Retrouvailles (pv)

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Art venait d'être promu chef d'équipe parmi les pompiers. C'était une grande responsabilité, mais il avait travaillé dur pour en arriver là. Et puis il était bien content de ce changement dans sa vie. Lui qui trouvait qu'il stagnait, pouvait enfin voir de l'avant. En plus il avait un meilleur salaire et ses primes étaient plus importantes. Épanoui dans sa vie professionnelle, niveau sentimental ce n'était pas tellement ça. Mais il ne se laissait pas abattre, et à vrai dire, sortir tous les soirs avec une fille différente, cela ne le lassait pas encore. Mais il devait avouer que certains soirs, il aurait bien voulut tomber sur Phoenix. Il était parfois passé devant la boite de strip où elle se produisait, mais n'était encore jamais rentré à l'intérieur. Il faudrait qu'il le fasse un de ces quatre. Qui sait, un jour peut-être qu'elle se mettrait avec une consœur et qu'elles s'occuperaient de lui. C'était une idée excitante. Puis il revint à la réalité et regarda les diverses lettres de son courier. Il n'y avait que des factures. Il grinça des dents, et alla s'installer sur son canapé. Il était pas loin de midi et il avait la journée de libre. C'était une occasion rare, surtout ces derniers temps puisque la température avait été chaude durant de nombreux jours, provoquants quelques incendies. Il avait beau conseiller aux proprio de faire tailler les haies de leur jardin, certains n'écoutaient jamais avant qu'il ne soit trop tard. Les compagnies d'assurances s'en frottaient les mains, elles.
Cela faisait à peu près deux mois qu'il n'avait plus revu la belle Phoenix. Il avait parfois voulut l'appeler, mais finalement il s'était abstenu. Il savait qu'elle avait un homme et qu'elle voulait passer du temps avec lui, alors il l'avait laissée tranquille. Cependant, plus le temps passait, et plus il avait de la revoir. Voir si elle n'avait pas changée. Que ce soit dans son tempérament ou au lit.

Il prit son téléphone et composa le numéro de Luxuria. Il se souvenait encore de son beau petit cul et de cette soirée torride qui s'était finie par un plan à trois. La belle était une sacrée gourmande et d'une endurance sans faille. Et il était loin de s'en plaindre. Les femmes comme elles, il n'en avait pas rencontré souvent avant, et même depuis lors.

Phoenix, j'ai très envie de te revoir. Si cette envie est partagée, vient me rejoindre à la plage ce soir, pour un bain de minuit.

Il avait ensuite raccroché et avait décidé de couper son portable entretemps. Il ne voulait pas voir un refus s'afficher, alors il avait préféré décider d'aller à la plage ce soir et de l'y attendre. Si elle ne venait pas, tant pis, mais il espérait que ce soit différent. Ce n'était pas par amour, mais parce qu'il avait eut un très bon feeling avec elle, et il trouvait dommage de passer à coté de cette bonne relation de sexe et des bons moments en dehors qu'ils avaient partagés.

Dures… dures avait été les dernières semaines aux cabarets pour Phoenix et le reste des filles qui travaillaient sans relâche pour monter chacun des numéros entiers des spectacles pour un chorégraphe et un gérant jamais satisfaits, ne voulant rien d’autre que la perfection. Il leur en avait coûté le retrait de deux danseuses pour plus ou moins une semaine suite à de mauvaises chutes de leur part. Il a donc fallu composer avec leur absence, ce qui valu à Phoenix de tenir tête deux fois plutôt qu’une durant un même spectacle. De même, une panne de courant due au mauvais temps était survenue une heure à peine avant un show se qui avait soulevé la colère des clients ce qui avait donné bien du fil à retorde aux personnels du cabaret cherchant désespérément à calmer la situation avant que cela ne dégénère. Fort heureusement, l’électricité était revenue et, les clients un peu échaudés avaient finalement pu assister à un spectacle fabuleux qui avait laissé leur fin de soirée sur une bonne note. Les charges de travail doubles et les quelques problèmes techniques n’avait pas laissé bien du repos à la belle Phoenix qui fut ravie de pouvoir enfin prendre un congé bien mérité.

Rentrant finalement chez elle, la belle soupira d’aise en refermant la porte de son appartement. Délaissant ses clés sur la table à l’entrée elle envoya valser ses choses sur son canapé trop épuisée pour avoir la force de les ranger. Luxuria avait oublié son portable le matin même, s’étant précipitée un peu trop vite au cabaret après avoir été surprise par un petit retard…. L’attrapant d’une main distraite sur la table adjacente au canapé où elle venait tout juste de se laisser tomber, elle ne fut pas moindrement étonnée de voir plus d’un appel manqué, mais ce qui la surpris tout de même fut de voir s’afficher dans l’un deux, le numéro d’Art. Le pompier qu’elle n’avait jamais revu depuis cette fameuse nuit où, dans la pièce exactement où elle se trouvait à ce moment, s’était déroulé un des plus fabuleux et torride plan à trois. Phoenix souria pour elle-même en songeant au beau mâle qu’était Art, en oubliant presque celui qui s’était joint à eux. Disons que le jeune pompier avait largement dépassé les attentes que la demoiselle se faisait de ces hommes en uniforme et n’avait pas été en mesure de se plaindre de s’être retrouvée entre les mains d’un homme fort et viril, même qu’elle aurait été tentée de vouloir que le moment dure encore et encore… même si leurs capacités physiques n’avaient pu suivre le rythme de leurs envies.

Enfin, Phoenix se risqua à écouter le message qu’Art lui avait laissé sur sa boîte vocale. L’invitation était sans contredit plus qu’alléchante et la danseuse ne pouvait se soustraire à sa demande qui consistait à la revoir. Plongeant rapidement sous une douche, elle entreprit de se préparer comme il se devait pour le retrouver, s’assurant d’être à son meilleur. Un tout petit bikini noir sembla s’avérait être la tenue parfaite pour un petit détour à la plage, même si elle prit soin de se vêtir également d’une petite robe de plage très courte plus ou moins transparente révélant tout de même la petite tenue de la demoiselle qui rehaussait ses formes avantageuses. Enfilant une paire de chaussures assorties, elle jeta un dernier coup d’œil à son miroir s’assurant d’être présentable bien que très légèrement maquillée d’un maquillage à l’épreuve de l’eau et ses cheveux blonds ondulés encadrant son joli minois, avant de quitter son appartement.

La jeune femme sauta dans un taxi et fila en direction de la merveilleuse plage à proximité. Le remerciant le chauffeur d’un pourboire généreux, Phoenix s’extirpa finalement du véhicule et referma la portière. Le vrombissement du taxi s’estompa peu à peu, laissant place à un silence de plombs, hormis le bruit régulier des vagues qui s’échouaient sur les rives. Il n’y avait aucun doute, la plage si belle et habituellement si animée, était à cette heure-ci déserte et calme, laissant aux amants de minuit qui risqueraient de s’y rencontrer, toute la sérénité dont seules leurs voix feraient échos aux bruits des vagues, sous l’œil attentif de la lune et des millions d’étoiles.

Instinctivement, la jolie blonde chercha des yeux la voiture d’Art comme pour se rassurer de sa présence. L’apercevant garée dans un recoin reculé, la jeune femme tourna finalement les talons pour avancer vers la plage, ayant pris soin de retirer ses chaussures. Luxuria avançait timidement sur le sable fin toujours légèrement éprouvé par la douce chaleur de l’après-midi en direction du bord de l’eau, balayant du regard l’endroit à la recherche d’une silhouette familière cherchant à ne pas être découverte la première. Ce fut malheureusement sans succès et Phoenix sembla abandonnée seule au beau milieu de la plage.

Il était inconcevable de penser qu’Art aurait pu lui poser un tel lapin, puisqu’elle ne méritait pas un tel affront et aussi parce que sa voiture témoignait bel et bien de sa présence. Il était quasi impossible qu’elle ne pouvait s’être trompée alors que l’heure et le lieu concordaient parfaitement eux aussi. Luxuria descendit plus bas vers la plage puis s’arrête en regardant à nouveau autour d’elle.

Art ? lança-t-elle, espérant qu’il daignerait bien se montrer.

Aucune réponse. Phoenix avança tout près de l’eau. Jetant un regard vers l’horizon, elle risqua à tremper l’un de ses pieds dans l’eau tiède de la mer avant de laisser une vague la submergée jusqu’aux chevilles puis se retirer presque aussitôt. Les yeux désormais clos, la jolie blonde laissa s’engouffrer dans ses cheveux la douce brise qui parcourait la plage, soulevant ainsi quelques mèches dorées qui semblaient valser dans l’air. La belle se laissait porter dans ses pensées un court instant avant de reprendre ses recherches constant à trouver son beau pompier.

