux. La caméra ne manquait rien, et l'acteur non plus tant il prenait son pied, faisant déhancher malgré elle la belle sous ses coups de reins appuyés. Il en désirait toujours plus, souhaitant la prendre encore et encore, et même lorsque l'eau fut coupé il continua à la martyriser, souhaitant l'entendre gémir alors qu'elle était presque écrasé contre un mur de la salle de bain, encaissant sa queue qui la dévorait. Il la baisa réellement jusqu'à en avoir mal, bénéficiant d'une fellation pour la peine ; et d'un rendez-vous, d'ici peu. Au lieu de son choix, pour l'activité de son choix