Adieu les interdits
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 We own the night. (PV EVERY)

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MessageSujet: We own the night. (PV EVERY)   We own the night. (PV EVERY) EmptySam 11 Sep - 22:51

La nuit tombait sur L.A. Joanna, prostrée dans sa splendide villa de gosse de riche qu'elle était, fumait cigarette sur cigarette, pour rompre l'ennui. Tel est le problème quand on a tout. On a plus envie de rien. Ou on a envie de choses impossibles. D'aventure, d'amour. Joanna n'avait rien de tout cela. Elle avait de la coke à profusion, des beaux mâles dans son lit, et c'était tout. Elle faisait semblant d'être heureuse. Sourire aux lèvres, beaux vêtements, manolos aux pieds. Mais au fond, Joanna n'était rien de tout cela. C'était une fille profondément seule, que ses parents pensaient gâter grâce à leurs biftons. Ce n'était pas ce qu'elle voulait. Elle ne désirait que leur affection. Prostrés dans leur appartement du West Side, à New York, ils se fichaient pas mal de leur fille. Ils souhaitaient qu'elle fasse des études convenables, et qu'elle honore sa famille. Mais jamais ils ne prenaient de ses nouvelles. Joanna, volubile à souhait, préférait se vautrer dans une débauche certaine. Boire, fumer, baiser. Le trio infernal. Elle savait bien qu'elle se détruisait à petit feu. Tant pis. De toute façon, elle était persuadée que si un jour, elle venait à disparaître, personne ne le remarquait. C'était terrible de penser ainsi. Ce soir là, donc, elle ruminait, en fumant. Finalement, une idée lui vint. Peu originale. Le genre d'idée qui lui venait un peu près tous les soirs. Sortir. Aller en boîte. Boire. Finir avec un parfait inconnu dans son lit. Elle se leva d'un bond, écrasa sa cigarette de son escarpin Louboutin, puis se rendit dans sa chambre. Là, elle ouvrit son immense penderie. On n'y trouvait que des fringues de marque, hors de prix. Mais, est-ce suffisant pour être heureuse ? Bien sûr que non. Elle aurait préférée n'avoir rien à se mettre sur le dos mais avoir l'amour de ses parents.

Bref, elle choisit sa robe rouge incendiaire. Le genre de robe qui fait toujours son effet sur la gente masculine. Bref, Joanna se maquilla brièvement, se coiffa, puis pris son sac, pour finalement sortir de sa villa. Une nouvelle soirée commençait. Elle pourrait, l'espace de quelques heures, oublier sa vie, oublier ses soucis, et s'amuser complètement. Elle avait envie d'un bon cocktail, d'une petite ligne de coke, et surtout, d'un bel homme à séduire. Une fois arrivée dans LA boîte huppée de L.A, Joanna sortit de sa voiture, faisant claquer ses stilettos sur le sol. Elle pouvait sentir le regard des autres sur elle. Et dieu qu'elle aimait cela. Etre le centre d'attention, il n'y avait rien de plus jouissif pour elle. Elle regardait les hommes se retourner sur son passage d'un air amusé. S'ils savaient...Tous ces machos se la seraient bien tapé, mais c'était tout. Et ça, Joanna avait du mal à le supporter. Qu'on la regarde, c'était bien, qu'on l'aime, voilà qui était mieux. Elle chassa ces idées de sa tête, et entra dans la boîte de nuit. Une musique techno assourdissante régnait. Joanna sentit les effluves des fumées de cigarettes, ce qui la fit immédiatement en allumer une. Elle alla s'installer au bar. Jambes croisées, coude posé sur le comptoir, elle regardait d'un air distrait les autres danser. Qu'est ce qu'ils pouvaient s'amuser...Elle avait besoin de faire de même. D'un geste désinvolte, elle appela le serveur. Elle commanda un cosmo. Joanna n'allait pas se soûler ce soir. Se vider les tripes n'était pas le but. Par contre, être un peu éméchée pouvait se révéler utile. Très utile. Tout paraît plus beau quand on est un peu "joyeux". Elle porta alors la coupe à ses lèvres, dégustant le délicieux alcool, quand elle vit au loin, Every, une jolie brunette qu'elle connaissait plus que bien. Elle faisait partie des ses amis les plus proches.

Aussitôt, Joanna posa son verre sur le comptoir, et tenta d'attirer l'attention d'Every. Elle lui fit un petit signe de la main, auquel elle répondit quelques secondes plus tard. Un grand sourire aux lèvres, Joanna attendit patiemment que son amie vienne à elle. Enfin, "amie" était un euphémisme. Joanna, après avoir vu le show d'Every eprouvait une certaine attirance pour elle. Sauf qu'elle n'avait pas envie de lui réveler. Elle ne voulait pas l'effrayer. Et surtout, elle était quasiment sûre qu'Every était hétéro. Joanna l'avait donc vu à ce fameux show, et depuis ce jour, certaines images revenaient sans cesse dans sa tête. Petit hic : Every n'était absolument pas au courant de la présence de son amie, ce soir là. A vrai dire, Joanna était tombée par hasard sur elle, puisqu'elle ne lui avait jamais révélé son véritable métier. Mais la jeune femme ne se vexait pas. Elle comprenait qu'Every ait voulu lui cacher cela. Peut être avait-elle eu peur de son jugement, après tout. Joanna était bien du genre à juger les gens. A critiquer leurs moindres faits et gestes. Donc, elle aurait forcément fait une remarque plutôt méchante à Every si elle avait appris son métier. C'était plus fort qu'elle. Enfin, après l'avoir vue "en action" si on peut dire, Joanna n'avait pas jugé utile d'en parler à son amie. Elle aurait plutôt eu envie de la féliciter qu'autre chose. Bref, la jeune femme vint à elle. Joanna déposa un léger sur sa joue, puis la fixa avec plein de malice dans le regard.