Soudainement, alors que Phoenix avait toujours les yeux fermés, celle-ci senti comme un courant, un souffle chaud, parcourir lentement son cou, de même que ce qu’elle cru discerner comme étant de grandes mains se glisser à sa fine taille, comme pour mieux l’emprisonner alors qu’elle n’avait entendu aucun pas venir vers elle. Penchant instinctivement la tête, elle se refusa à ouvrir les yeux immédiatement, laissant ainsi à la mystérieuse personne un anonymat quelque peu prolongé, laissant ses autres sens la guider afin de reconnaître celui qui venait de s’approcher d’elle puisque la danseuse ne pouvait évidemment pas se retrouver en présence d’une femme par ce qu’elle pouvait percevoir au toucher de l’inconnu...

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Art était un courant d'air, inaccessible et imprévisible, cela ne l'empêchait pas d'être la proie du vent qui pouvait parfois le prendre dans ses filets et le jeter comme une boule de papier, sur la route d'une autre personne. Il était a une table, en train de jouer aux cartes, au poker plus précisément. Il avait une sacrée main pour une fois. Il avait déjà tout perdu et jouait quitte ou double. Cela faisait partie du jeu comme il disait.. Tout gagner et tout perdre à la fois. Il scrutait ses adversaires avec un air toujours aussi désinvolte. Qu'il perde ou qu'il gagne, il avait toujours la même expression sur le visage, celle d'un homme qui s'amuse. Difficile de lire en lui. Surtout qu'il ne se privait pas pour lancer une ou deux plaisanteries au passage. Avec un sourire crâne, il déposa les cinq cartes, dévoilant quatre rois. Sûr de sa victoire, il commença à récupérer les billets qui se trouvaient sur la table. Une belle somme qui n'allait certainement pas rester sous son oreiller à dormir. Il n'avait fait que passer le temps en attendant l'heure de son rendez vous avec la superbe danseuse.

Puis il se dirigea vers la plage, et en profita pour admirer un instant le paysage nocturne. Le regard du pompier était celui du marin qui cherchait la lumière du phare en pleine nuit. Les vagues effaçaient les pas sur le sable, comme l’alcool effaçait les soucis. Il y avait dans l’air, le parfum des embruns et au large, il devait certainement se trouver une naïade qui se cachait pour ne pas devoir souffrir la comparaison avec la superbe jeune femme qui n'allait pas tarder à le rejoindre. Prototype même du mâle viril, il savait tout de même apprécié la sophistication et la beauté quand il la voyait. Quel spectacle grandiose. Poser ses yeux sur Phoenix et mourir. C’était un peu comme les lendemains d’orage, quand les vagues grossissaient alors. Un déferlement de sensations le gagnait, et chaque endroits où se posaient ses yeux sur ce corps superbe ne faisait qu’attiser le désir et l’envie qu’il avait pour elle. La regarder, c’était comme peindre en rose les idées noires, une éponge pour effacer les préoccupations, un drapeau rouge pour exciter la bête.

Puis il décida de la surprendre un peu et de venir la rejoindre en venant derrière elle, sans qu'elle ne s'en doute. Un petit jeu qui n'avait pour but que de renouer le lien particulier qui existait entre les deux êtres. Après un certains temps, il pu voir la belle créature, du genre de celles qui étaient incendiaires. Elle avançait vers le rivage, faisant se mouvoir ses formes plus qu'avantageuses. Il la regarda un long moment avant de se décider à aller l'aborder.

Il lui mordilla le cou, laissant sa langue serpenter contre sa nuque. Il avait bien remarqué qu’elle adorait ça et il en profitait pour la faire fondre sous ses caresses.

Bonsoir belle sirène...

Il rit doucement de plaisir, venant provoquer le beau petit cul de la jeune femme en donnant un coups de bassin, laissant ses mains sur les hanches de Luxuria, son souffle continuant de courir le long de la nuque de celle-ci. Ses mains remontaient doucement, de bas en haut, prenant connaissance de ce corps qui lui avait manqué, tout comme son propriétaire.

Sous les attentions particulières d’Art dans son cou, Phoenix releva un peu plus la tête. De toute évidence, il se souvenait à quel point elle était sensible au niveau de cette partie de son anatomie et combien il pouvait aisément la maintenir à sa merci de cette façon.

« Enfin, tu es là… » prononça-t-elle doucement

Le mouvement vif que lui infligea le beau pompier, laissa glisser aux lèvres de la demoiselle un léger soupir de même que de laisser sentir à ce dernier, l’envie de ce corps de rêve de se cambrer naturellement devant lui. Luxuria laissait les mains virils d’Art parcourir son corps et remonter non pas discrètement jusqu’à sa poitrine pour mieux se souvenir de la grâce de ces monts de chair qu’il avait admirés il avait si longtemps déjà. La jeune danseuse se plaisait à retrouver les bras de son valeureux pompier qui, malgré tout, lui avait manqué depuis le temps. Les souvenirs que son prénom évoquait chez elle, lui rappelait tant de beaux souvenirs…

Au bout d’un moment, Phoenix se retourna vivement face à lui, pressant amoureusement son corps contre le sien, prenant soin de mieux vérifier la présence d’une érection naissante au creux de ses pantalons. Une bite à demi-endormie que la demoiselle ne manqua pas d’agacer, remontant sa main jusqu’à caresser sa silhouette qu’elle discernait à travers le tissu. Si Art avait dans l’idée de la provoquer un peu, il apprendrait bien vite qu’il ne pouvait à armes égales avec la jeune danseuse. Séduire, elle en faisait son métier certes, mais ne se laissait que rarement amadouer sans avoir préalablement pris le contrôle, pour mieux faire tomber sa proie dans ses filets et le beau pompier n’y ferait pas exception. Pour une fois peut-être dans sa vie, il serait forcé d’être soumis à une femme, heureusement pour lui, pas n’importe laquelle.

Phoenix lui jeta de ces regards incendiaires ne le quittant pas une seule seconde des yeux. Sans douceur, elle lui détacha sa chemise pour ne pas dire la lui arracher, pour mieux admirer le corps parfaitement sculpté du bel apollon. Ses doigts fins remontait le long de ces abdos creusés et de se torse, approchant son visage du sien. Instinctivement, Art réagit comme elle l’avait escompté, stoppa son envie de cueillir un baiser de ses lèvres en posant ses doigts contre sa bouche. La belle souria, puis détourna le regard pour mieux se dérober de ses bras forts.

« Je croyais que tu m’avais abandonnée… »

Les traits de son visage s’étaient quelques peu assombris et la jeune femme se recula de lui, lui tournant à nouveau le dos. Pas qu’elle lui en voulait forcément, mais juste qu’elle voulait lui rendre la vie un peu plus difficile. Phoenix était peut-être tombée sous le charme de son entre-jambe, mais cela ne l’empêchait pas d’aimer se faire désirer et surtout de le sentir. Art allait devoir travailler quelque peu, s’il avait comme objectif de faire à nouveau succomber la belle Luxuria sous ses coups de bassins féroces et la sentir frémir sous ses mains. La demoiselle était tout aussi instable qu’intense dans ses relations, et jamais il ne fallait oser la prendre pour acquise. La belle blonde était libre et fière d’elle-même.

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Art soupira doucement de plaisir à mesure que Phoenix se retournait et provoquait sa queue qui commençait à durcir lentement sous ses attentions. Elle contrait ses assauts en se montrant encore plus coquine que lui. Il savait qu'au jeu de la séduction elle était meilleure. Notamment parce qu'elle en avait fait son métier, mais également parce qu'elle le connaissait sous tous les angles à présent. Ils avaient baisés encore et encore, et pourtant, il aurait voulu que ça continue plus longtemps, même si leurs corps avaient été trop épuisés pour cela. Il se souvenait encore de ses bourses entièrement vide et de son corps totalement fatigué qu'il n'avait pas pu bouger avant deux bonnes heures, restant dans le lit, avec sa belle amante. Puis elle s'écarta de lui et se détourna de son corps pour lui reprocher son silence jusqu'à présent. C'était une attitude qui le surprit légèrement. Après tout, ils n'étaient pas en couple, et puis s'il ne l'avait pas contacté, elle ne l'avait pas fait non plus. Elle devait certainement jouer avec lui, et il trouvait qu'en temps que femme si désirable, elle pouvait se permettre de se donner ce rôle là et de lui donner le mauvais. C'était de bonne guerre. Luxuria ne faisait que renfoncer l'emprise et le pouvoir qu'elle pouvait exercer sur les hommes. Pour une autre, il n'aurait pas marcher dans ce petit jeu, mais pour elle, il était prêt à faire beaucoup de concession, comme oublier un peu de son orgueil macho pour la reconquérir. S'il ne s'abaisserait jamais au point de devenir une marionnette sans cervelle et sans caractère, il était pourtant prêt à mettre en œuvre ce qu'il fallait pour la reconquérir.

