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 Je viens vendre mon calendrier...ou pas (pv)

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MessageSujet: Je viens vendre mon calendrier...ou pas (pv)   Je viens vendre mon calendrier...ou pas (pv) EmptyDim 12 Sep - 0:06

Art avait fait la connaissance d'une belle bourgeoise qui vivait de ses rentes, et qui avait donc tout le temps pour profiter des partys diverses et variées, ainsi que du sexe le plus torride. Il n'était pas rare qu'ils s'appellent pour profiter ensemble de ces deux éléments. Cette nuit là n'était donc pas différente des autres, à la différence qu'en rentrant de soirée, ils s'étaient installés confortablement sur un canapé, à boire des coupes de champagne jusqu'à en perdre la tête. Le pompier portait un costume noire et une chemise bordeaux, qui était largement ouverte sur le haut, laissant voir son torse musclé tandis qu'il riait avec Joanna à propose de tout et de rien, inexplicablement prit de fou rire dû à l'alcool. Ils trinquaient, leurs doigts se frôlaient, leur peau se mêlait furtivement et la chaleur montait un peu plus à chaque instant.

Tu sais que je commence à avoir envie de toi...

Il laissait planer dans ses paroles un souffle chaud et enivrant, de sa voix qui l’était tout autant. Plus il restait à son contact, et plus le désir venait lui nouer les reins. Une envie qui ne cessait de grandir, et qui semblait vouloir faire grandir une autre partie de son être. Il vint à sa rencontre, passant sa main autour de la taille de la rentière, sans lui demander son avis d’une demande muette du regard. Il prenait possession des lieux comme elle l’y avait invité, et venait de faire entrer le loup dans la bergerie. Quelque chose lui disait qu’elle n’en serait guère effrayée ou offusquée, bien au contraire.

Il laissa une main possessive garder entre ses griffes le morceaux de choix que représentait la riche jeune femme. Il voulait lui montrer qu’elle était à lui à présent, pour les heures à venir en tout cas, et elle semblait s’en accommoder fort bien. Il aimait beaucoup la sensation chaude et douce de son corps de femme, plein et entier, qui se mouvait avec féminité et un pas racé. Une vraie panthère qui ne demandait à être la possession d’au moins aussi félin et fougueux qu’elle. Il éprouva un tel plaisir avec ces légers contacts qu’il ne préférait pas imaginer ce que cela serait quand il prendrait son corps nu et offert. Chaque pièce de mobilier, ou chaque murs qu’ils rencontraient lui rappelait les choses qu'ils avaient pu faire ensemble.

Se rendant compte qu'ils venaient de finir une énième bouteille, il en prit une nouvelle. Il fit sauter le bouchon qui provoqua un bruit de détonation, prenant bien soin de ne pas diriger ce dernier vers son hôte. Il versa le liquide mousseux dans les flutes de cristal qui était devant lui. Il y avait évidement beaucoup d’ambivalence à voir une bouteille de champagne déverser son flot liquide et impétueux. Il offrit un joli sourire en coin à la belle blonde sulfureuse et leva son verre.

A cette soirée prometteuse!
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MessageSujet: Re: Je viens vendre mon calendrier...ou pas (pv)   Je viens vendre mon calendrier...ou pas (pv) EmptyDim 12 Sep - 0:48

Art...une rencontre bien particulière. Tout était partit d'un calendrier de pompier. Joanna n'était pas vraiment du genre à acheter ce genre de truc, elle n'était pas comme toutes ces femmes en manque qui tentent d'échapper à leurs affreux maris bedonnants en regardant des pompiers peu vêtus, voire même pas du tout vêtus. Pourtant, quand il avait voulu lui vendre son calendrier, Joanna avait cessé de jouer la pétasse bourgeoise qu'elle était pour...lui sauter dessus. Finalement, elle avait changé d'avis quant aux pompiers. Dès qu'elle en voyait un, elle ne pouvait s'empêcher de penser à Art et à toutes ces nuits fabuleuses qu'ils avaient passé ensemble.