« Every ! Ca fait longtemps ! Excuse moi de t'avoir interrompue dans ton plan drague. »

Le sourire toujours aux lèvres, Joanna rit, de ce rire cristallin qui lui était propre. Evidemment, tout cela n'était que pure plaisanterie. Ce n'était en rien pour la vexer ou la gêner, juste pour la provoquer un peu. Finalement, les deux jeunes femme s'assirent au bar. Joanna reprit une gorgée de son cosmo, puis dit à son amie :

« Tu veux quelque chose à boire ? Allez, je t'offre ce que tu veux. Enfin, évite le champagne à 400$ quand même, faut être raisonnable. »

La brunette fit un petit clin d'oeil complice à son amie. Finalement, elle se pencha vers elle, et murmura, au creux de l'oreille, afin que personne n'entende ce qu'elle allait dire :

« J'ai de la coke dans mon sac. T'en veux ? »

Joanna n'y allait jamais par quatre chemins. Tous ceux qui la fréquentaient le savaient. On appelle un chat un chat. Telle était sa devise. Elle n'avait vraiment pas peur de demander cela à Every, sachant que celle-ci avait, par le passé, déjà consommé avec elle. D'un air distrait, Joanna tourna la tête vers le "dancefloor", et dit à son amie :

« Et après, on ira danser. All the night long. »

Ce soir, Joanna, quoi que fasse Every, se taperait une petite ligne. Elle en avait besoin pour dire la vérité à la jeune femme. Lui avouer son attirance. Lui avouer qu'elle était là, ce soir là, au cabaret.
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MessageSujet: Re: We own the night. (PV EVERY)   We own the night. (PV EVERY) EmptyDim 12 Sep - 2:19

Chaque jour. Chaque jour Mr. Et Mme. Haena appelaient leur chère progéniture, certes la belle enfant n’était peut-être pas le fruit de leurs entrailles à proprement parler, mais ils l’aimaient autant sinon plus que si elle ne l’avait été. Ils étaient ceux qu’elle avait appelés maman et papa tout au long de sa vie et ils étaient les premiers à avoir déposé des baisers remplis d’affection sur son front encore chauve alors qu’elle n’avait que quelques jours d’âge. Elle n’avait jamais, jamais manqué d’amour de ses parents. Ils avaient été des parents exemplaires, en lui inculquant les meilleures valeurs, en lui apprenant à être une bonne personne ou simplement en assistant à chacun de ses spectacles de danse. C’était probablement ce qui expliquait pourquoi Every était toujours triste après chaque appel de ses parents. Ils lui racontaient tous deux leurs anecdotes de la journée, comme si elle avait été assise à la table avec eux lors du repas du soir. Alors qu’un racontait sa journée, elle pouvait entendre l’autre qui, dans une autre pièce, criait des détails supplémentaires ou des ‘ne crois pas ce qu’elle te dit ! Tu connais ta mère, toujours en train d’exagérer ce qu’elle dit !’. Elle allait rire, mais ce sourire sur ses lèvres disparaîtrait lorsqu’elle allait raccrocher le combiné. Elle se sentait terriblement mal face à son métier fraîchement déniché. Ses parents seraient tellement déçus d’elle s’ils apprenaient que son fameux nouvel emploi n’était autre que danseuse dans un cabaret. S’ils savaient que lorsqu’elle disait qu’elle avait rencontré un charmant garçon, elle voulait en fait dire qu’un des bons clients du club lui avait proposé une somme faramineuse – assez grosse pour payer son loyer du mois et une nouvelle tenue – si elle acceptait de lui faire un petit ‘numéro’ privé. Elle le faisait. Parce qu’elle était nouvelle, parce qu’elle avait besoin d’argent. Et, peut-être, aussi qu’elle se sentait incroyablement belle et séduisante et en possession de ses moyens lorsqu’elle le faisait.

L’ennuie s’emparait d’elle alors qu’elle était seule dans son appartement. Elle avait d’abord songé à utiliser ce soir de congé afin de se reposer, chez elle, en pyjamas. Elle fut convaincue qu’il s’agissait d’une bonne idée durant deux ou trois minutes. Puis, elle fut prise d’un ennui presque mortel. La belle brune se promena dans son appartement d’une pièce à l’autre alors qu’elle se préparait à sortir. Monte le volume de son Bowie qui joue dans le salon, marche en chantant Space Oddity jusqu’à la salle de bain où elle se maquilla dramatiquement en appliquant plus de noire sur ses yeux qu’à l’habitude optant pour un look mystérieux, sauvage offert par le maquillage charbonneux qui venait soutenir son regard déjà profond et foncé. Sur ses ongles, comme à l’habitude, du vernis noir. Du Chanel – parce qu’il était remarquablement mieux qu’une autre marque, simplement parce que Chanel c’était Chanel. Sur sa peau fraîchement parfumée d’une odeur d’orange mélangée à un soupçon de vanille, la séparant de la nudité n’étaient que son soutien-gorge de dentelle noire assorti d’un string composé de la même matière. Ses cheveux longs, détachés et bouclés dans vers le bas témoignaient de son humeur, comme toujours. Elle enfila une jupe vintage en cuir, très courte, décorée de studs. Le cuir épousait si bien ses courbes qu’on aurait pu croire que si nos yeux se posaient avec insistance sur le vêtement que celui-ci allait se fendre, trop tendu. Elle combina la jupe à une camisole noire, moulante, qui donnait aux deux pièces une allure de robe courte et provocante. Elle conclu l’ensemble par son léger manteau préféré; une chemise à carreaux surmontée d’un court jacket de jean. Accessoirisé de bijoux faits de chaînes et de studs, l’ensemble lui donnait un look très rock allant de pair avec ses fantasmes et son humeur du soir. Arrivée au night club le plus en vue de la jeunesse animée par la luxure de la Cité des Anges, elle descendit de sa firebird 1970 qu’elle possédait depuis ses dix-sept ans, tous les regards braqués sur elle. L’assurance et l’attitude dont la brune faisait preuve attiraient les regards curieux ainsi que les chuchotements ‘qui est-ce ? Est-ce que c’est une actrice; elle entre par l’entrée des VIP…’. En fait, elle connaissait le doorman. Il avait été la première personne à croiser son chemin à L.A. Étrangement, ils s’étaient connus au supermarché – quoi de plus séduisant