Elle était si proche de lui, qu’il pouvait sentir son parfum venir se perdre dans ses narines. Il avait envie d’elle, une envie qui venait lui nouer les reins. Une envie sauvage également. Art avait toujours été un amant passionné et fougueux, certains pourraient dire violent, et macho. Peut-être était-ce le cas, bien qu’il ait toujours respecté les femmes. Mais seulement après avoir assouvit ses pulsions. Pendant les ébats, il laissait son coté sauvage prendre le contrôle. Il la regardait avec de plus en plus d’intensité, le calme du moment semblait comparable à celui présent avant la tempête. Une partie de lui voulait qu’il se contrôle, qu’il laisse en paix celle qui était en train de lui tourner le dos, mais ce n’était pas le coté de la balance qui était en train de gagner. Il avait une furieuse envie d'alcool. Il n’aurait pu dire si c’était pour anesthésier ses envie ou au contraire, pour les attiser.

Il se dirigea vers elle de nouveau, la prit par les épaules, et la fit se tourner vers lui. Art laissait ses yeux perçant pointer vers la belle danseuse. Ses yeux sombres, brillants comme des agates. Ils avaient le mystère de ceux des chats, tout en ayant ce côté légèrement coté chasseur qui allait fondre sur sa proie. Elle semblait entrer dans son jeu, petite souris qui venait entre les pattes de velours du félin qui cachaient bien ses griffes redoutables, il en aurait presque retroussé et lécher ses babines. Ce n’était pas tout à fait consciemment qu’il agissait ainsi, c’était juste sa nature. Il avait un furieux désir qui ne voulait pas rester plus longtemps en cage. Il aimait son petit coté provocatrice, feignant l’innocence et la candeur, tout en offrant à sa vue une parcelle plus importante de sa peau, de ce corps qu’il voulait sien, le temps de quelques instants. Il plaqua son corps puissant contre le sien. Il sentit le frisson qui parcourut la jeune femme, et de son côté, il aima la douceur de sa peau et la chaleur de celle-ci. Une peau qui à coup sûr devait réchauffer et échauffer les esprits. Décidé à suivre le jeu que proposait Phoenix, il se hasarda à répondre avec une fausse hésitation, comme un élève auquel on demanderait de répondre devant toute la classe sachant pertinemment qu’il ne connait pas la réponse.

Je ne t'ai pas abandonnée. J'ai voulu te laisser libre et non t'emprisonner. Mais à l'avenir, je ne te ferais plus attendre.

Le jeu devint un peu plus dangereux, langoureux tel un serpent, il l'enlaça et laissa ses mains couvrir ses fesses superbement galbées et de son sexe qu’il sentit très chaud. Il la regarda, incapable de bouger pour le moment. Il savait qu’il offrait une vision de faiblesse inhabituel, mais en bon prédateur qu’il était, feindre l’innocence d’un être inoffensif, pour mieux frapper ensuite et s’emparer de sa proie. Il se sentait très bien là, contre la petite chatte de Phoenix tout en lui caressant son beau petit cul. Il laissa ses bras immobiles sur son corps alors qu’il n’avait qu’une envie, refermer le piège refermer ses bras puissants, et commencer à la prendre sauvagement, la faire hurler de plaisir en y allant de la façon la plus sauvage et virile possible. Il se souvenait encore de la soirée qu’ils avaient passées ensembles. Il laissa ses mains venir se poser sur les hanches de la belle. Il aimait sentir le tissu qui cachait la peau de la jeune danseuse. Il remonta légèrement le tissu pour apercevoir un peu plus en détail les cuisses de la belle. Il eut un sourire ravi devant le spectacle qui s’offrait à ses yeux, pendant qu’il releva les yeux pour la regarder avec toujours autant d’intensité et d’envie. Art savait qu’il aurait envie de la traiter comme si elle était sa possession, sa chienne, c’était plus fort que lui. Surtout quand son appétit et son envie se montraient si voraces. Elle ne se doutait certainement pas de ça, ou alors peut-être que si, mais qu’elle n’en avait guère conscience en ce moment qui semblait suspendu. Il n’avait certainement pas dû lui échapper que le sexe de Art grossissait et durcissait sous le sien tout le temps qu’elle avait été contre lui.

Il devait admettre que la jeune femme savait comment l’aguicher, l’exciter et le mettre en transe, tout cela ne serait que prometteur pour la suite. Il lui ôta sa robe avec fougue, la laissant en maillot de bain noir. La belle Luxuria était tout à fait sensuelle et désirable. Il y avait presque un petit coté inaccessible qui se dégageait de la photographie d’ensemble. C’était une bonne chose, car il n’y avait pas meilleurs moyens pour provoquer Art que de lui imposer des limites ou des barrières, sachant qu’au final il ferait tout pour les faire tomber, comme le peu de tissu qu’elle portait en ce moment. Le souffle du pompier se faisait un peu plus lent, comme pour faire moins de bruit, et profiter un peu plus du spectacle. Sa queue devenait encore un peu plus tendue, et son corps aussi.

Il ne fallut à peine quelques secondes pour que le beau brun s’avance vers elle et lui fait faire volte face, la ramenant tout contre lui. Ainsi, Art pouvait avoir une vue privilégié sur la voluptueuse poitrine de la demoiselle qui s’en trouvait pressée contre son torse. Déjà, il la dominait de grandeur, et ses bras forts ne laisseraient aucun échappatoire s’offrir ne serait-ce qu’à son esprit, lui faisant déjà savoir qu’elle s’était aventurée dans une voie sans retour, et que tôt ou tard elle devrait faire face à son châtiment, sauvage, violent ou peut-être doux et tendre selon l’envie de son bourreau…

« Je l’espère… »

Elle souria à la réponse que lui offrit le jeune pompier alors que les mains de ce dernier semblaient avoir pris possession de son joli petit cul qu’il pelotait à loisir. Puis, Phoenix senti Art remonter l’une de ses jambes fines, contre la hanche de celui-ci pour laisser filer l’une de ses mains sous sa robe et dévoiler entièrement sa cuisse avant de la reposer doucement. La belle sentait les doigts agiles du pompier flirter avec l’ourlet de sa petite robe et qui ne cessaient de démontrer une soif d’en voir toujours davantage à mesure qu’il soulevait le léger tissu qui camouflait timidement la silhouette gracile de la danseuse. Elle sentait ses deux mains chaudes viriles encercler sa taille effleurant son ventre plat, fusionnant sa chaleur au corps déjà bouillant de celle qui soutenait tant bien que mal le regard intensément profond de son amant, résistant à l’envie de se jeter sur lui, de presque le supplier de laisser pénétrer son dard en elle, pour mieux l’infecter de son venin, elle, fleur si fragile et docile maîtresse à la fois, prête à s’offrir toute entière à ses soins. Il lui avait manqué, mais Phoenix était trop fière pour oser le lui avouer et préférait de loin dissimuler ces sentiments affectifs qu’elle éprouvait envers lui, aussi petits soient-ils, mais suffisants pour qu’Art ait fait sa place dans le cœur de la belle. Une place non pas d’amour, mais plutôt celle de l’amant fougueux qu’elle se plaisait à revoir sans cesse, à les sentir s’abandonner l’un à l’autre dans l’espoir d’un orgasme partagé.

Elle voulait jouer avec le jeune loup, le rendre un peu plus fou de désir qu’il ne l’était jusque là. Amenant sa bouche à son oreille, Luxuria laissa s’échapper de petits soupirs lents, lascifs, qui se voulaient réponse aux gestes d’une main qui venait de se glisser sous le bas de son maillot, alors que déjà la demoiselle s’adonnait à se donner un peu de plaisir en solitaire avant de retirer subitement sa main, un peu comme une voleuse qui craignait d’être prise sur le fait. Ses jolies prunelles brillaient, certes éclairées par le reflet de la lune, mais surtout par le désir grandissant qui faisait rage en elle qu’elle seule ne serait à même de l’apaiser, trahissant sans équivoque ce qu’elle entendait du bel étalon devant elle. Phoenix avait envie de lui, envie qu’il la baise mieux encore que la fois précédente durant laquelle le corps de la belle danseuse avait longuement souffert des coups de bourrin d’Art, bien qu’il l’ait fait hurler comme une chienne. Elle voulait être sienne en cette nuit chaude, en ce lieu paradisiaque et qu’il laisse sa marque en elle.

Elle voulait de cette baise sans douceur en pleine nature qui laisserait libre court aux pulsions animales du jeune mâle bien membré. Elle lui lançait de ces regards coquins et charmeurs tout à la fois, se tenant face à lui, désormais uniquement vêtue d’un tout petit bikini qui laissait peut-être voir plus qu’il n’en dissimulait, mais qui épousait malgré tout à la perfection chacune des courbes de sa plastique parfaite et naturelle. Phoenix rejeta ses longs cheveux blonds vers l’arrière, d’un geste qui se voulu un peu trop provocateur alors qu’elle lui sourit, un petit sourire faussement angélique. La jeune femme sentait le regard d’Art peser sur elle, tant il semblait la dévorer des yeux. Luxuria finit par revenir se coller contre lui, pour mieux descendre le long de son corps musclé.

