Mystère et bulles de gomme (Phoenix)

Phoenix le mettait dans un état d’excitation très avancé, elle jouait à le provoquer, sachant très bien qu’il ne pouvait plus rien faire pour le moment. Mais il aimait ce petit jeu auxquels ils jouaient, et le regard qu’il lui lançait voulait dire qu’elle le paierait quand le moment serait venu. Quand elle donna des précisions sur son métier, il essaya de chercher dans ses souvenirs pour essayer de voir si il connaissait ce lieu. Il ne connaissait ce cabaret que de nom. Il ne savait pas du tout comment c’était à l’intérieur, mais si toutes les danseuses étaient aussi sexy que Phoenix, il y ferait peut-être un détour, pensa-t-il en secouant légèrement la tête.

Tu as éveillé ma curiosité. Il faudra que tu m’invites à venir te regarder danser. De mon coté je te ferais visiter la caserne avec tous les beaux pompiers en uniformes, si tu veux.

Il rit doucement, se disant que si dans l’imaginaire féminin tous les pompiers étaient canons et musclés, c’était loin d’être le cas. Mais il y avait tout de même d’autres confrères à lui qui avaient du succès auprès des femmes, il n’y avait qu’à lire le courrier que ceux-ci recevaient chaque fois que le calendrier nu sortait, une fois par an. Il se leva à la suite de Phoenix et passa ensuite son bras autour des hanches de la belle brunette. Il lui mordilla les lèvres au passage avant de quitter la station de métro pour ensuite se rendre au centre de relaxation qui n’était pas très loin. Décidément, les choses semblaient bien s’agencer d’elles mêmes ce soir. Il avançait avec la jolie jeune femme à ses bras. Il voyait bien qu’elle était la cible des regards masculins, aussi regardait-il ces hommes qui la matait avec un regard sombre qui voulait bien dire qu’il valait mieux ne pas essayer de venir demander son numéro de téléphone à la jolie donzelle. Il poussa ensuite la porte du centre et se dirigea vers l’accueil. Sur le trajet il n’avait pas hésité à s’arrêter en plein milieu du trottoir pour embrasser Phoenix avec des baisers coquins et des caresses appuyées, pour mieux ensuite s’arrêter dans son élan et reprendre la route. Lui aussi pouvait jouer à l’allumeur après tout.

Nous sommes deux!

Il paya et ensuite il alla dans les vestiaires des hommes, ayant eut bien du mal à se détacher du corps de Phoenix avant de quémander un dernier baiser pour ensuite disparaitre de sa vue. Il n’avait que son boxer pour faire office de maillot de bain. Tant pis, cela ferait bien l’affaire. C’était là tout le sel de faire des choses imprévues. Il retira donc ses autres vêtements et se rendit ensuite à la salle qui leur avait été réservée. Dans celle-ci, ils seraient tranquilles. Le décor était bucolique et zen en plus, ce qui ne gâchait rien. Il se plongea dans le jacuzzi et attendit l’arrivée de la belle brune. Entretemps, il laissa échapper de ses lèvres, alors qu’il avait les yeux fermés.

Ça fait du bien de pouvoir se détendre de la sorte.

Il profitait immédiatement de la chaleur de l'eau qui apaisa ses souffrances. Poussant un léger soupir qui montrait tout son apaisement, il ferma les yeux et se plongeait dans ses pensées savourant simplement ce moment de bonheur intense. Il ressemblait à une véritable boule de nerfs à l'état pur: il suffisait souvent qu'un simple doute envahisse ses pensées pour qu’il se pose alors des milliers de questions comme si sa propre existence en dépendait. Ainsi, ce jacuzzi et surtout, la présence de la belle Phoenix lui apportait la sérénité dont il manquait cruellement dans sa vie quotidienne. Bercé par ce silence reposant que seul le bruit des bulles venait briser, il commençait à s'assoupir tout doucement pour rejoindre ses rêves lorsqu’il entendit un léger bruit qui le fit sursauter légèrement. Puis il la vit arriver et il fut saisit par la beauté de la jolie brunette. Petit à petit il finissait par en voir un peu plus, durant cette soirée, du corps à moitié nu de Phoenix. Il la laissa prendre place avec lui.

Alors dis-moi, ça fait longtemps que tu te trouves dans cette ville?

Art prenait donc note de l’invitation à venir de la belle Phoenix sur son lieu de travail. Il ne doutait pas un instant qu’elle sache lui faire regretter de ne pas s’y être rendu auparavant. Il se disait que vu la façon dont elle avait bougé son corps durant leurs ébats dans le métro, la jeune femme devait très certainement exceller plus encore dans un espace libre et ouvert comme l’était une scène de spectacle. Il avait bien vu une légère lueur coquine quand il évoqua une visite de la caserne, il était fort probable qu’elle devait penser à de nombreux hommes musclés, et virils qui n’attendait qu’elle. Quand il y réfléchissait, une fille aussi canon que la brunette ferait tourner toutes les têtes dans son service et nul doute qu’elle aiguiserait beaucoup d’appétits faisant brandir les lances des chevaliers du feu devant son simple passage, les offrant à la volonté de la belle. Une fois au centre, Art constata que Phoenix était une habituée des centres de relaxation. Ce n’était pas du tout le cas pour lui, et cela se voyait car il eut du mal à trouver les vestiaires.