Ce soir, Every voulait s’amuser. Elle voulait danser, jusqu’à ce qu’elle ne tienne plus debout. Elle voulait être séduite, elle voulait s’envoyer en l’air. Elle voulait boire et ne plus sentir son existence, ni la voix de la raison qui tentait de la ramener à l’ordre. Au bar, elle discutait avec le doorman qui avait prit sa pause à l’arrivée de son amie, l’attirance qu’ils éprouvaient l’un envers l’autre était évidente, mais d’un côté il savait qu’elle était venue ici pour s’amuser et elle, elle, savait qu’il était là pour bosser. Un geste attira son attention, un signe de la main. Sur ses lèvres se dessina un large sourire, franc. Joanna – son amie depuis l’année à New York. Déposant un baiser aux commissures des lèvres de son interlocuteur, elle lui dit au revoir en lui promettant de l’appeler plus tard dans la semaine et se dirigea vers la belle brune avec qui elle avait fêté. Every détecta la malice dans le regard de son amie et un profond frisson lui parcouru le corps. Depuis qu’elle avait fait la connaissance de la riche jeune femme, l’hawaïenne s’était souvent surprise à penser à elle. Elle plus elle-même réunies. A ses pensées devant l’objet même de quelques un de ses fantasmes, Every sentit la chaleur s’emparer de ses joues signifiant qu’elles étaient teintées de rose.

« Comment vas-tu ? Tu es absolument ma-gni-fi-que. Comme toujours. Ne t’en fais pas pour lui, c’est un ami. » Dit-elle, sachant que Joanna comprendrait par là qu’ils avaient couché ensemble, répondant ainsi à l’attitude provocante et taquine de Joanna. Puis, elle lui offrit un verre. La grande brune remarqua alors le cosmo posé sur le bar devant son amie. « Je crois que je vais t’accompagner, je vais prendre la même chose que toi. » Elle lui offrit un sourire, la remerciant ainsi de sa générosité.

Lorsque Joanna lui murmura à l’oreille, Every ferma les yeux, machinalement. Une réponse de son corps contre le souffle chaud qui venait se heurter à la peau sensible de son lobe et de sa nuque. De la coke? A ce mot, Every se mordit la lèvre inférieure. Elle n’en avait pas prit depuis New York, mais son cœur battait la chamade, se souvenant de la légèreté qu’elle ressentait lors de ces soirées. De l’évasion totale que la poudre couleur neige offrait à son âme et son corps. Pour seule réponse, elle plongea ses yeux dans le vert du regard de son amie et hocha la tête d’un signe affirmatif. Ses hanches commençaient déjà à valser d’un sens puis de l’autre, langoureusement, au rythme de la musique. Complètement inconsciente de l’effet que ce genre de gestes pouvait provoquer sur son amie.
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MessageSujet: Re: We own the night. (PV EVERY)   We own the night. (PV EVERY) EmptyLun 13 Sep - 21:31

Un peu d'alcool dans le sang, une bonne musique, une jolie fille. Quoi de mieux ? Pensant à ce début de soirée idyllique, Joanna ne pu réprimer son sourire. Elle était heureuse de partager cette soirée avec son amie. Qui était évidemment bien plus qu'une amie pour elle. De peur de l'effrayer, elle ne lui avouait pas sa petite, voire grosse attirance. Pour l'instant, elle jouait à l'amie sympa qu'elle pouvait être. Cette situation n'allait pas durer longtemps, cela dit. Joanna connaissait son tempérament. Elle était franche, trop peut être et dès qu'elle avait un peu d'alcool dans le sang, et surtout un peu de poudre blanche à disposition, elle pouvait très facilement révéler des choses qui aurait dû être tues. C'est pour cela qu'on qualifiait Joanna d'imprévisible. C'était un risque à prendre que de la fréquenter. Elle pouvait réagir au quart de tour, vous gueuler dessus, mais aussi vous sauter dessus. Tout dépendait de son humeur. Elle agissait selon son bon plaisir. Toujours assise sur sa chaise, elle porta de nouveau ses lèvres à son verre de cosmo. Une délicieuse sensation de frais se dégageait du liquide. Joanna fixait son amie, mêlant son regard émeuraude dans le sien. Elle était belle, ce soir. Avec cette jupe incroyablement courte, et cette petite tunique provocante. Pas étonnant qu'elle se fasse draguer aussi facilement. Avec une beauté naturelle et des fringues pareilles, elle ne risquait pas de laisser indifférents tous les mecs aux alentours. Le regard de Joanna détailla la moindre partie du visage de son amie. Et son attention se fixa tout d'abord sur ses lèvres. Sentant bien qu'elle se mettait à fantasmer, la jeune rentière se repris. Son attention se fixa alors sur ses joues. Empourprées. Etait-elle gênée par la situation ? Joanna se demandait si elle avait fait quelque chose qui aurait pu l'embarrasser. Pourtant, elle ne l'avait pas ouvertement draguée. Du moins, pas encore ! La brunette lui fit un sourire, qui se voulait rassurant. Alors qu'elle reprenait une gorgée de son cosmo, son amie lui fit un compliment, qui aurait presque pu la faire rougir elle aussi, si elle n'était pas aussi habituée à entendre de telles phrases. Voilà de quoi redorer son égo. La brunette adorait qu'on lui dise à quel point elle était belle. Par contre, elle se privait toujours de le dire aux autres ! Egocentrisme, égoisme, pure méchanceté ? Un peu des trois. Finalement, d'un ton particulièrement calme, de sa voix toujours un peu aguicheuse, elle lui dit :