« Je crois que ceci est un peu trop serré à présent… » dit-elle en défaisant les pantalons d’Art pour les laisser tomber à ses pieds. Sa bouche, s’approcha de sa queue qui malgré son boxer laissait entrevoir une érection intense. Se réservant de lui retirer le vêtement qui la séparait de son sexe, Phoenix se contenta d’effleurer à peine le tissu tendu de ses lèvres tout en le regardant dans les yeux. Lentement, elle remonta, ramenant son visage à la hauteur du sien. Sa main se faufila derrière sa nuque tandis qu’elle imprimait de doux mouvements lascifs de bassin contre le membre en feu du séduisant pompier à la hauteur de son bas ventre sans pour autant avoir détaché son regard du sien guettant une réaction, qu’elle espérait être la bonne…

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Le pompier était en train de redécouvrir les délices de Luxuria qui le charmait, l'envoutait, se jouait de lui pour qu'il vienne la reconquérir. Son regard se perdait de ses épaules à sa chute de rein, essayant de ressentir chaque courbe. Elle avait sa fierté et il aimait ça. Depuis leur dernière rencontre, Art avait pris des cours. Étant habile de ses mains, il n’avait eut aucun mal à décrocher un diplôme, ou plutôt un certificat des arts du massage thaïlandais et chinois. Il savait également faire de l’acuponcture, mais il préférait éviter de s’y exercer quand il n’était pas sur à cent pour cent d’avoir la lucidité suffisante pour ne pas se tromper d’endroit quand il plaçait les aiguilles. C’était incroyable de voir qu’une aiguille placée dans un orteil pouvait parfois provoquer une partie bien plus intime de la personne qu’il massait. Il avait d’ailleurs provoqué quelques orgasmes de la sorte, sans jamais avoir eut à toucher une femme de ses mains, juste avec des aiguilles. Il avait un carnet d’adresse rempli de femmes qui voulaient le revoir juste pour ca. Mais lui, préférait tout de même le contact charnel. Surtout quand il avait à sa disposition un corps comme celui de Phoenix.

Art était sous le charme de la belle Phoenix qui savait comment le mettre dans un état d'excitation incroyable. Par un regard, une caresse, une provocation plus appuyée qu'une autre. Elle embrasait ses sens, et lui durcissait la queue comme nulle autre. Surtout quand elle commença à se caresser devant lui. Il avait pu remarquer les légers soubresauts de son corps quand elle avait commencé ce trop bref instant lubrique. Il lui adressa un grand sourire, tandis que la bosse qui déformait à présent son pantalon, ne cachait rien de son envie pour elle. Sa grosse bite bien dure était en train de prendre du volume. Et quand elle lui dit par provocation qu'elle le sentait à l'étroit, elle savait pertinemment qu'elle avait atteint son but. Voir ce corps superbe se mouvoir ne le laissait pas de marbre, et les gestes toujours plus lascifs qu’elle avait le fit bloquer sa respiration un moment. Laissant échapper doucement son souffle, il frissonna quand ses lèvres frôlerent sa queue, par dessus le tissu qui les séparait.

C'est vrai, mais tu n'y es pas étrangère. Il faudrait donc que tu te fasses pardonner et arrange cela non?

Il soupira doucement au contact de son corps brulant contre le sien. Le désir montait de plus en plus en lui, réchauffant le creux de ses reins. Une envie de sexe sauvage, violent, intense, dans ce paysage maritime et indomptable. Il ne la quittait pas des yeux, laissant sa main lui caresser le dos de la joue, avant de lui saisir sa belle crinière blonde et de lui tirer la tête en arrière. Là, il lui mordilla le cou, comme un loup prêt à achever sa proie.

Tu sais que tu me rends dingue toi...

Pas vraiment au sens amoureux du terme, mais au sens intensité et pulsions primaires. Ils avaient cette connexion particulière qui les rendait si proches l'un de l'autre, à leur manière. Elle savait se rendre indispensable pour lui, et il ne s'en plaignait pas. Il avait toujours faim d'elle, même s'il la connaissait sous tous les angles. Elle avait cette aura de stupre et de luxure qui n'appartenait qu'à elle. Et que dire de sa façon de baiser qui était si excitante? Mais le désir devenait vraiment trop intense à présent, et il sentait qu'à force de le provoquer ainsi, le tigre ne finisse par sortir ses griffes et vienne la baiser comme elle le méritait. Il voulait la faire hurler de plaisir jusqu'à ce qu'elle n'en ait plus de voix. Ici, dans ce décor de rêve, au clair de la lune pouvait prendre un nouveau visage qu'une comptine pour enfant, vu le spectacle qu'ils allaient donner.

Phoenix eut un petit sourire à la demande que lui faisait Art, subtilement, mais ne montra aucuns signes qui laisseraient croire qu’elle y obtempérerait dans l’instant présent. La jeune femme se contenta de caresser délicatement la joue du beau brun du revers de la main, puis, avança son visage vers le sien pour lui soutirer un tout petit baiser du bout des lèvres. À nouveau, un petit sourire charmeur se peint sur son visage alors que la jolie blonde le regardait toujours dans les yeux, soutenant son regard qui semblait vouloir s’évader, résistant à l’envie de jeter un œil à la poitrine plantureuse de son amante de laquelle il pouvait avoir une vue différente. Remontant son visage en posant ses doigts sous son menton, elle ouvrit finalement la bouche pour lui répondre:

« Tu crois ? Je suis une vilaine fille alors... » dit-elle sur un ton semblable à celui d’une petite fille qui craignait d’être grondée après une bêtise, quoique Luxuria semblait loin d’être repentante pour ses méfaits.

Par la suite, le geste d’Art s’avéra sec, violent presque, alors que sa bouche venait de s’approcher de son cou. Son souffle chaud effleurait sa peau de porcelaine, tandis que ses dents osaient s’y agripper légèrement, mais somme toute assez pour provoquer une sorte de transe chez la victime. Elle qui remontait l’une de ses mains à l’épaule d’Art, ne pu que faire sentir ses ongles dans sa peau, ses doigts se crispant lorsqu’un frisson, un de ces frissons intenses, venait de la parcourir toute entière. Luxuria avait les yeux fermés et se laissait faire comme une vulgaire poupée entre les mains du charmant pompier laissant échapper de petits soupirs d’entre ses lèvres. Quelques secondes s’écoulèrent avant que l’envoûtement ne puisse prendre fin. La jeune femme glissa une main au boxer d’Art, caressant doucement sa bite tendue traçant pratiquement sa circonférence impressionnante tout comme le reste, de ses doigts fins le pressant à nouveau contre son bas-ventre qui n’en appelait qu’à elle, avant de se reculer de lui. Le repoussant au niveau de son torse de son autre main laissée libre, Phoenix se libéra ainsi de son emprise.

« Tu me veux ? Viens me chercher... » lui lança-t-elle sur un ton de défi.

La danseuse qui lui faisait toujours face, reculait lentement à présent. Ses pas bien que petits étaient mesurés, puisqu’au fond elle n’avait pas réellement dans l’idée de vouloir lui échapper, bien au contraire. Phoenix avait cette petite lueur dans le regard qui illuminait son regard d’une tendance à la fois espiègle et aguicheuse alors qu’elle avait feint de lui obéir en refusant de s’occuper de son membre qui se mourrait ainsi délaissé par ses soins. Nul doute que le comportement de la vilaine fille sera plutôt sévèrement sanctionné tant elle jouait avec le feu qui nouait les reins d’Art qui n’avait rien à voir avec le type que le brave pompier avait à confronter en service. Ce qu’elle aimait le rendre fou, l’aguicher assez pour qu’il peine à retenir convenablement ses pulsions primaires de ne faire d’elle qu’une bouchée. Phoenix aimait cette lueur dans son regard, lorsqu’il posait les yeux sur elle, qui trahissait trop bien à quel point il éprouvait une excitation profonde en la voyant devant lui, si... vulnérable…

Invité

A n'en pas douter, Phoenix savait comment l'exciter, que ce soit avec de simples gestes sensuels, ou avec sa voix et des mots bien choisis. Cette femme avait un effet dingue sur lui et il se demandait comment elle arrivait à ce résultat. Lui qui était facilement blasé, surtout avec une femme qu'il avait déjà prise plusieurs fois. Mais là, avec elle, les lois n'étaient plus les mêmes, elle instaurait même les siennes. Il répondit en lui susurrant à l'oreille de sa voix grave et coquine, se prenant au jeu.

En effet...il faudra que je te donne la fessée...