La soirée commençait on ne peut plus bien. Joanna, hilare, buvait coupe de champagne sur coupe de champagne, en compagnie d'Art. Dans le canapé de velours rouge, la jeune femme ne cessait de vider les coupes, les une après les autres, avec une aisance déconcertante. Comme si elle avait fait cela toute sa vie. Et à vrai dire, ce n'était pas faux. Elle avait toujours été habituée au luxe, et elle buvait aussi facilement du champagne que certains buvaient de l'eau. Que voulez-vous, certains sont justes plus chanceux que d'autres. Joanna était d'un orgueil extrême, et profitait du pouvoir important que lui apportait son fric. Bref, elle ne cessait de rire en buvant, hoquetant de temps à autre. Son regard se concentrait sur Art, et elle n'avait plus qu'une envie : lui arracher ses vêtements, et lui sauter dessus. Mais, l'attente était on ne peut plus jouissive. Joanna n'aurait pour rien au monde gâché ce moment en agissant trop vite.

Ses cheveux torsadés étaient détachés et couraient sur ses épaules nues. Sa robe noire à bustier, ridiculement courte, laissait entrevoir sa plastique parfaite, ses cuisses fermes et ses seins généreux. Elle ne se rendait probablement pas compte du pouvoir d'attraction qu'elle pouvait avoir sur les hommes. C'était peut être ce qu'il y avait de plus charmant chez elle. Elle se contentait de rire à gorge déployée, en lançant des regards on ne peut plus pervers à Art. Alors qu'elle avalait une nouvelle coupe, il lui dit qu'il avait envie d'elle. Joanna arqua ses sourcils, l'air amusé, et lui répondit, de sa voix suave, en détachant distinctement chacune de ses syllabes pour le faire languir encore plus :

« Moi aussi....Mais enfin entre toi et le champagne, j'ai beaucoup de mal à choisir. »

Son petit rire cristallin retentit. Le genre de rire qui peut rendre fou n'importe quel homme. Joanna venait de dire cela pour l'embêter, évidemment. Elle était joueuse, délicieusement provocatrice. Enquiquiner les autres était un de ses passes temps favoris. Toutefois, pour se faire pardonner, elle déposa un léger baiser au creux de son cou, goûtant ainsi à sa peau tiède. Elle se retira aussitôt, consciente de l'effet produit par ce petit geste. Pas à pas, elle allait le faire craquer. Tandis qu'elle fermait les yeux, sentant l'alcool lui monter à la tête, la main d'Art glissa autour de sa taille. Joanna tenta tant bien que mal de se contrôler. En vain. Ce contact la rendait complètement folle. Elle regrettait d'avoir encore ses vêtements, à l'heure actuelle. La rentière aurait voulu sentir ses mains courir sur sa peau nue, en cet instant précis. Mais l'attente l'excitait encore plus. Elle bouillonnait de l'intérieur. Certes, elle était sacrément éméchée. Même sobre, Art lui aurait fait le même effet. Son coeur s'affolait, sa respiration s'accélérait, petit à petit. Dans son orgueil, elle ne laissa rien transparaître.

Et puis une autre bouteille de champagne fut ouverte. Un sourire apparu sur le visage de Joanna. En ce instant précis, elle se sentait heureuse. Voilà un mot qu'elle avait perdu de vue depuis si longtemps. L'alcool et la compagnie d'Art aidant, elle oubliait tous ses éventuels tracas pour se concentrer uniquement sur cette belle soirée (ou plutôt nuit) en perspective. Joanna leva donc son verre en même temps que son amant, puis les deux verres de cristal tintèrent ensemble. D'un seul coup, la belle avala le liquide hors de prix. Elle posa son verre sur la table basse, puis son regard se concentra sur Art. Qu'est ce qu'il était beau ce soir. Joanna fondit sur lui tel un animal sauvage, appuyant tout son corps contre le sien. Ce contact ne la laissa évidemment pas de marbre. Doucement, elle approcha ses lèvres de son oreille, et vint lui susurrer ces mots :

« Monsieur le pompier, I'm on fire

Son petit rire retentit de nouveau. Les doigts de Joanna vinrent glisser dans le cou d'Art, puis sur le haut de son torse. Tandis qu'elle s'amusait à le toucher de la sorte, elle déclara, d'un air faussement innocent dont elle seule avait le secret :

« Je suis bien déçue monsieur. Sur le calendrier, vous n'étiez pas comme ça du tout. J'espère avoir droit à une petite compensation. »