« Toi aussi. Je comprends pourquoi tous les mecs te reluquent. Il y a de quoi. »

Elle arqua un sourcil, suite à cette remarque, avec un petit sourire qui se voulait sympathique, mais qui était en fait particulièrement pervers. Joanna, dans son naturel extrême, n'avait pas remarqué que ses paroles était particulièrement...explicites. Si on peut dire. Elle l'avait ouvertement draguée, voilà tout. Et pourtant, elle n'éprouvait aucune gêne. L'air de rien, elle repris un peu de cosmo, et ajouta :

« J'ai l'impression que Mademoiselle a beaucoup d'amis... »

Elle laissa échapper un petit rire taquin. Voilà, Joanna avait encore mis un énorme sous entendu dans ses paroles. C'était plus fort qu'elle. Elle ne pouvait pas s'empêcher de glisser des connotations sexuelles dans la majeure partie de ses paroles. Ce n'était donc absolument pas l'effet de l'alcool. Pas encore du moins. La brunette appela le serveur, pour qu'il apporte un comso à son amie. En quelques secondes, le verre fut servi. Joanna trinqua alors avec Every. Puis, elle finit son verre, d'un seul trait. Ensuite, elle avait proposé de la coke à la jeune femme. Qui était apparemment partante. Mais évidemment, Joanna n'allait pas sortir son petit sachet sur le comptoir, et sniffer devant tout le monde. Elle avait un tant soit peu de dignité. Alors, elle attendit quelques instants, qu'Every puisse profiter de son cosmo. La regardant avec un grand sourire, elle s'aperçut que son amie commençait à balancer ses hanches, sensuellemment, au rythme de la musique. Un frisson parcouru le dos de Joanna. Son désir montait peu à peu. Se contrôler devenait de plus en plus difficile. Joanna ferma les yeux. Des images défilaient dans sa tête. Elle essaya de les stopper. Mais la tâche était ardue. Finalement, Joanna se leva, et prit la main d'Every. D'un coup, comme ça, sans prévenir. Ce geste devait la surprendre. Elle serra sa main dans la sienne, et l'invita à la suivre. Ainsi, son amie n'avait aucune idée des intentions de Joanna. Et c'était tant mieux. La boite de nuit regorgeait de coins un peu secrets. Il y avait une petite salle, privée, où des gens se retrouvaient pour danser sans la foule habituelle. Par chance, cette petite salle était libre. Joanna s'engouffra dedans, et ferma la porte derrière elle.

« Désolée pour ton cosmo, mais j'ai quelque chose de mieux à te proposer, comme tu le sais. »

Alors, elle sortit son petit sachet de poudre blanche de son sac. Elle versa un peu de coke sur le bar à cocktail de la salle. Heureusement, la direction n'avaient pas jugé utile de placer un serveur ici. Puis, Joanna traça deux lignes. Sa main sur sa narine droite, elle sniffa la première ligne. Cette sensation était extraordinaire. Dans quelques minutes, la coke ferait vraiment son effet. Elle regarda alors Every, et la pria d'en faire de même. Pendant ce temps, Joanna se dit qu'elles manquaient grandement de musique. Elle laissa Every seule quelques instants, pour aller demander, à l'extérieur de la petite salle, à ce qu'on mette une musique. Dès qu'elle revient, une chanson particulièrement rythmée retentissait. Joanna, fixant Every de son regard de braise, commença à danser, remuant ses hanches en rythme, levant ses bras au dessus de sa tête, balançant tout son corps de droite à gauche. Sa robe moulante laissait entrevoir sa lourde poitrine qui se mouvait au rythme de la chanson. Joanna était persuadée que ce petit spectacle n'avait aucun effet sur son amie. Par contre, si Every venait se joindre à elle...cela ne serait pas déplaisant. Elle continua de remuer son bassin au rythme de la chanson, quand finalement, elle appela son amie :

« Allez, viens ! Je suis sûre que tu danses hyper bien ! »

Joanna connaissait très bien le réel métier d'Every. Elle était d'ailleurs sûre de ses talents. Rien qu'à l'imaginer danser, elle en avait des frissons. Ainsi, tout en subtilité, elle lui demandait de montrer ce dont elle était capable. Maintenant, plus besoin de la coke pour augmenter l'excitation. Every suffirait amplement à Joanna.

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MessageSujet: Re: We own the night. (PV EVERY)   We own the night. (PV EVERY) EmptyMar 14 Sep - 7:38

Le barman posa le cosmo sur le bar, accompagné d’un sourire séducteur en direction des belles brunes. Et, rougissant suite aux commentaires explicites de Joanna, Every bu une longue gorgée espérant camoufler l’effet qu’avaient les paroles de Joanna sur elle. Pas un rougissement de gêne, un rougissement qui exprimait une augmentation de sa chaleur corporelle - par excitation. Toute sa vie, Every avait caché ce genre de réactionw, n’ayant jamais osé affirmer sa bisexualité, son attirance intense et irrévocable pour les femmes.

« J’en ai quelques uns, c’est vrai, mais probablement pas autant que toi … » Répondit-elle, avant de rire, d'un petit rire séducteur.

Elle n’eut pas le temps de prendre une deuxième gorgée de son cocktail que Joanna lui saisit la main, et Every fut entraînée par son amie à travers la foule de corps qui dansaient pour la plupart langoureusement. Elles se rendirent ensuite vers la salle privée, pour les groupes VIP ou désirant plus d’intimité. Ayant son verre en main, Every avait réussi à le sauver, bien qu’en route, plusieurs gouttes s’étaient échappées du verre alors qu’il se faisait secouer d’un bord puis de l’autre. Joanna ferma la porte derrière elle et se dirigea instantanément au bar, prête à passer aux choses plus sérieuses.