Il se montra plus dominant ensuite, et sentit les griffes de sa tigresse qui se plantaient dans ses épaules. Il en frissonna doucement. Tout était tellement plus intense avec elle. Il profita de sa belle jusqu'à ce qu'elle vienne lui caresser la bite. Elle pouvait sentir qu'il prenait peu à peu plus d'ampleur. Mais alors qu'il pensait qu'elle allait se donner à lui, elle le repoussa de nouveau. Sauf que cette fois-ci ce n'était plus vraiment la colère qui habitait les yeux de Luxuria, mais plutôt son coté joueuse. Il savait que tout ce qui avait de la valeur dans la vie, il fallait se battre pour l'avoir. Alors il allait pourchasser sa proie et la prendre sauvagement comme elle le méritait. Il s'imaginait déjà le plaisir que ce serait de la faire hurler de plaisir sous la lune. Il la fixait et elle ne pouvait que remarquer les regards trainant qu'il posait sur elle et bizarrement à chaque fois sa queue prenait une nouvelle vigueur. Il la provoquait encore plus par un regard enflammé et sourire de prédateur qui ne cessait de la réclamer, de l'appeler, de vouloir absolument ses lèvres et sa langue jouant avec la sienne. Mais également son petit cul étroit, sa petite chatte brulante et ses lèvres si expertes. Elle le mettait en feu, dans un tel état de manque qu'il frôlait presque la dépendance de son corps de rêve. Surtout de la prendre comme une belle salope pour être bien précis et bien exact. Oui Art, le macho indomptable qui marchait sur les filles comme si elles n'étaient rien, ce coté de sa personnalité n'était pas vraiment là ce soir. Non ce soir il n'y aurait pas le côté coup rapide et je me casse, non là ca allait vraiment plus loin, une envie si forte qu'en effet ca le brulait de l'intérieur. Elle allait vraiment en prendre plein le cul.

Il la voulait, il brûlait de la sauter, la prendre, la retourner tout ce que vous voulez mais si son désir était fou, il voyait bien que celui de Luxuria l'était tout autant. Il la dévorait du regard, exprimant par ses yeux toute l'envie qu'il avait d'elle. Il s'avança vers elle, d'un pas décidé, volontaire et conquérant. Le félin finit par bondir sur sa proie, la faisant tomber dans le sable. Il se colla à elle. Il voulait faire monter d'un cran l'envie de sa belle par chacun de ses frôlements sur elle. Il la caressait pour lui faire monté le plaisir en ne laissant aucune parcelle de sa peau tranquille. Ses caresses étaient accompagnées par le mouvement lascif de sa langue dans son cou, son corps continuant de presser contre elle, lui faisant sentir la puissance de ses muscles. Il lécha alors sa peau en agrippant ses cheveux ne la quittant pas des yeux.

Il la goûtait, la suçait, la léchait, la mordillait et quand elle croyait savoir ce dont il était capable, il changeait du tout au tout, variant les caresses, les mélangeant parfois, les combinant à d’autres. Il n’avait qu’une intention, la rendre si avide de sa queue qu’elle finirait par ne jamais avoir eu autant envie de se faire prendre. Il jouait au tentateur, et il y prenait plaisir. S'il s'écoutait, il la baiserait n’importe où à présent et dans n’importe quelle situations, il n’y aurait rien eu qui puisse l’en empêcher ils s’étaient trop longtemps et trop intensément excités pour ne pas laisser exploser leur envie dans une baise qui allait être mémorable et leur public devrait bien profiter de les regarder et d’en prendre de la graine. Il dévorait le lobe de la belle blonde. Puis il sortit sa grosse queue, et l'enfonça entre les cuisses de Phoenix, la prenant d'un coup sec et sauvage, jusqu'à la garde. Il avait pris soin de lui ôter son bas de maillot au passage. Il aimait l’entendre soupirer et son corps venir se presser contre le sien. Elle avait un corps plus brûlant que la lave, et il lui pressa les fesses plus fermement, lui donnant une bonne claque coquine, voulant la rendre dingue. Il la chauffait de plus en plus, et il pouvait sentir qu’elle devenait de plus en plus déchaînée et qu’il avait tellement attendu avant de la prendre qu’il sentait que ses bourses viendraient lui rappeler qu’elles étaient pleines à cause de cette jolie déesse, et qu’elles allaient le lui dire. Il sentait que de toute façon la nuit était loin d’être finie et qu’il lui montrerait qu’il avait de la réserve.

Phoenix je vais te défoncer comme une petite salope mon bébé

Phoenix se contenta de sourire à la réponse qu’Art lui offrit, voyant très bien qu’il se laissait prendre au jeu d’autant plus que certaines images devaient très certainement avoir effleuré l’esprit pervers du jeune pompier. La belle n’avait rien de comparable avec une petite fille naïve et innocente qui commet une faute comme elle essayait de lui faire croire malgré tout, lui vendant plutôt le désir d’abuser d’elle, détournant son insouciance pour qu’elle ne puisse que gémir, prisonnière de ses bras puissants recevant un châtiment tant convoité. Le tempérament changeant de Luxuria faisait en sorte que ses aventures se devaient d’être aussi loin d’être identiques que possible tant elle avait une sainte peur de la routine et d’être blasée. Tantôt douce et câline et avide de baisers, la demoiselle pouvait également se montrer sous un caractère particulièrement plus bouillant, plus farouche plus horriblement aguicheuse ce qui lui valait de pousser parfois un peu trop loin la provocation, mais donnait au finalement d’admirables baises torrides et sauvages comme elle prétendait à avoir. La jeune femme savait également qu’en la personne d’Art, elle trouverait sans aucun doute un partenaire à la hauteur de ses attentes et qui partagerait probablement les miennes. Leur relation n’était pas tirer d’un de ces romans à l’eau de rose, s’en était une certitude; ce qui les unissait n’était rien d’autre que l’idée perverse de s’envoyer en l’air, dans des ébats plus que laborieusement intense tant ils ressentaient le besoin constant de s’allumer l’un l’autre. Si Art prenait un malin plaisir à se servir de son chibre imposant pour mieux la sauter et lui élargir chacun de ses trous, elle ne crachait pas sur l’envie de s’empaler profondément sur son pieu. Quelle belle entente puisque cela s’avérait profitable pour les deux partis, non ?

Phoenix répondait aux appels que lui lançait le séduisant pompier qui s’avançait vers elle, semblant bien déterminé à la rejoindre, avec de petits regards charmeurs et coquin à la fois. À mesure que l’écart de distance qui séparait les deux êtres, plus la température semblait montée et plus le désir fulgurant était palpable. Puis, le prédateur fini par frapper sa proie, l’amenant à s’allongée sur le sable, la dominant désormais de tout son corps puissant. À présent, Phoenix savait qu’Art avait pris le contrôle d’elle, de la situation et qu’il ne comptait plus lâcher prise. La belle se perdait sous ses caresses douces qui lorgnaient son anatomie en entier.

Tactique efficace, le beau pompier parvint à détourner l’attention de sa victime en s’amourachant du lobe de son oreille et laissant trainer ses mains qui explorait son corps de rêve qu’il connaissait déjà par coeur. Frémissante sous ses caresses, la demoiselle laissa échapper un long gémissement lorsque finalement l’imposante colonne de chair d’Art s’enfonça en elle brisant le silence de la nuit noire. Puis, chaque fois que le jeune homme s’immisçait en elle avec plus d’assurance et d’insistance, un petit soupir glissait d’entre les lèvres pulpeuses de danseuse accompagnant le rythme qu’imposait les coups de bassin de son amant à sa fragile personne. Phoenix ne quittait pas Art des yeux, le forçant presque à la regarder fixement pendant un moment alors que son membre prenait bien place au creux de ses cuisses, la regarder mourir doucement sous sa délicieuse torture. Elle affichait un sourire ravi, et s’amusa de la petite claque coquine qu’il offrit à son joli petit cul dès lors qu’elle avait voulu replier légèrement ses fines jambes contre le bassin de son amant. L’expression de son visage, trahissait trop bien le plaisir qu’elle prenait à le sentir la pénétrer sans amour, abusant de son corps à loisir.

« Je suis toute à toi mon chéri, j’ai tellement envie de te sentir en moi… »

Invité

Art sentait que cette soirée allait devenir des plus intenses. Vu la façon dont Phoenix l'avait chauffé, il n'allait pas se priver pour visiter chacun de ses orifices et les lui bourrer de sa bonne queue longue et épaisse. Oui, il prendrait vraiment son pied en lui défonçant ses petits trous, et il savait qu'elle en serait ravie et en redemanderait même. Quelle belle complicité dans le sexe. Elle avait le feu au cul et il utiliserais sa lance pour non pas le lui éteindre, mais bien le faire grandir encore plus jusqu'à ce qu'elle soit incandescente de plaisir. Il se nourrissait des soupirs et des gémissements de sa belle blonde. S'enfonçant au plus profond des cuisses de la belle danseuse, le pompier sentait la chaleur intense de sa petite chatte qui lui brulait les reins.

J'arrive mon ange....tu vas me sentir partout en toi cette nuit...