Joanna devenait de plus en plus perverse, l'alcool aidant. Et cela n'allait pas déplaire à son cher partenaire. Tandis que sa main gauche effleurait doucement son torse, sa main droite vint presser son entrejambe, pour finalement remonter le long de son ventre. Joanna avait pu sentir l'ampleur de l'excitation d'Art en tâtant son entrejambe, puis son corps d'athlète en touchant ses abdominaux, encore cachés par sa chemise. Finalement, sa main vint se placer sur son menton. Le tenant ainsi à sa merci, la belle se pencha légèrement pour venir poser ses lèvres encore mouillées par le champagne sur les siennes. Finalement, sa bouche lippue emprisonna sa lèvre inférieure. Quand le baiser fut fini, Joanna revint à la charge. Sa langue pénétra cette fois-ci entre les lèvres d'Art. Leurs deux langues se caressèrent longuement, procurant un léger goût de champagne loin d'être déplaisant. Leurs lèvres se détachèrent de nouveau, et Joanna dû se contenir tant bien que mal pour ne pas aller plus loin. Elle ne voulait pas toujours maîtriser la situation. Art avait aussi le droit de prendre les rênes.
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MessageSujet: Re: Je viens vendre mon calendrier...ou pas (pv)   Je viens vendre mon calendrier...ou pas (pv) EmptyDim 12 Sep - 1:12

Joanna était toujours aussi désirable dans sa robe si courte et qui la moulait si bien.

Pourquoi choisir quand tu peux avoir les deux à la fois?

Murmura t-il à son, oreille, tandis qu'il trempa un doigt dans son verre, et laissa une goutte glisser entre les seins de la jeune rentière. Il regarda cette goutte qui s’engouffrait par un sentier sinueux qui le rendit jaloux. L’espace d’un instant il s’imaginait en train de parcourir le même trajet, mais de sa langue tendue. Son décolleté était vraiment très ample, mais Art voulait en voir plus. Il voulait voir ces vallées qui se dressaient fièrement et qui auraient pu donner des complexes à bien d'autres femmes. Son regard fixa cette goutte qui s’écoulait le long d’un rivage impétueux et doux comme une rivière entre deux val. Il ne cachait même pas l’objet de son observation vu leurs rapports.

Je pense que je vais pouvoir arranger cela...c'est mon métier après tout d'éteindre le feu, même si après mûre réflexion, je pense faire le contraire et souffler sur les braises.

Le ballet de geste et de caresses que menait Joanna à son égard le grisait de plus en plus, et son corps frémit sous ses attentions, tandis que sa queue devenait plus dure et plus longue à chaque instant qui passait. Il eut un léger rire quand elle parla de modèle non conforme. Il adorait la sentir collé contre lui, tandis qu'il pouvait gouté à des baisers mélés de champagne.

Il fallait lire la toute petite ligne à la dernière page du calendrier. Mais je pense qu'on aura pas besoin d'échanger le modèle si?

Cette dernière provocation qu’elle prononça fut celle de trop et savant très bien qu’il ne pouvait plus tenir, il décida de prendre l’initiative. Elle le trouverait peut-être brusque, mais cela était préférable à ce qu’elle se languisse trop longtemps au point de se lasser. De toute façon, cela ne lui déplaisait guère de reprendre les hostilités à son compte. Il se leva lentement, déposant sa flute vide sur la table basse, et se saisit de la bouteille de champagne. Il vint ensuite aux cotés de Joanna, et plaça la bouteille entre ses cuisses. la bouteille fraiche venait se coller contre les cuisses brulantes de la belle brune. Son pouce vint redessiner l’anneau du goulot de la bouteille et il le glissa ensuite entre les lèvres pulpeuses de l’excitante rentière. Sa main libre quand a elle était venue se poser dans le dos de celle-ci, pendant qu’il rapprochait son torse du sien. Il avait céder avant elle, certes, mais maintenant, il avait la main. Mains qui étaient bien occupées d’ailleurs.

Puis il se saisit de l bouteille et décida d'en verser un peu sur la gorge et les seins de la belle. Elle était toute de courbes, rondeurs, de luxure, de volupté, et tout cela créait une folie érotique qui le rendait fiévreux d’envie. L’ambroisie des capitalistes qui venait de se déverser sur la gorge et entre les seins de la belle bourgeoise, semblait renforcer l’attitude d’offrande, qui s’arrangeait à sa façon pour ne rien cacher de sa poitrine qui venait se dessiner un peu plus précisément car la robe était devenue encore un peu plus moulante en devenant humide. Le froid du champagne semblait saisir et transir les seins généreux de Joanna dont le galbe de la poitrine ne faisait que croitre encore un peu plus. Elle offrait sa poitrine à la tendresse du nectar de luxe, tandis que l’autre de ses seins goutait à la tiédeur du souffle du pompier dont les lèvres venaient épouser les courbes par-dessus le tissu humide.