Every observa attentivement la somptueuse brune alors que celle-ci sortit de son sac à main griffé le fameux petit sachet contenant la poudre blanche. La chose qu’elle avait décrite comme mieux que l’alcool. La danseuse sentit son cœur battre plus rapidement, une sorte de trac et d’anticipation. Elle n’avait pas touché à ces petits flocons blancs comme neige depuis ses nuits de folies à faire la fête avec des amis dont Joanna à New York. Le regard noisette de l’hawaïenne était posé directement sur le sachet. Elle avait dit oui, et elle c’était vrai qu’elle désirait s’amuser… S’éclater, dans tous les sens possibles de l’expression. Ses yeux firent le trajet du sachet, remontant aux doigts de sa belle amie, puis son bras, jusqu’à ses épaules, puis, ils descendirent jusqu’à sa poitrine. Every enviait la silhouette de la New Yorkaise, elle avait toujours trouvé sa poitrine parfaite. De gros seins, qui semblaient être lourds, et fermes. Elle n’avait jamais vu les tétons, mais combien de fois, seule et perdue dans ses pensées, les avait-elle imaginés. Rosés, durs, pointant vers le haut, brûlant d’envie d’être touché, pincé… Léché, puis mordillé. Ce genre de pensées hantait Every depuis l’époque de sa préadolescence. Elle avait toujours été attirée profondément par les femmes, par leurs corps faits de courbes et de rondeurs alléchantes. Et Joanna avait le corps idéal, et chacune de ses courbes était à l’origine d’une pensée érotique qu’imaginait Every lorsque le soir, dans son lit, elle ne trouvait pas sommeil étant particulièrement éveillée. Joanna se pencha vers le comptoir où se trouvaient deux lignes de cocaïne. Un sourire de béatitude s’emparait déjà ses lèvres pulpeuses. Automatiquement, la danseuse fut encouragée. Le trac fit place à de l’excitation et alors que Joanna la quitta pour aller réclamer de la musique dans leur propre petit club, elle se pencha à son tour au-dessus de la surface du bar, fermant à l’aide d’une pression de ses doigts sa narine droite. Elle renifla le petit sentier de neige. D’abord, elle ressentit comme un feu violent dans sa narine qui, visiblement, n’était plus accoutumée à un tel traitement, puis, elle sentit sa tête devenir lourde, mais légère à la fois. Ses yeux remarquèrent le sachet qui était resté sur le comptoir, entrouvert et sur le marbre gisait quelques traînées qui étaient tombées. Every mouilla son index de sa salive et nettoya le minuscule dégât, puis lécha son doigt. La poudre engourdit automatiquement sa langue.

Alors que la requête de Joanna fut acceptée, la musique rythmée s’échappa des nombreuses caisses de son installées dans la pièce. Sentant son corps se livrer peu à peu à la drogue qu’elle avait consommée une minute plus tôt. Tournant son dos au bar, elle posa ses coudes sur celui-ci et envoya sa tête par derrière, étirant son cou à sa capacité maximale. Profitant au maximum de l’invasion que subissait son corps. C’était comme si elle pouvait sentir chacun des coins de son anatomie, chacun de ses doigts ; elle les sentait. Ses orteils, ses cuisses, … Ses hanches bougeaient lentement, complètement hors du tempo, de gauche à droite. Entendant des bruits de pas, annonçant le retour de Joanna, Every se redressa et retira la couche qu’elle jugeait superflue de son ensemble, beaucoup trop chaude. Elle déposa la chemise et le léger veston en denim sur le comptoir et prit dans sa main son verre de Cosmo qu’elle avait réussi à apporter avec elle alors que son amie la tira jusqu’à la salle privée. La danseuse se rapprocha de son amie, ses yeux rivés sur la chaire de sa poitrine qui se révélait encore plus dépendamment des mouvements qu’elle effectuait. L’hawaïenne se mit à danser, alors que son corps était dangereusement près de la New Yorkaise. D’un geste semi-délibéré, comme contrôlée par ses pulsions, Every porta son verre aux lèvres de son amie, la faisant boire plusieurs gorgées de la boisson alcoolisée. Puis, une goute s’échappa des commissures de ses lèvres. Le regard couleur noisette de la jeune femme qui n’avait encore été si près de céder à ses pulsions, observa la goutte glisser le long de son cou, puis dévalant son torse jusqu’au rebord d’un de ses lourds seins. Défiée par le regard de sa malicieuse amie, Every la stoppa de son doigt, posé timidement sur la rebord intérieur d’un des ‘melons’ de la belle brune. Comme une légère caresse, elle le promena lentement, de bas en haut le long de la limite de la chaire exposée avant que sa robe ne couvre le reste. Elle porta son doigt à sa bouche et le suça, détectant le goût du cosmo, mais aussi de la peau de Joanna. A cet instant, imaginant retrouver ce goût en passant sa langue sur tout son corps, Every gémit. Emportée par la musique, elle fit demi-tour et colla son derrière contre l’entrejambe de son amie. Frottant son petit cul en mouvements circulaires, sans même réaliser ce qu’elle faisait, bien qu’elle ait dansé de la sorte à de nombreuse reprises – mais uniquement avec la gente masculine, tentant de les exciter à même le dansefloor jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus tenir, invitant alors la belle brune à récolter ce qu’elle avait prit plaisir à semer soit en allant baiser, vite et bien, dans les toilettes du club.