Là, il enfonça son membre puissant entre ses cuisses. Il entra d'un coup sec et précis, l'emmanchant jusqu'à la garde, lâchant un soupir rauque d'extase s'échapper d'entre ses lèvres, tandis qu'il ne la quittait pas des yeux. Il lui retirait son haut, voulant voir ses seins généreux. Il les lui embrassa lentement, prenant possession de ce corps qui lui avait manqué. Et d'elle au passage.

lI savourait la petite chatte chaude et serrée de sa belle. Il grogna doucement de plaisir, sa voix devenant plus rauque, gémissant parfois alors qu'elle le prenait plus profondément en elle, se frottant à lui comme une chatte en chaleur. Il se mordit la lèvre et la regarda avec un sourire complice, l'encourageant du regard. Son coté tigresse et petite chatte mélangée la rendait vraiment sexy et très excitante. Ce faisant, Luxuria réveillait l’animal qui sommeillait en Art, et son désir devint bien plus sauvage et féroce. Il vint lui tenir les fesses et les lui claqua, l’une après l’autre, de sa main ferme et virile qui se faisait ensuite caresses.

Il la regardait droit dans les yeux avec intensité, puis il glissa sa main dans les cheveux de la jeune femme, les lui tenant dans ses serres, la dominant et l’asservissant au mâle dominant qu’il était. Il lui adressa un sourire coquin. Puis il lui mordilla la gorge tel un loup qui asseyait sa dominance, puis il admira ses seins qui bougeaient en rythme sous ses coups de queue vigoureux. Il admira le spectacle, venant les lui mordiller, puis les lécher. Il commença à donner des coups de reins de plus en plus appuyés, lui relevant les cuisses pour la prendre avec plus de profondeur. Il grognait de plaisir tout en venant prendre ses tétons entre ses lèvres, venant ensuite les faire rouler entre ses dents, les lui mordant férocement. Le sable partait un peu partout à mesure que l’homme donnait des coups de queues toujours plus rapides et sec en elle. Il sentait le plaisir monter en flèche, et ses couilles devenaient de plus en plus lourdes et gorgées de jus. Avec les belles fesses de cette jolie demoiselle, c’était bien trop tentant que de lui claquer son beau petit cul. Il donna une claque coquine sur chacune de ses fesses, lui souriant en coin. Il prenait son pied à la défoncer comme une petite salope, il n’y avait pas d’autre termes.

Il adorait l'entendre gémir et l'encourager à la prendre toujours plus fort, toujours plus profondément. Il aimait aussi le fait qu'elle soit très souple ce qui lui permit de poser ses belles jambes sur ses épaules, pour la pilonner plus sèchement et plus férocement encore. C'était une sensation divine et il ne boudait pas son plaisir. Il croisa son regard, lui adressant un sourire coquin , puis il la faisait aller plus profondément en elle, plus sèchement, laissant ses muscles développés rouler sous sa peau, la prenant avec un coup de rein incroyable. Il aimait sentir ses petites cuisses s'agiter sur lui alors qu'il donnait des coups de queues pour accompagner ses gestes. Il lui souriait, et alors qu'ils prenaient du plaisir, il inspira longuement, et laissa sa bite se durcir plus encore. Il la pénétra au plus loin, regardant avec plaisir, la poitrine de Luxuria qui se soulevait au rythme de ses coups de trique à chaque mouvements. C'était encore plus excitant et parfois il laissait échapper un cri.

Art comptait bien la faire jouir, et la faire hurler de plaisir. Il laissa sa langue courir le long du galbe des seins de la belle blonde, puis sur ses tétons qu'il taquina du pointu de sa langue. Ses doigts venaient creuser de légers sillons sur ses cuisses et dans son dos. Il grognait doucement de plaisir, son souffle lourd et brulant venant mourir contre la poitrine ou dans le cou de la belle qu'il continuait de défoncer sans plus de civilités, ses couilles s'alourdissant de jus tellement le désir et le plaisir étaient intense.

Phoenix se comptait chanceuse d’être tombée sur un homme tel que Art avec qui elle pouvait partager une aussi grande complicité bien que leur rencontre n’avait rien d’ordinaire. Se fut un peu comme si le brave pompier avait un peu trop lorgner le joli petit cul de la belle blonde et qu’il avait lu à travers son petit minois d’ange innocent quelle perverse elle était pour en venir à ne pas résister à l’envie d’y fourrer sa queue pour y gouter discrètement à l’insu de monsieur madame tout le monde.

Luxuria utiliserait cette soirée comme pardon d’Art pour n’avoir daigné lui donner plus de nouvelles durant tout ce temps. Certes, aucun engagement les unissait l’un à l’autre, mais la demoiselle aimait particulièrement de se sentir désirée, surtout après une aventure telle qu’ils l’avaient vécue tous les deux la première fois. Elle ne pouvait toutefois pas vraiment lui en vouloir, puisque cela rendait cette soirée de retrouvailles horriblement intense, sachant qu’ils éprouvaient tout deux une envie folle de s’abandonner dans des ébats sauvages et raviver quelques souvenirs du dernier passage d’Art entre les cuisses de la gracieuse danseuse.

« J’y compte bien » laissa-t-elle échapper entre deux soupirs, alors que le beau brun exerçait de longues tirades en elle. La ficelle du haut de son maillot céder aux mains du jeune pompier en profitant pour se redresser un peu, appuyée sur ses coudes, l’interrompant un instant pour mieux se placer. Elle le laissa admirer ses beaux seins ronds entièrement nus, son petit minois d’ange encadré par quelques mèches blondes, bien qu’elles cachaient plutôt mal la farouche petite coquine qu’était vraiment Phoenix. Celle-ci embrassa le sommet du crâne d’Art lorsqu’il avança ses lèvres vers ses deux globes de chair pour déposer lentement un baiser sur chacun d’eux.

Doucement, elle laissait son corps se mouvoir au même rythme que le sien, laissant fondre ses cris au creux du cou de son amant alors qu’elle aimait déjà l’entendre lui. De par ses grognements, elle savait qu’il n’y allait pas à moitié, laissant la longue queue épaisse disparaitre au creux de ses cuisses à intervalle plus ou moins régulier. Phoenix rejeta ses cheveux en arrière et lui adressa un petit sourire irrésistiblement coquin en retour à son regard complice. Elle réagit à ses petites claques sur ses fesses en un petit cri puis souria à nouveau , le regardant toujours intensément dans les yeux.

Elle ne pu parer ce qui s’en suivit - bien qu’elle n’aurait fait état d’aucune résistance de toute façon - et, de sa poigne ferme, Art tira les cheveux de la belle blonde vers l’arrière la forçant ainsi à se recoucher complètement se servant de sa prise pour mieux s’agripper à elle, l’immobiliser, et lui faire sentir toute la fureur et la fougue de ses coups de trique violents. Phoenix ne pouvait s’empêcher de laisser son corps se cambrer de gémir fortement telle une belle petite chatte en chaleur subissant également l’assaut d’Art qui venait de fondre sur son cou et sa gorge laissés libres pour y trainer ses dents. Elle adorait la façon qu’il avait de la dominer, de lui faire sentir qu’elle n’avait d’autres choix que d’être soumise à ses besoins primaires et sauvages. Puis lorsque le jeune homme se recula finalement pour jeter un œil à la plantureuse poitrine de Luxuria qui témoignaient plutôt bien de la vigueur de ses coups, la demoiselle lui adressa un petit sourire, venant prendre à deux mains ses seins volumineux, les massant et les pressants allant jusqu’à agacer ses tétons avant de les laisser reprendre le rythme des coups de bassin du beau pompier de même que laisser la bouche de celui-ci s’en approcher à nouveau. De même, Phoenix permit docilement à Art de lui relever les cuisses, ses jambes déjà bien écartées haut dans les airs. Cette fois, La jolie blonde avait une de ces intonations de petite salope quand elle gémissait que s’en était à rendre le jeune pompier complètement dingue puisqu’il ne semblait jamais en donner assez à son goût, car elle demandait encore et encore…. Luxuria hurlait presque, encaissant avec bonheur chacun des coups féroces qu’Art lui assénait, aussi sauvages et sec étaient-ils en même temps qu’il fourrait son visage à s’acharner sur ses seins, dont il gratifiait de quelques morsures qui laissaient parfois une légère trace rougie. Elle sentait ses couilles pleines venir la claquer également entre ses cuisses, qu’elle tenait à présent bien relevées pour éviter à Art d’avoir à le faire. Il lui remplissait déjà merveilleusement bien sa petite chatte mouillée d’excitation.