Il n'avait qu'une envie, lui retirer sa robe et redécouvrir tout à fait cette poitrine qui s’offrait devant ses yeux, sans pour autant se livrer totalement. Les deux rotondités célestes l’appelaient, et il n’eut d’autre choix que de répondre à cette invitation muette. Il libéra donc les deux hémisphères d’amour, tout en laissant ses lèvres courir le long de sa gorge. Il donnait de légers baisers tantôt appuyés, tantôt suggérés. Il sourit en voyant les globes de nacre dénudés. Il saisit la bouteille un instant et laissa le champagne couler sur sa langue. Il lécha ensuite les seins de Joanna en la laissant frissonner sous l’effet pétillant que venait de prendre la langue du beau brun.



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MessageSujet: Re: Je viens vendre mon calendrier...ou pas (pv)   Je viens vendre mon calendrier...ou pas (pv) EmptyDim 12 Sep - 16:04

Toujours adossée contre le canapé, Joanna fermait les yeux quand Art lui dit qu'elle pourrait avoir les deux à la fois, à savoir lui et le champagne. A cette perspective, la belle fit un petit sourire en coin, délicieusement pervers. Les paupières toujours closes, elle sentit quelque chose couler entre ses seins. Du champagne. Joanna ouvrit aussitôt les yeux, et prolongea son regard son regard émeuraude dans celui d'Art. Elle adorait cette sensation. La goutte vint s'échouer sur son ventre, et la jeune femme regretta que son bel amant n'ait pas suivi le même chemin, de ses lèvres et de sa langue experte. Mais, elle savait bien qu'il finirait par le faire. Elle n'avait aucune inquiétude quant à la suite des événements.

« Tu sais comment allumer les demoiselles en tout cas...»

Dit-elle, avec son petit rire taquin. Et puis, elle avait plaisanté sur la fausse déception qu'elle avait. Art ne ressemblait pas à ce qu'elle avait vu sur le calendrier. Evidemment, tout ceci n'était que pure provocation. Joanna était loin de faire des éloges à tout va. Elle préférait taquiner les autres, et cela lui confiait un certain charme. Et puis, il lui avait posé une question. Aurait-elle besoin d'échanger le modèle ? Certainement que non. Pour avoir déjà eu Art dans son lit, elle n'éprouvait pas le besoin de le renvoyer. Elle se réjouissait toujours de leurs ébats à venir.

« Le modèle me convient tout à fait. Il est un peu trop habillé à mon goût en tout cas. »

Toujours sur lui, elle se pencha légèrement, pour venir mordre sa lèvre inférieure. Elle aimait exprimer son désir, ses sentiments, rien que par des petits gestes comme celui-ci. Et puis, Art se leva, pour poser sa coupe. L'excitation de Joanna était à son comble. Elle ne savait rien de ses attentions. C'est alors qu'il plaça la bouteille de champagne glacée entre les cuisses de la belle, qui ne put s'empêcher de frissonner à ce contact. Quoiqu'elle espérait frissonner plus tard, non pas au contact de la bouteille mais au contact de la langue d'Art sur sa peau. C'est alors qu'il plaça entre les lèvres charnues de Joanna, l'anneau du goulot de la bouteille. La jeune femme, pas mécontente d'être dirigée de la sorte, se laissa complètement faire. C'est alors qu'il versa le précieux nectar sur son cou, puis sur ses seins, toujours cachés par sa robe moulante. A ce nouveau contact, Joanna ferma les yeux, appréciant cette fraîcheur sur sa peau brûlante de désir. Sa robe, trempée de champagne, laissait entrevoir ses formes généreuses et ses tétons qui pointaient déjà. A cela vint s'ajouter le souffle tiède d'Art contre le tissus. Il la rendait complètement folle. Joanna n'avait plus qu'une envie : qu'il enlève cette fichue robe, et qu'il la touche enfin.

C'est ce qu'il fit. Ses seins lourds furent bientôt découverts. Aussitôt Art commença à presser ses lèvres contre sa peau, contre son cou, pour finalement descendre sur sa poitrine. A ce contact délicieux, Joanna ne pu s'empêcher de laisser échapper un petit soupir. Au toucher de sa langue habile sur ses seins se rajouta la fraîcheur du champagne que venait de verser Art. La belle poussa un nouveau soupir. Gaspiller de l'alcool ainsi lui semblait être tout à fait judicieux. Joanna posa alors sa main sur la tête d'Art, l'encourageant à continuer ses mouvements de langue. Il léchait ses seins comme personne. De profonds frissons parcouraient l'échine de la belle, sous les coups de langues experts de son amant. Son désir montait, montait de plus en plus. Ses reins en feu, une petite chaleur dans son bas ventre témoignaient de son envie. Mais, il la faisait languir. Et Joanna adorait cela. Elle aimait toucher et se faire toucher par ses partenaires avant d'aller plus loin. Le plaisir n'en était que plus grand.