« Joanna … » Dit-elle d’un ton provocant, comme pour l’inciter à réagir ou plutôt à agir. Complètement sous l’emprise de la drogue qui lui enlevait ses inhibitions, elle était prête à suivre Joanna peu importe où elle voulait l’emmener; que ce soit sur le bar, sur le sol ou sur le sofa dans la pièce. Complètement prête à être guidée dans une nuit de grande première si telle était la volontée de la New Yorkaise.
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MessageSujet: Re: We own the night. (PV EVERY)   We own the night. (PV EVERY) EmptyMar 14 Sep - 21:35

Joanna était ravie de voir que l'alcool et la drogue faisaient leurs petits effets sur son amie. Non pas qu'elle ait fait exprès de la faire boire et sniffer pour pouvoir ensuite la séduire. Elle considérait que ces deux choses pouvaient augmenter l'excitation. La chaleur envahissait la petite salle. Etait-ce l'alcool, ou la poudre blanche ? Tout compte fait, Joanna se dit que c'était la présence non négligeable de la belle Every. Quand elle était revenue, elle avait vu que son amie avait commencé à enlever ses vêtements. Elle était certes, toujours habillée, mais elle risquait de ne plus l'être dans quelques minutes. Seulement, Joanna prenait son temps. Elle n'était pas du genre à se sauter sur les gens, comme ça. Elle préférait toujours pratiquer son petit jeu de séduction habituel. Faire craquer ses partenaires. La brunette balançait alors ses hanches, ses cheveux torsadés, quand Every la rejoint. Heureuse d'avoir réussi à la faire venir, un petit sourire délicieusement pervers apparu son visage. Cependant, elle se garda bien de faire une remarque qui aurait été un peu limite. Elle avait certes consommé de la drogue, mais elle avait encore un peu près ses esprits. Every lui ferait peut être perdre la tête, qui sait ? Joanna roulait son petit cul, comme elle avait l'habitude de le faire, quand Every lui fit boire un peu de cosmo. Séduite par ce geste, elle but une gorgée, puis se lécha les lèvres, en fixant son amie. Geste provocant certes. Joanna n'allait pas changer ses bonnes habitudes. Sauf qu'ayant bu un peu trop vite, une goutte s'échappa du verre, roula sur son menton, puis le long de son cou, pour se poser sur l'un des rebords de ses seins. Cette sensation était délicieuse. Fermant les yeux instant, Joanna s'imaginait Every parcourant ce même chemin avec sa langue. L'excitation de la belle grandit encore, mais elle ne laissait rien paraître. Elle tentait vainement de se contrôler. Elle était néanmoins sûre de craquer dans peu de temps. Quand elle ouvrit les yeux, Every avait posé son doigt sur la goutte, sur son sein, et ce contact provoqua un petit frisson en elle. Elle la regarda ensuite sucer son doigt, en poussant un petit gémissement. La coke et l'alcool mêlés faisaient leurs effets. Joanna s'en rendaient compte. Every était plus libérée que d'habitude. Et cela ne déplaisait pas à la belle Joanna.

Se contrôlant toujours, elle essaya de chasser des images qui persistaient dans sa tête. Elle et Every nues, se touchant, s'embrassant, mêlant leurs peaux tièdes, leurs langues, leurs lèvres, et bien plus. A cette pensée, elle poussa un petit soupir. Qu'elle avait cru discret. Mais qui ne l'était pas tant que cela. Joanna remuait toujours ses hanches, quand Every vint se placer devant elle, et frotter ses charmantes fesses contre son entrejambe. Sentir son petit cul contre son corps brûlant ravit Joanna. Si cela n'en tenait qu'à elle, elle l'aurait plaquée contre le mur pour l'embrasser. Mais, elle la laissait faire, profitant de cet instant parfait. Les mains de la brunette se posèrent sur les hanches de la belle, appréciant ce contact, puis se placèrent sur son ventre plat. Entendant son prénom, presque gémit, Joanna comprit qu'elle venait d'obtenir "le feu vert" de son amie. Alors, ses mains habiles remontèrent sur ses seins, les palpant doucement. Elle portait encore ses sous-vêtements, Joanna ne pouvait pas voir l'effet de ses gestes sur sa poitrine. Puis, sa main caressa son cou, puis ses doigts fins glissèrent sur ses lèvres, les détaillant, comme si elle essayait de se les imaginer, sans les voir. Dansant toujours avec elle, Joanna redescendit sa main, sur le bas ventre de la belle, pour finalement la glisser sous sa petite tunique. Et là, elle sentit sa peau. Tiède, douce, sûrement délicieuse. Ses doigts remontèrent lentement vers ses seins, et caressèrent doucement ce qui n'était pas recouvert par son soutien gorge. Finalement, elle ne pu pas résister à la tentation : ses doigts fins s'engouffrèrent sous son soutien-gorge de dentelle, pour caresser lentement ses tétons. Ne pas les voir faisait augmenter son excitation. Mais elle les sentait parfaitement. Elle les imaginait bien roses. Elle le sentait durs et à la fois très doux. Ses pouces glissèrent dessus à de nombreuses reprises, pour augmenter l'excitation de la belle Every. Puis, ses mains quittèrent sa poitrine parfaite, pour masser doucement son ventre. Puis, elle retira sa main. Joanna arrêta alors brusquement de danser, et fit un petit tour pour se mettre face à Every. Là, elle s'approchait doucement d'elle. L'effet de l'acool et de la drogue aidant, elle osait presque tout faire, à présent. Elle avait terriblement envie de la belle, mais prenait son temps. Elle aurait pu lui arracher ses vêtements, et baiser à même le sol, mais elle préférait aller doucement, savourer les moindres parcelles de sa peau, les moindres parties de son corps qui s'annonçait divin. Joanna se retrouva à quelques centimètres d'elle, et approcha son visage de sien. Là, sa bouche lippue vint emprisonner sa lèvre inférieure. Puis, ses lèvres joignirent totalement les siennes, sa langue pénétrant doucement dans sa bouche, pour venir aller caresser la sienne. Elle la massa doucement, se délectant de ce contact, sentant encore le goût de Cosmo sur leurs langues respectives. Puis, elle rompit le baiser, en finissant par mordre doucement sa lèvre inférieure. Ce baiser avait quelque chose d'unique. Peut être à cause de la drogue ou de l'alcool qui décuplaient les sensations. Mais, Joanna avait l'intime conviction que le fait que ce soit Every qu'elle embrassait jouait un grand rôle. Les baisers entre femmes étaient toujours plus savoureux. Telle avait toujours été la pensée de Joanna. Elle ne savait pas si c'était la première fois pour son amie, et en tout cas, elle comptait la rendre inoubliable. Sa bouche glissa alors le long de son cou, sa langue léchant délicatement sa peau nue. Elle sentait délicieusement bon. Puis elle fit la trajectoire inverse, remonta sur son cou, puis vers son oreille. Là, elle lui dit, en murmurant :