Phoenix le laissa volontiers lui ramener ses jambes contre ses épaules, variant l’angle qu’il employait pour pénétrer dans son petit orifice, mais également sa force et sa profondeur. La belle se cambrait parfois pour mieux parer les coups, bien que ses gémissements ne s’étaient toujours pas tus pour ne pas dire étaient à présent plus forts. Elle se mordit la lèvre inférieure lorsque le séduisant jeta un premier regard coquin vers ses yeux bleus, illuminés trahissant un peu trop le fait qu’il la comblait de plaisir. La jolie blonde se contentait uniquement d’accentuer les effets des coups de reins violents d’Art tout en laissant entendre ses cris d’appréciation.

« Ehm oui c’est bon bébé vas-y continue, oui vas-y prends-moi fort bébé… Embrasses-moi » prononça-t-elle alors qu’Art s’emparait avec délice de sa poitrine et également de son cou venait provoquer de légers frissons qui parcourait la demoiselle jusque dans le creux de la colonne. En cet instant, elle avait envie de ses lèvres, juste une fois au moins.

Invité

Le pompier retrouvait enfin les cuisses de la danseuse. Et quel plaisir c'était. Ils s'entendaient à merveille lors de la plus torride des luxure, et leur première rencontre en avait été un bel exemple. Mais il ne vivait pas dans le passé, et comptait bien la faire hurler de plaisir encore plus fort que la dernière fois. Il adorait la complicité qui les liait et il ne se privait vraiment pas pour la bourrez comme il en avait envie. Elle avait un tel minois d'ange prude et virginale alors qu'en fait c'était une sacrée petite cochonne. Il adorait cette dualité apparente et ne se privait pas d'imaginer ce que ses voisins pourraient penser d'elle si ils la connaissaient aussi bien que lui. Nul doute qu'ils étaient loin de se douter que la belle blonde aimait se faire défoncer le cul par la lance d'un pompier viril.

Mmmh chérie tu es bonne...

Art se laissait aller, prenant la belle Phoenix comme sa petite chienne, tout en la respectant infiniment. Seulement là, il était en train de la baiser, et il écoutait ses pulsions ainsi que celles de sa belle. Leurs corps devenaient de plus en plus ardent tandis qu'il se collait contre elle, ne laissant aucun souffle d'air passer. Il adorait sentir le corps chaud et doux de Luxuria contre le sien. Ses muscles épousaient les courbes accueillantes de la danseuse.

Tu la sens...tu la sent bien hein... Hannn...hannn

Il continuait de la pilonner avec de plus en plus de fougue, la besognant avec toujours plus de vigueur et de férocité. La chaleur ne cessait de grimper en flèche. Il adora la voir caresser ses seins et jouer avec devant ses yeux tout en les taquinant de sa langue. C'était ce qu'il appréciait chez elle. Elle savait exactement quoi faire pour l'exciter et le rendre incontrôlable.

Avec plaisir bébé tes lèvres m'ont manquées...

Et il parlait autant de celles du haut que de celles du bas. Il lui sourit et vint l'embrasser langoureusement. Lui mordillant les lèvres, mêlant sa langue à la sienne dans un ballet torride et sensuel à la fois. Son baiser se faisait un peu plus incisif entre chaque coup de reins. L'entendre gémir et couiner comme une petite trainée ne faisait qu'exciter d'avantage le beau mâle qui ne cessait de grogner de plus en plus fort de plaisir.
Art prenait un malin plaisir à prendre possession du corps de la belle danseuse. Il devenait maitre de ses soupirs, de ses gémissements, et il ne se lassait pas de la voir se cambrer sous ses assauts. Il vint glisser un doigt entre les lèvre de Phoenix tandis qu'il lui déboitait la chatte de ses coups de bite bien appuyés. Il lui souriait tandis qu'il lui faisait sucer un doigt, puis un second.

Elle rapprochait ses lèvres pulpeuses des siennes, et la chaleur ne cessait de se faire plus importante à chaque secondes qui passaient et à chaque fois que la distance entre leurs deux bouches se faisaient toujours plus infimes et intimes. Il lui envoya un sourire désarmant, tandis qu’il vint l’embrasser de plus en plus langoureusement, collant son torse musclé contre les seins qui pointaient.

Petite coquine, tu vas prendre cher!

Il avait un grand sourire aux lèvres, venant placer un bras autour des hanches de la belle, sentant ses seins lourds qui vinrent gigoter contre sa peau à chaque va et viens. Il pouvait sentir ses tétons qui venaient frôler son torse à chaque coup de bite. Il se faisait plus bestial encore, plus viril, en lui donnant des coups de reins plus appuyés, pour la prendre encore plus profondément. Ses bourses de nouveau pleines venaient claquer dans un bruit excitant contre ses cuisses. Il grognait de plaisir à l’oreille de son amante. Le jeune homme se montrait de plus en plus fougueux et leurs corps enivrés claquaient de plus en plus sous la force et l'intensité de leur ébat. Il lui léchait la joue animalement, puis lui tenait fermement ses cheveux blonds.

La vue de ce corps de rêve qui ruisselait de leur plaisir, et qui se tendait en offrande, à ses lèvres et à sa queue, ne faisait que le rendre encore plus enragé. Il adorait sentir le corps chaud de Phoenix sous lui, tandis qu'elle respirait de plus en plus vite et qu'elle gémissait de plus en plus fort. De son coté, elle pouvait aisément sentir le plaisir qu'il prenait vu que sa bite devenait encore un peu plus dure et plus large durant leurs ébats sauvages. Son souffle brulant venait mourir contre la nuque de la belle, tandis qu'il la besognait avec toujours plus de fougue. Il décida de varier un peu les plaisir et la retourna sèchement. Il la plaqua avec vigueur, l'emprisonnant entre lui et le sable. Il s'arrangea pour la placer de sorte que son clitoris soit stimulé par les mouvements d'une de ses mains pendant qu'il la défoncerait en levrette. Il laissa ses mains venir serrer sa belle croupe tandis qu'il lui mordillait le cou. Il aimait voir ses seins lourds venir s'écraser contre le sable. Son souffle devenait de plus en plus rapide et éreintant. Il aimait l'entendre crier de plaisir, et il poursuivait de plus belle, la prenant comme une petite pute.

Oohhhh bon sang oui! Prends ça!

Phoenix n’avait pas honte de son corps, ainsi il était peu curieux de savoir que la belle se baladait généralement en petite tenue chez elle, dévoilant parfois quelques parcelle plus intimides de son anatomie. Chose que n’avait pas manqué de remarque quelques voisins masculins qui se rinçait l’œil abondamment qui lorgnaient avec envie les courbes de la belle danseuse. En particulier, celui, âgé de seize ans tout au plus, dont sa fenêtre de chambre donnait tout juste en face du petit balcon à portes françaises vitrées, qui laissait filtrer une douce lumière en matinée, mais surtout qui donnait une vue plein pied des appartements de la demoiselle. Elle s’amusait à penser que ce petit adolescent en rut se masturbait en songeant à elle, sachant bien que malheureusement il ne l’obtiendrait jamais dans son lit puisque Miss Emerson n’en avait rien à faire d’un vulgaire petit enfant et ne voulait en aucun cas tremper dans des sales histoires de détournements de mineurs. Elle se contentait toutefois que de lui adresser un petit sourire, les rares fois où elle s’attardait à savoir s’il l’observait tapis dans sa chambre et que son regard croisait le sien. Oui, Phoenix était aux yeux de ce jeune garçon, cette fameuse voisine somptueuse, mais pourtant inaccessible, qu’il épiait de chez lui la surprenant parfois à moitié nue, ou même en de rare occasion où elle était trop excitée pour fermer les rideaux à s’envoyer en l’air avec un autre homme ou une femme. Provocatrice, Luxuria se plaisait à alimenter ses fantasmes les plus profonds et les plus pervers rien que pour ses yeux à lui.

En général, Phoenix ne ramenait que très peu de conquêtes chez elles, ou plutôt seulement celles dont elle réquisitionnerait leur présence à nouveau, les jugeant suffisamment doués au lit pour en avoir envie encore et encore… La demoiselle était très sélective quant à ses partenaires réguliers et tous avaient un petit quelques chose pour l’allumer comme une chatte en chaleur juste par leur toucher, leur façon de faire l’amour et dans le cas des hommes la stature imposante de leur membre. Malgré cela, les ébats sexuels de Miss Emerson, n’avaient rien de très discrets pour son voisinage tant ses cris et ses gémissements pouvaient être suffisamment forts pour en réveiller les morts. Elle se foutait bien de qui pouvait s’en plaindre, son petit minois d’ange et ses attributs naturels avaient parfois tous ses charmes pour apaiser les voisins en colère qu’elle n’avait jamais eut d’embêtement vraiment très sérieux…

« Ah ouii je la sens, je la sens bien ta grosse queue bébé continu. Oh oui J’aime ça ouiii ! » gémit-elle tout juste avant que les lèvres d’Art viennent cueillir les siennes. Entamant un long baiser que se voulait langoureux et fougueux, un peu comme s’ils étaient avides de chercher à calmer leurs pulsions sexuelles pour l’entremise d’un seul baiser, bien que cela se heurtait bien évidemment à un échec certain.