Et puis, elle attrapa sa tête de ses deux mains, et la guida vers son téton droit, pour qu'il s'en empare, pour que la langue tournoie autour et le suce. Elle aimait ainsi garder un certain contrôle de la situation. Et puis, Joanna, tandis qu'Art s'occupait toujours de ses seins, fit un peu plus baisser sa robe. Elle glissa le long de ses cuisses que le champagne avait mouillé, puis le long de ses jambes interminables. Une fois à terre la robe trempée à terre, Joanna n'avait plus qu'un tanga de dentelle noire. Elle le fit glisser également. Voilà qu'elle était complètement nue, offrant son sexe qui avait aussi été atteint par le champagne, mais qui s'emplissait surtout d'un autre nectar bien plus précieux encore. Sans le faire remarquer tout de suite à Art, elle ouvrit les cuisses, pour laisser entrevoir son intimité ruisselante. Cette petite chatte qui n'avait besoin que du contact de la langue de son amant. Finalement, Joanna lui dit :

« Elle ne te fait pas envie ? »

Elle afficha un petit sourire de défi. A la fois elle contrôlait la situation, et à la fois Art pouvait faire ce qu'il voulait d'elle. C'était cette ambiguité que Joanna appréciait tout particulièrement. De sa main libre, elle dessina le contour de sa petite chatte humide, faisant croire à Art qu'elle finirait par se donner du plaisir à elle-même si il ne s'occupait pas un peu d'elle. Elle le provoquait de nouveau. Son doigt glissa le long de sa fente, de plus en plus humide. Art allait-il de nouveau craquer ?
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MessageSujet: Re: Je viens vendre mon calendrier...ou pas (pv)   Je viens vendre mon calendrier...ou pas (pv) EmptyDim 12 Sep - 16:39

Art n’écoutait pas ce qu’elle disait, ou plutôt, son esprit semblait plus concentré sur cette belle et opulente poitrine qui semblait n’attendre que ses lèvres ou sa langue. Les sons lui arrivaient, mais il attendit un moment avant de pouvoir en comprendre le sens. Joanna était une femme qui savait mettre en valeur son corps, et elle savait parfaitement l’effet qu’elle faisait aux hommes. Il sentit qu'elle voulait qu'il s'occupe de ses seins, et d'un en particulier. Il s'exécuta, allant se coller contre son corps de plus en plus près. Le pompier aimait voir le tissu de la robe venir mouler un peu plus encore le corps superbe de la sulfureuse rentière. Ses lèvres vinrent provoquer ses tétons déjà bien tendus, venant y donner des coups de langue provocateur, prenant parfois même ceux-ci entre ses lèvres et les faisant rouler entre elles. Il prenait possession du corps de la belle dans une douce torpeur. Il écoutait la réaction du corps de Joanna, à l’affut du moindre souffle, de la moindre cambrure de rein. Ses lèvres se faisaient un peu plus aventureuses, cherchant les failles dans l’armure, les points qui la ferait plier. Quand sa bouche s’occupait d’un de ses seins, sa main venait s’occuper de l’autre pour ne pas les laisser inégaux. Il eut un large sourire quand il la vit retirer un a un le peu de vêtement qu'elle portait.

Nue, et offerte, il lui sourit avant de plonger le visage entre ses seins. Ainsi cambrée, il ne pouvait que se servir et avec une gourmandise toute masculine, il dévora ses seins en les prenant en bouche. Il les lui lécha en n’épargnant aucune parcelle de peau. Sa langue donnait de grands coups, et à chaque passage, il prenait soin d’appuyer du bout de sa langue sur les mamelons et les pointes tendues de désir. Il soupirait de plaisir mais les étouffait son souffle contre ses seins, réchauffant sa poitrine un peu fraiche et qui devint vite brulante. Son corps musclé frissonna au contact de sa peau et il poussa un soupir rauque d’aise.

