Affaire mafieuse (libre pour personne aimant le danger !)

Serguei s'était vu confié une mission. Simple mais qui devait être règlé au plus vite. Il devait passer au sex shop pour encaisser le pourcentage que le vendeur devait payer pour sa protection. Cependant les Italiens était dèja dans le coup. Il était avec deux de ses hommes et le chien de garde du patron, un certain Boris Rashkof, une tête brulé qui agissait avant de penser, quand il le pouvait. Il aurait préféré agir seul comme d'habitude mais il devait obéir aux ordres. Ils arrivèrent bientôt devant le magasin. la voiture s'arrêta et serguei, boris et ses deux gardes du corps en descendirent. Les deux gardes du corps se mirent devant l'entrée pour surveiller et serguei et boris entrèrent.

- Bonsoir monsieur puis je vous aider.

Boris s'approcha alors du vendeur.

- C'est toi le patron ?

- Euh oui pourquoi ?

Il sortit alors son glock et le pointa sur la tempe du gérant.

- Alors tu vas nous filer ce que tu dois a l'Organizatsyia pour ta protection ou il va t'arriver des malheurs.

Serguei intervint alors, calmant l'homme au sang chaud et en baissant son arme.

- Du calme Boris, range moi ça veut tu, comportons nous en homme civilisé. Excusez moi monsieur mais comme l'a indiqué mon ami il vous faut payer votre dû.

L'homme tout tremblant peinait a trouver ses mots.

- Mais je paye deja les italiens.

- Ne vous inquiétez pas pour ça, nous savons que vous leur donnez 20 % par mois, nous nous contenterons de seulement 15 % et nous nous occupons des italiens qui vous font payer, croyez moi ils ne viendront plus. En plus nous contrôlons tous les stocks d'armes de la côte vos n'avez pas a vous faire de soucis.

Soudain Serguei entendit un bruit dans l'une des cabines. Il se rapprocha en silence de la cabine en question et ouvrit le rideau...

Serguei fut agréablement surpris de trouver une ravissante jeune femme en petite tenue derrière le rideau. Il la contempla de haut en bas. Puis il la saisit par le bras et la sortit de la cabine.

- He bien he bien qu'avons nous la, une ravissante créature en aussi jolie tenue, n'est ce pas mignon. puis je savoir ce que vous faites ici mademoiselle, ce n'est pas bien d'espionner les gens.

Boris s'approcha alors et sortit un couteau de survie et le plaça sous la gorge de la jeune femme. Puis il mit son autre main sur son postérieur et caressa ses fesses avant de passer sa langue dans son cou.

-ha ha ha elle ferait une parfaite tapineuse celle la, elle pourrait nous rapporter gros. Ou alors on l'égorge sur place ?

- Du calme Boris, on ne tue pas les gens pour un oui ou pour non, mais il est vrai mademoiselle que maintenant vous êtes au courant de notre petite affaire et vous connaissez nos noms, nous ne pouvons pas laisser de témoins aussi génants en vie.

Serguei écarta le couteau de la gorge de la jeune femme et la regarda dans les yeux en lui faisant lever la tête la main sous son menton.

- Qu'allons nous pouvoir faire de vous mademoiselle ?

La jeune femme répondit qu'elle essayait une tenue. Serguei souria en entendant cette réponse.

- Oui je vois cela, une tenue ravissante qui vous va a ravir, mademoiselle.

Puis la jeune femme ne sachant trop comment se sortir de ce guépier lui dit qu'elle ne dirait rien de ce qu'elle avait vu, même si sa ne servait pas a grand chose. Ce n'était pas avec sa que Serguei la laisserait partir. Il avait appris a être prudent, méfiant même un rien parano, mais c'était surement ce qui avait fait qu'il était encore en vie aujourd'hui.

- C'est sur que ce n'est pas un endroit très fréquentable, on peut faire plus poétique pour mourrir. Mais la décision ne vous revient pas pour l'instant c'est moi qui est les cartes en mains et qui doit décider si je vous laisse en vie ou non.

Elle chercha alors une idée pour les convaincre. Elle leur dit alors qu'elle pourrait peut être les aidait à obtenir l'argent. Cela fit rire Serguei.

- Vous ? C'est un milieu dangereux vous savez, je me demande bien comment. certains commerçants n'hésitent pas à engager des truands pour leurs venir en aides en cas de coup dur. Que ferez vous alors face à quatre ou cinq gangsters armés ? mais peut être pourrions nous trouver un autre compromis.

En disant cela il regarda la jeune femme d'un air interessé.

(hrp : désolé du retard)

la jeune femme rougeit en entendant le compliment de Serguei. Cela le fit sourire, il avait deja une idée derrière la tête. Il voulait bien la laissait partir, mais à une seule condition. Elle n'avait pas le choix et il fallait qu'elle s'y plit si elle désirait partir en vie. Elle semblait malgré tout savoir de quoi il s'agissait, même si Serguei ne lui avait pas dit, cela se voyait dans ses yeux.

Elle s'approcha de lui et colla ses fesses contre son son entre jambe en ondulant son bassin pour se frottait a lui. Serguei plaqua ses mains sur ses cuisses et caressa les jambes galbés de la jeune femme en sous vêtements, avant de remonter jusqu'a ses fesses. Puis il l'empoigna par le menton et il l'embrassa. sa bouche avait un petit goût fruité bien agréable.

- Allons faire sa ailleurs, allons dans ma voiture.

Serguei parla alors en russe a Boris, celui çi ne semblait pas content mais aprés que Serguei l'ai réprimandé il se ravisa et obéit a ses ordres.
Ils sortirent du sex shop, aprés que Serguei ait indiqué au gérant de ne pas oublier de leur verser prochainement l'argent qu'il leurs devait. Puis il invita la demoiselle a prendre place dans la voiture. il indiqua a son chauffeur ou il désirait aller.

- Bien je suppose que tu sais quel est ma condition ?

Il posa une main sur sa cuisse et la remonta.

Alors que Serguei commençait a remonter sa main vers le haut de ses cuisses, elle ne se laissa pas prier et s'assit a califourchon sur le slave avant de commençer à l'embrasser. Puis elle en profita pour glisser ses mains en dessous de sa chemise pour caresser son torse. Il fut tout d'abord surpris qu'elle prenne tout de suite des initiatives. Mais cela ne fit qu'accentuer son désir pour la jeune femme. Il la laissa faire.

- He bien je vois que tu as parfaitement compris.

Il commença à caresser ses cuisses aux courbes fines et gracieuses. Il enleva sa veste de costume et dessera sa cravate, puis il l'embrassa dans le cou et la mordilla, tout en descendant vers son buste. la il enleva les bretelles du soutien gorge et le baissa pour laisser apparaitre ses seins. Il lécha ses tétons et caressa ses seins, son corps et ses fesses. il commençait avoir une érection.