Lorsqu’Art lui présenta un doigt à sa bouche, Phoenix eut par réflexe d’entrouvrir ses lèvres pour le laisser l’y fourrer à l’intérieur. Elle le regardait alors avec ce petit air un peu salope qui trompait son minois d’ange et s’exerçait à sucer son doigts entier puis les deux doigts à la fois, laissant traîner sa langue dessus de bas en haut provocant de lents aller et venu entre ses lèvres, agissant tout comme s’il s’agissait de la queue d’un homme, en version réduite. Luxuria ne bâclait jamais la tâche, même si elle savait pertinemment bien qu’elle ne tirerait rien de ses doigts, elle savait pourtant que cela excitait probablement Art. Ajoutons au bruit de succion ceux de petits «mhmm» poussés sous la force des coups de queue du séduisant pompier et qui avait la valeur d’amplifier le réalisme de cette fausse fellation. Jamais elle ne le quittait des yeux, et fut satisfaite de voir ce sourire se peindre sur le visage de son amant.

Bien vite, elle troqua les doigts d’Art contre sa langue, tandis qu’elle échangeait avec lui de ces baisers fougueux et passionnés à nouveau. Les yeux fermés, elle avait remonté une main à sa joue tout en prolongeant le baiser tandis que la seconde caressait avidement son dos. Phoenix ne quitta ses lèvres qu’après un long moment, laissant filtrer à nouveau de ces gémissements entiers qui rendaient grâce au plaisir qu’elle prenait à se faire baiser pour un aussi charmant pompier. Elle aimait l’entendre grogner tout près de son oreille, le sentir se coller contre elle, laissant comme seule issue l’union de ces deux corps avides de sexe, avide de se posséder l’un l’autre et jouir de l’extase finale. Luxuria était le genre de femme au lit qui avait toujours besoin de repousser les limites toujours plus loin, tantôt de façon violente et sauvage tantôt de façon tendre et passionné. La belle s’avouait nymphomane et ne rêvait que de sexe. Il n’était pas étonnant de savoir que la majeure partie de ces relations étaient fondées quasi-exclusivement sur le sexe, celui même qui la faisait si souvent grimper aux rideaux. Peut importe l’endroit et l’heure, tout était matière à devenir un dangereux terrain de jeux. Ses ébats pour le moins brutaux la plupart du temps, elle aimait sentir que son ou sa partenaire avait le contrôle des choses et savait exactement ce qu’il fallait faire pour la faire crier et évitait le plus souvent possible ces néophytes plus maladroits qu’autrement.

« Oh ouii ouii, c’est bon ! » gémit-elle à gorge déployée.

Pour éviter de se retrouver le visage dans le sable, Phoenix s’appuya sur ses bras faisant maintenant dos au pompier qui la dominait pourtant de tout son corps puissant. Elle encaissait avec ravissement chacun de ses sauvages coups de triques faisant rougir à vu d’œil son joli petit cul à mesure qu’il s’immisçait en elle. Luxuria gémissait telle une vulgaire petite chatte en chaleur, accompagnant d’une main les mouvements de celle d’Art qui se chargeait de titiller son petit clitoris déjà bien excité et enfler en faisant en sorte d’appuyer un peu plus ses gestes. Ne faisant plus que seulement couiner, la jeune femme criait à qui voulait bien entendre le plaisir démesuré qu’elle prenait à se faire ramoner sans délicatesse chacun de ses orifices par l’imposante et épaisse colonne de chair de beau brun qui disparaissait désormais complètement au creux de ses fesses. Phoenix se cambrait du mieux qu’elle le pouvait, écrasée sous le poids du séduisant pompier qui s’amourachait désormais de son cou, y laissant traîner ses dents avec rage. La jeune danseuse baissa la tête, s’empalant avec envie sur la longue queue d’Art s’en mordant la lèvre inférieure pour mieux rejeter ses cheveux en arrière. Son corps était désormais brûlant, et sa respiration rapide ses faisaient plus saccadée sous certains coups de bassin plus instants que lui offrait Art, de quoi lui rappeler combien sa queue lui avait manquée. Luxuria s’offrait à Art pour la peine, elle savait qu’il ne la décevrait aucunement.

« Ce que t'es doué bébé... j'adore »

Invité

Art adorait entendre sa belle blonde gémir de plaisir et l'encourager de ses regards de chienne excitants qui montraient qu'elle adorait ce qu'il lui faisait. Et que dire de ses lèvres qu'elle mit en scène sur son doigt comme si elle était en train de s'occuper de sa queue. Le pompier se souvenait encore des fellations de Phoenix qui était très douée dans ce domaine. Vu l'envie qu'elle donnait avec un simple doigt, il savait que sa queue réclamerait sa bouche pour une bonne pipe dans la soirée. Mais il avaient tout leur temps.

Prends ça ma salope! Prends tout dans la chatte!

Quelle femme! Art prenait un pied incroyable à prendre Luxuria aussi sauvagement que s'ils étaient des bêtes fauves. Ses griffes qui vinrent se planter dans son corps le fit gémir de plaisir sur un ton très rauque. Il frémit de plaisir en s'enfonçant rudement et profondément en elle. Il n'hésitait pas à lui claquer ses fesses deja rougies par le force de ses coups de bite. Il adorait l'entendre crier de plaisir et il grognait de plus en plus fort, ayant la trique de sa vie tellement elle le faisait bander. Il poussait sur la pointe de ses pieds, non pas pour ne pas faire de bruit, mais bien au contraire, pour la faire crier de plaisir si fort qu'elle en aurait la voix cassée le lendemain. De son coté ses grognement s'étaient mués en cris sauvages et rauques qui ne cessaient de gagner en ampleur à mesure qu'il sentait le corps brulant de Luxuria qui devenait brûlant et perlé de sueur sous ses assaut féroces. Il ne s'arrêtait pas, et ne cessait de prendre une cadence toujours plus rapide. Son souffle ardent venait mourir contre la peau de la belle, ne manquant pas de lui claquer son beau petit cul bien ferme. Il la tenait par les fesses et enfonçait ses serres profondément entre ses cuisses.

Ohhhh oui bon sang hannnn! Prends ça! Ouhhhh!

Art sourit aux paroles de Phoenix montrant qu'elle aimait se faire ramoner la chatte par son pompier adoré. Il comptait bien lui faire hurler. Entre chaque coups de queues, il lui agrippait plus fort les seins. Elle était ruisselante de sueur et de cyprine, et de son coté son corps était devenu eau et musc.

Moi aussi! Tiens ma belle! Tiens! Tiens!

Il ne ménageait pas ses efforts, il voulait qu'elle mouille comme une salope et qu'elle soit prise de tremblements. Il lui caressa la joue du dos de la main, puis lui empoigna sa belle crinière blonde et ria fermement dessus, avant de l'embrasser avec fougue. Il lui embrassa les seins nus, puis les mordit avec envie avant de les soulager en lui léchant langoureusement les tétons. Il les prit finalement en bouche et les lui lécha, les lui suça, les lui mordilla, venant faire rouler ses tétons tendus entre ses dents. Ses doigts venaient se crisper un peu plus fermement contre les fesses de sa belle. Tout en lui défonçant la chatte, il son pouce vint parfois titiller son clito en faisant des cercles. Puis, quand elle commença à s'habituer à ces caresses étonnamment douces par rapport à ses coups de trique, il la laissa s'empaler sur sa grosse et longue queue, d'un coup sec et profond, ne la quittant pas des yeux.

Tu sais à quel point tu es bonne à baiser mon ange? Mmhhh...oh fuck mhhh

Il l'embrassa fougueusement, et sa queue ne cessait de grossir à mesure que leurs corps se pressaient l'un contre l'autre. Il aimait le regard qu'elle lui lança. Celle d'une chienne qui voulait sa bite. Il la plaqua virilement sur le sable et lui pilonna les cuisses, aimant sentir ses seins généreux se tendre sous ses caresses de plus en plus enfiévrées.

Il lui mordilla le lobe de l'oreille, venant la pénétrer vigoureusement, d'un coup sec, lui mordillant les lèvres puis les tétons. Il se sentait bien au chaud au fond de la chatte de la belle, son membre emplissant sans problème l'étau humide et ruisselant de la jeune femme. C'était si bon, qu'il donna des coups de reins vigoureux, lents, mais de plus en plus profonds et appuyés. Il voulait qu'elle ressente au maximum ses coups de rein en elle, tout en la laissant ressentir le manque de celle-ci quand il la retirait entièrement, pour mieux la repénétrer ensuite. Son gland sortait et revenait du vagin de sa belle danseuse, tandis qu'il lui mordillait le cou, laissant sa langue la provoquer un peu plus encore, et ses mains fermes venaient presser plus fermement son joli petit cul. Il poussait des soupirs rauques de plaisir tellement il aimait s'enfoncer en elle.

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