Elle lui indiquait la direction de son antre et elle savait comment s'y prendre pour lui donner envie de la satisfaire. Voir le ballet érotique de ses doigts qui redessinnait sa petite chatte l'excitait beaucoup. Mais il voulait la provoquer à son tour. La faire languir. Il passa sa main libre dans son dos maintenant nu, pour qu’elle se couche sur le canapé. La position était maintenant bien plus agréable et alors qu’elle était allongée sur le dos, il était encore assis sur le coté. Il eut un sourire coquin et plutôt que de venir la rejoindre, il laissa ses doigts venir parcourir le ventre de Joanna.

Son sourire devint un peu plus coquin, et il fit passer les jambes chaudes de Joanna par-dessus ses cuisses à lui, la laissant sentir la chaleur de son corps, et la laissant faire à sa guise avec le bas de son corps, mais le haut lui appartenait et il tourna le buste pour venir lui caresser le corps. Ses mains allaient de ses hanches, jusqu’à ses seins, en passant par ses épaules et son ventre. Il ne cessait de lui caresser chaque parcelle de peau tout en la regardant droit dans les yeux. Il ne la laissait pas s’habituer a ses caresses, ne prenant jamais le même chemin, ses mains se faisant parfois plus avides et parfois plus douces. Dès qu’elle voulait se relever, doucement, il appuyait sur ses épaules pour qu’elle reste ainsi couchée et lui assis. Elle aurait droit à ses baisers, mais pas tout de suite. Il la regardait maintenant pendant qu’il la caressait, souriant en voyant son corps trembler sous certaines caresses plus coquines. Par moment, il laissait ses deux mains venir caresser la nuque de la jolie rentière, faisant pour ensuite venir son visage entre ses doigts et il vint l’embrasser langoureusement. Puis il reprenait sa position assise, la privant de ses lèvres de nouveau.

Ses doigts montèrent et descendirent sur ses cuisses pendant qu’il laissait une main libre venir lui caresser les fesses. Il se rapprocha doucement de son sexe, le frôla. Il continua de la caresser, et passa ses doigts entre ses cuisses. Il toucha ses lèvres, les écarta et eut un sourire de satisfaction lorsqu'il se rend compte qu’elle était moite. Ses caresses étaient douces, et lentes. Il posa alors juste son index sur son bouton sensible et ne bougea plus pendant quelques secondes, la laissant là dans l’expectative quelques instants, puis par torture sensuelle.

Si...mais attends une petite minute...

Murmura t-il de sa voix un peu plus suave encore. Puis il retira sa chemise, puis sa cravate, et se servit de cette dernière, la nouant autour des yeux de la belle, lu privant de la vue par ce fin tissu. Il prit ensuite la bouteille de champagne et parcouru le corps de Joanna avec, laissant le froid du verre venir éprouver la chaleur de son corps. Il prit bien soin de laisser la bouteille pendant un certains temps entre les cuisses chaudes de la jolie jeune femme, pour que son intimité vienne se transir sous cette douche écossaise bien érotique. Et lentement, il glissa son visage entre les cuisses de Joanna. Il commença par déposer des baisers de plus en plus appuyés sur l'intérieur de ses cuisses, se rapprochant dangereusement de son sexe. Là, il embrassa sa petite chatte de baiser plus ou moins appuyés, avant de commencer à souffler dessus. Il vint agripper ses fesses pour que son bassin ne s'échappe pas de ses caresses et il commença à redessiner des lèvres du pointu de la langue, donnant parfois un petit coup du plat de la langue contre son clitoris.
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MessageSujet: Re: Je viens vendre mon calendrier...ou pas (pv)   Je viens vendre mon calendrier...ou pas (pv) EmptyMar 14 Sep - 22:20

Les seins lourds de Joanna n'étaient pas privés des caresses et autres coups de langues de son amant. Il léchait goulument ses mamelons de sa langue habile. Ses tétons pointaient plus que jamais. Joanna ne rechignait pas à montrer son plaisir. De longs soupirs sortaient de sa bouche. Sans relâche, Art se délectait de cette poitrine offerte. Il les touchait aussi des ses mains, quand il en léchait un. Joanna était ravie de ces touchers et autres caresses.