« Mmh...ça faisait tellement longtemps que je rêvais de faire ça. »

Puis, Joanna quitta cette position, pour plonger son regard dans celui de son amie. Finalement, son regard se porta autour d'elle. Joanna repéra un canapé, sur lequel elle rêvait de s'étendre avec Every. Non pas pour faire dormir évidemment. Elle la pris de nouveau par la main, et la guida vers le canapé. Une fois qu'elles furent toutes deux assises, Joanna embrassa de nouveau Every à pleine bouche, avec une passion non dissumulée. Sa langue tournoya autour de la sienne. Elle se laissait complètement aller à son désir. Et ce n'était que le début. Ses mains entouraient sa tête, son corps brûlant était collé contre le sien. Joanna avait de plus en plus envie d'elle. De sentir sa peau nue contre la sienne. De mêler leurs entrailles. Finalement, elle rompit le baiser, et sa main glissa de nouveau sur sa cuisse, vers l'intérieur, allant en suite se poser sur son entrejambe, encore cachée. Elle caressa son intimité cachée, pour l'exciter encore plus, pour sentir sa mouille inonder le tissus. Ses doigts glissaient de plus en plus rapidement, quand elle dit :

« Tu sais que j'ai terriblement envie de toi, Every ? »

Et puis...finalement, elle ne pu pas résister à l'envie de glisser son index sous le petit tissus, rentrant en contact avec ses lèvres mouillées par l'excitation. Son doigt pénétra doucement dans son intimité suintante. Le fait de ne pas voir sa petite chatte l'excitait encore plus. Finalement, elle fit tournoyer son doigt, plus profondément en elle, pour aller titiller son clitoris, qui gonfla sous ses caresses. Un second doigt de Joanna entra dans son intimité mouillée. Elle les enfonçait le plus profondément possible, fouillant les moindres recoins de ses entrailles. Et puis, elle les ressortit, d'un coup. Joanna vint alors lécher ses propres doigts, goûtant ainsi à la mouille de la belle. Elle faisait cela avec une grande lenteur, s'en délectant, et fixant Every droit dans les yeux.

« Ca aussi, j'en ai longtemps rêvé. »
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MessageSujet: Re: We own the night. (PV EVERY)   We own the night. (PV EVERY) EmptyMer 15 Sep - 4:23

Alors que le cul bien rond, ferme et de la taille idéale d’Every frottait de façon provocante l’entrejambe de celle qui lui faisait perdre la tête, l’Hawaïenne n’avait su retenir son gémissement qu’elle transforma en ‘Joanna’. Cette dernière reçu le message cinq sur cinq et comprit qu’il était temps d’agir, qu’Every était complètement à sa merci et à sa portée. Les mains de la rentière avaient d’abord été posées, sagement, sur les hanches de la danseuse, et elles avaient ensuite voyagé jusqu'à son ventre, laissant une trainée brûlante – de désir – jusqu’au plus profond de la peau d’Every qui adorait le contact de son derrière sur son amie et les mains de celle-ci la maintenant bien collée contre elle. Après son gémissement, les mains baladeuses avaient voyagé sur la grande mappe à découvrir qu’était le corps mince et bronzé de l’hawaïenne. Alors que se seins étaient caressés, palpés bien que la sensation fut diminuée par son soutien-gorge et le tissu de son vêtement. Tout en continuant son mouvement de bassin, Every leva les yeux au-dessus de sa tête, comme pour montrer à Joanna qu’elle avait accès à tout. Tout ce qu’elle voulait bien découvrir, et explorer. Every, déjà excitée – la nouveauté et cette appréhension qui durait depuis son adolescence – ne pouvait s’empêcher d’espérer que Joanna la prenne sauvagement, rapidement. Mais elle préférait y aller lentement, sensuellement. C’était comme une torture, une torture extrêmement agréable, certes. Sous son sous-vêtement de dentelle, la brune pouvait sentir ses tétons durcis qui réclamaient qu’on joue d’avantage avec eux. C’est pourquoi la jeune femme ressentit un soupçon de déception, étant encore affamée de ces caresses, quand les mains de Joanna continuaient leur chemin, montant cette fois à son cou, puis jusqu’à ses lèvres charnues. Combattant l’envie de jouer avec ses doigts qui la taquinait en les suçant ou, du moins, les léchant, Every souhait laisser cette impression de soumission à Joanna, comme si elle s’offrait à elle littéralement sur un plateau d’argent. Sentant la main baladeuse retourner à son point de départ – soit son bas-ventre – Every sentit une vague de chaleur la happer quand son amie glissa sa main brûlante sur son vêtement se donnant ainsi accès à des endroits plus intéressants. Ses mains redécouvraient sa poitrine, éventuellement sous son soutien-gorge. Caressant lentement et sensuellement ses tétons qui à force d’être sollicités et excités, complètement tendus et durs, étaient presque douloureux. La brunette pouvait sentir son clitoris frétillant, impatient d’être à son tour le centre de l’attention. Joanna cessa tout contact et se positionna devant elle, face à face. La tension augmentait considérablement alors que leurs visages d’anges se rapprochaient. Enfin, leurs lèvres allaient se rencontrer. Sans hésitation, Every accepta la langue de Joanna qui demandait à pénétrer dans sa bouche, voulant continuer l’exploration du corps de la danseuse, dans ses moindres coins. Le goût que lui laissait Joanna en bouche rendait Every folle, assoiffée. Elle en voulait plus, elle voulait gouter à plus, à tout. Alors que les lèvres et la langue de la rentière couvrait maintenant le cou d’Every, l’envoyant dans un endroit qui ressemblai au paradis – bien qu’elle était au courant que le meilleur était encore à venir. Les mains d’Every étaient sagement posées sur le haut des fesses de Joanna, les laissant glisser plus bas, jusqu’à son cuisse. Jusqu’à la fin de sa robe, puis ses doigts s’aventuraient sous, caressant les cuisses et le derrière de sa complice. Elle répondit à son murmure;