Une fois qu'Art se fut divinement occupé bien de ses seins, Joanna avait voulu qu'il passe à autre chose. Qu'il caresse sa petite chatte déjà bien mouillée. Ainsi, il l'avait faite s'allonger sur le canapé, sur le dos. Au lieu d'obéir à ses désirs, il caressa son corps nu. Joanna ferma les yeux. Ses caresses étaient particulièrement agréables. Sentir sa main sur ses seins, son cou, son ventre. De longs frissons la parcourait. Sentir son corps contre le sien était aussi une sensation délicieuse. Elle regrettait qu'il soit encore si habillé. Elle aurait pu sentir l'effet de ses caresses, de la vue de son corps sur sa queue. Il la faisait languir, et il le faisait bien. Joanna avait des désirs, elle aimait contrôler la situation, mais l'attitude d'Art ne la gênait pas. Il prenait les choses en main, et c'était tout aussi bien. L'important était de ne pas tomber dans la domination complète de l'un sur l'autre, Joanna aimait mieux une certaine alternance en la matière. Bref, sous les caresses que prodiguaient ses mains tièdes, Joanna poussa quelques petits soupirs, ferma les yeux de temps à autre. Son intimité devenait de plus en plus humide, mais la brunette n'y touchait plus. Art allait s'en charger, tôt ou tard. Et puis, leurs lèvres se joignirent, leurs langues se mêlèrent, le goût divin du champagne aussi. Et puis, Joanna retourna dans sa position de départ. Quand elle tentait de se lever pour l'embrasser de nouveau, il la maintenait sur le canapé. Ce contrôle ne lui déplaisait pas, à vrai dire. Art savait s'y prendre, Joanna lui faisait confiance.

Et puis, les mains d'Art se firent plus aventureuses, touchant les fesses de la belle, puis frôlant son sexe humide. Elle ferma les yeux, et poussa un petit soupir de plaisir. Alors, ses mains habiles écartèrent ses lèvres. Joanna sentait bien que sa petite chatte était déjà humide. Et puis, son doigt se posa sur son clito. Joanna attendait qu'il aille plus loin, qu'il la doigte le plus profondément possible, qu'il fasse tournoyer ses doigts en elle. Mais non, il la faisait languir. Il était terriblement doué pour cela. Joanna avait vraiment un amant à sa hauteur en la personne d'Art. Elle ne pu s'empêcher de pousser un petit plaisir en sentant son doigt sur son clito, mais il s'arrêta. Il lui dit d'attendre. Joanna n'avait pas d'autre choix que de le faire. Sa respiration s'accentuait, sa poitrine montait et descendait en rythme. Son excitation augmentait de plus en plus. Elle n'avait qu'une envie : qu'il la baise, toute la nuit. Mais avant cela, il y a avait des préliminaires à faire. Et Joanna aimait qu'on s'occupe d'elle avant de passer aux choses sérieuses. Et peut être pourrait elle s'occuper d'Art à son tour. Tandis qu'elle imaginait la suite de la soirée, un sourire incroyablement pervers aux lèvres, son bel amant retira sa chemise, montrant ainsi sa musculature parfaite. Puis la bouteille fraîche de champagne, tenue par Art, glissa le long de son corps. Ce contact décrocha un nouveau soupir à Joanna. Puis, il la plaça entre ses cuisses. De longs frissons la parcouraient, de nouveau. Et puis, il sa retira, pour commencer à déposer des baisers près de son sexe, puis sur sa petite chatte. Joanna poussa un long soupir, presque un gémissement. Ce contact était délicieux. Et puis, sa langue lécha son clitoris. Joanna poussa un nouveau gémissement. Ce point était évidemment extrêmement sensible chez elle. Son clitoris gonflait déjà sous la langue experte d'Art, tandis que son nectar se faisait de plus en plus abondant dans son intimité. Elle posa ses mains sur la tête d'Art pour l'inciter à aller plus loin. Pour qu'il fouille ses entrailles de sa langue. Ce début de cunni était plus que réussi. Joanna avait hâte de sentir de plus grands coups de langue dans sa petite chatte. Une fois qu'elle serait ruisselante, peut être pourraient ils passer aux "choses sérieuses". Joanna avait envie de sentir Art en elle. Qu'il la pénètre sauvagement, contre ce canapé de velours. Mais, elle tentait tant bien que mal de patienter. De se contrôler. Ses pressions sur sa tête se firent plus appuyées.

« Plus loin...»

gémit-elle, espérant qu'il écoute sa requête et que sa langue s'enfonce profondément en elle.


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MessageSujet: Re: Je viens vendre mon calendrier...ou pas (pv)   Je viens vendre mon calendrier...ou pas (pv) EmptyMer 15 Sep - 10:52

Ses lèvres vinrent alors embrasser avec la même expertise, d'abord les portes de son antre puis avec plus de précision, laissant sa langue venir la caresser et s'activer sur chacune des lèvres de son sexe, s'insérant lentement pour y poursuivre ces mouvements à l'intérieur et la combler d'un plaisir différent mais dans lequel il s'appliquait tout autant et dont il semblait se délecter avec la même force...

Hummmmmm...

Put-il à peine exprimer dans un apparent petit rugissement contenu, donnant plus d'activité et de vitesse à sa langue frétillante en elle, et faisant remuer sa tête encerclée par les frissons de ces cuisses...

Revenant trouver le goût de ces lèvres, il laissa ces baisers parcourir la volupté de son corps avec une cible bien précise en tête qu'il finit par atteindre au bout de son parcours sensuel le long de silhouette. Lorsqu'il atteint enfin sa petite chatte, délaissée quelques instants plus tôt, il revint combler sa petite chatte de l'adresse de ces lèvres, puis bientôt de sa langue, jointe à ce baiser intime venant occuper l'antre de son vagin pour s'y agiter avec peu à peu plus de langueur. Il lui sembla alors atteindre son but en la sentant doucement monter, prendre un plaisir intense et dû même venir envelopper de ces mains chacune de ces cuisses entourant sa tête pour maitriser la cambrure qu'elle prenait et conserver la précision du frémissement de sa langue en elle. Ses coups de langue étaient bien plus larges à présent, tandis qu'il enfonçait celle-ci entre ses cuisses, se délectant de sa cyprine au passage. Pendant qu'il léchait les plis et replis de sa petite chatte, il laissa un doigt glisser en elle, rapidement rejoint par un second tellement elle était humide. Ils pénétrèrent profondément dans la petite chatte de Joanna. Il poussa même le vice jusqu'à croiser ses doigts en elle pour lui donner encore plus de sensation.

Luxure et champagne, quel cocktail délicat. Il ne verrait certainement plus le luxueux liquide pétillant de la même façon dorénavant. Après avoir bu une nouvelle fois à la bouteille, il prit la bouteille qui était à présent vidée, et il laissa celle-ci glisser dans le dos de Joanna Le froid venait mordre la chair ardente de son amante et il la sentit se presser plus fermement contre lui. Le sexe du pompier était au plus dur et au plus haut. Lentement, il laissa le goulot de la bouteille venir glisser le long de la fente intime de son amante. Il engourdissait le plaisir et le sexe de cette belle rentière, et quand elle semblait s’habituer enfin au froid qu’il lui imposait, il fit glisser le goulot entre les lèvres intimes de celle-ci. Il souhaitait voir sur son doux visage, les émotions qui la traversait, à mesure que la bouteille s’enfonçait entre les cuisses de Joanna. Il n’avait fait preuve d’aucune douceur cette fois-ci et avait introduit en elle, ce dard de verre avec fougue et puissance, laissant une main libre venir saisir un des glaçons du sceau à glace. Il le pressa ensuite le cube de glace contre l’un des tétons de la belle riche, voulant qu’elle subisse une désirable étreinte de glace. Il commença à imprimer des mouvements de va et viens en elle avec le bout de la bouteille.

Sa main libre se fit joueuse et parcourut à l’envie les cuisses brulantes de la jeune femme . Un de ses doigts venait doucement se glisser entre les fesses exquises de la beauté de son amante, et il redessina en douceur, mais avec fermeté l’étoile plissée qui était cachée de sa vue. Lentement, son doigt tournait, redessinant le pourtour de cette auréole nervurée. Se faisant supplice, il redessina le chemin court et langoureux que formait la peau qui se trouvait entre les deux entrées de plaisir de la femme qui lui faisait face. Ce petit pont de chair extrêmement doux et sensible, il le tortura de caresses pressantes. Il remplaça la seule caresse de son doigt, par un glaçon, venant redescendre à l’étoile plissée, qu’il finit par pénétrer de cette glace inquisitrice. Une fois le glace fondue, Il laissa les frissons de Joanna s’éteindre pour les faire renaitre, mais de la douce pénétration de son doigt à présent. Il fit quelques va et vient lent entre ses fesses, puis retira le doigt gourmand et la bouteille de champagne. Il enfonça enfin son gland gonflé et turgescent entre les cuisses de la superbe Joanna, poussant un cri très rauque à cette entrée virile en elle. Là, il commença ses coups de reins, qui devenaient de plus en plus rapidement, de vrais coups de butoir.
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