« C’est mieux que dans n’importe quel de mes fantasmes … »

Guidée vers le canapé, Every s’y assied. Suivie de la New Yorkaise. Un second baiser fut échangé, plus passionné, plus chaud alors que le corps de son ami était pressé contre le sien. Every pouvait sentir les tétons en érection de son amie à travers le tissu de son robe sur sa peau, ce qui l’excitait énormément. Sa bouche était complètement ouverte à Joanna, sa langue voyageant aux côtés de celle de cette dernière, se massant, se titillant. A bout de souffle, elles interrompirent le baiser et alors qu’Every se demandait qu’est-ce que la riche rentière lui réservait pour la suite, elle répondit à son interrogation en posant sa main sur sa cuisse, vers l’intérieur. Remontant sensuellement jusqu’à être cachée, sous la jupe. Les caresses données par-dessus le tissu de dentelle de son string provoqua un bien-être dans le corps de celle qui était touchée. En un long soupire – en voulant désespérément plus – Every arqua son dos, ouvrant légèrement ses cuisses après chacun des mouvements de haut en bas de Joanna. La tête jetée vers l’arrière, la main d’Every trouvera à tâtons la poitrine lourde et ferme de son amie. Ce fut à son tour de glisser sa main sous le tissu de ses vêtements pour mieux la caresser et découvrir cette chaire qui l’avait hantée à plusieurs reprises dans les plus érotiques de ses rêves.

« Le meilleur moyen de résister à la tentation est d’y céder… » Répondit-elle, redressant sa tête et regardant directement dans les yeux de Joanna. Serrant de ses dents sa lèvre inférieure en réponse à la caresse sur son entrejambe et aussi à l’excitation qu’elle ressentait alors qu’elle pinçait gentiment le téton gauche de son amie. Quand la jeune femme de vingt-cinq ans glissa son doigt entre sa fente bien humide, Every ressentit un spasme – réaction à cette agréable surprise – lui parcourir le corps. Un long gémissement, presque rauque, lui échappa des lèvres quand elle sentit l’index de son amie s’insérer en elle. Maintenant, ses cuisses étaient ouvertes au maximum – quoi que limitées par sa jupe qui, trop moulante, l’empêchait de démontrait toute la souplesse qu’elle possédait -. Every fit lentement glisser une des bretelles de la robe de Joanna sur son épaule afin de dévoiler son sein. Elle le massait vigoureusement alors que Joanna s’occupait de son clitoris tout en ayant deux doigts qui exploraient ce qu’elle avait de plus intime. Every sentit d’avantage de son nectar s’accumuler dans sa région sensible alors qu’elle regardait Joanna lécher avec appétit ses doigts enduits de sa mouille. Excitée par ce qu’elle voyaiet et aussi par ce qu'elle s’était fait dire par Joanna, Every se pencha vers elle, saisissant ses deux doigts dans sa bouche, les suçant et les léchant sensuellement.

Après de longues secondes, Every se redressa et monta sa jupe par-dessus ses hanches, exposant ainsi son string humecté et s’offrant beaucoup plus de mobilité. Elle chevaucha Joanna, assise sur ses cuisses, ses jambes repliées de chaque côté des cuisses brûlantes de l’Américaine. Avec assurance, Every saisit une poignée de cheveux à la base de sa nuque et tirant gentiment sur eux, elle guida la tête de Joanna vers l’arrière afin de s’offrir une meilleure accessibilité sur son cou qu’elle lécha, suça, mordilla à sa guise, tandis que sa main libre s’occupa de faire glisser la seconde bretelle de sa robe exposant ainsi le deuxième sein parfait. S’amusant avec les lèvres de sa complice, Every les léchait du bout de sa langue, les effleuraient du bout de ses doigts, les mordillant avec ses dents ou bien l’entraînant dans un baiser fougueux. Réclamant une interaction plus intense, Every guida la belle jusqu’à ce qu’elle fut couchée sur le dos sur le canapé. Sa cuisse étant collée contre l’entrejambe de Joanna, elle sentit qu’elle commençait également à être bien humide. Excitée, la danseuse de pencha vers la généreuse poitrine qui pointait en sa direction. Elle attrapa de sa bouche le mamelon gauche, le léchant, tournant sa langue autour du bouton rosé avant de le mordiller très gentiment ne voulant pas occasionner de la douleur à son amie. Puis, elle passa à l’autre sein, lui réservant le même traitement. Pendant qu’elle s’afférait, les mains d’Every s’occupaient de remonter la courte robe de Joanna afin d’avoir une vue de choix sur le sous-vêtement déjà mouillé. La danseuse recula sur la canapé, lentement, jusqu'à ce que son visage soit au niveau de la chatte de la New Yorkaise. De ses doigts, elle vint caresser légèrement, laissant assurément une frustration chez la touchée, la fente humide par-dessus son sous-vêtement – comme Every avait vécu plus tôt. Puis, elle remplaça ses doigts par sa langue, sa salive se mêlait alors dans le tissu à la mouille de Joanna.

« Je veux te goûter, t’avoir en bouche… » Déclara-t-elle, d’une voix rauque, complètement excitée par les événements et aussi par le rush de la cocaïne qui était en elle. Elle commença à faire glisser le string de la belle le long de ses cuisses, juste assez pour lui dégager ce qui l’intéressait avant de fourrer sa langue entre ses lèvres. Taquinant ainsi celle qui l’initiait à sa bisexualité. Elle frôlait du bout de sa langue son clitoris, la taquinant. Elle voulait la torturer, qu’elle la supplie presque pour en avoir d’avantage.
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