Il la regarda arriver, les seins étaient en partie découverts, mais pas en leur extrémités ce qui la rendait vraiment très sexy. Il pouvait facilement voir sa poitrine généreuse bouger au rythme de ses pas qui l’amenaient toujours plus près de lui. Elle laissait flotter une impression de féminité rare et assumée. En tant que danseuse, elle avait peut eut tout le temps de développer sa féminité et chacun de lses gestes était raffiné, pensé, calculé, sans pour autant qu’ils ne paraissent forcés. Du moins c’était ce qu’il se disait sans savoir s’il était dans le vrai ou pas. Elle mettait en avant ses atouts qui étaient nombreux, et il ne pouvait résister.

Mais au moment de l’attirer à lui, elle s’échappa de ses griffes pour aller vers le mini bar. Une initiative accueillit par un grand sourire de la part du pompier. Tout en elle faisait penser à une tigresse, un corps racé et sexy, une crinière brune qui donnait envie de l’agripper pour des ébats intenses et torrides. Il put admirer la belle chute de rein de Phoenix, et son beau petit cul. Il ne s’en lassait pas de regarder ses belles fesses. Ce qui lui rappela qu’elle était danseuse et que ce devait expliquer sa plastique de rêve. Puis il trinqua avec elle, lorsque son verre vint à la rencontre du sien.

Moi cela fait un peu plus longtemps, mais j’aime aussi cette ville. Elle est devenue ma ville d’adoption. Il y a toujours quelque chose à faire.

Il la fixait avec un grand sourire charmeur, et un regard intense. Puis il lui posa une question qu’il s’était posé quand elle lui avait parlé de son métier. Non pas qu’il trouve le métier de danseuse dégradant, mais bien souvent, c’était un métier qui ne pouvait pas durer très longtemps, la beauté fanait vite et les patrons ne se gênaient jamais pour remplacer leurs danseuses par des modèles plus jeunes.

Tu es danseuse par passion ou pour ramasser de l’argent et faire autre chose après?

Dit-il en lui souriant, venant boire une gorgée de la coupe de champagne qu’il tenait dans sa main. Le précieux liquide dansait dans sa bouche, réveillant ses papilles et ses appétits pour la jeune femme qui semblait elle, le jauger, ou plutôt, le faire languir à dessein. Cela ne le dérangeait pas, il aimait qu’une femme soit plurielle, ait plusieurs facettes et réussisse à le surprendre pour rendre la suite toujours plus imprévue et donc, excitante. il devait tempérer son envie comme un vin qu’on gardait en bouche pour mieux le savourer. Cependant, il savait qu’il ne pourrait plus tenir bien longtemps, et tout deux semblaient arriver à maturation. L’ambiance était détendue, et il prenait beaucoup de plaisir en la compagnie de la belle danseuse.

Puis il vit une goutte d’eau qui se glissa dans le creux de ses seins. Il regarda cette goutte qui s’engouffrait par un sentier sinueux qui le rendit jaloux. L’espace d’un instant il s’imaginait en train de parcourir le même trajet, mais de sa langue tendue. Ses seins étaient presque visible dans leur entier, mais il voulait en voir plus. Il voulait voir ces vallées qui se dressaient fièrement, voir ses auréoles brune et ses tétons gonflés. Son regard fixa cette goutte qui s’écoulait le long d’un rivage impétueux et doux comme une rivière entre deux val. Il ne cachait même pas l’objet de son observation sachant qu’elle ne s’en offusquerait pas vu leurs ébats d’il y avait quelques instants auparavant. Puis il la regarda de nouveau dans les yeux, un sourire au coin des lèvres.

Art était un courant d'air, inaccessible et imprévisible, cela ne l'empêchait pas d'être la proie du vent qui pouvait parfois le prendre dans ses filets et le jeter comme une boule de papier, sur la route d'une autre personne. Après avoir fugué ne s’était jamais posé quelque part. Il avait enchainé les jobs mal payés et pas mal de bagarres diverses et variées. Des coups parfois mérités, mais pas toujours. Le pompier n’était rien, n’avait rien, si ce n’était son éthique de vie que peu de personnes pouvaient comprendre vu de l’extérieur. Il n’avait rien et pourtant on le jalousait. Le voyageur ne mettait jamais de barrière entre lui et les gens. Soit il les laissait s’approcher, soit il les chassait, mais il ne faisait pas de juste milieu. Le consensus était une notion qui lui était inconnue

Difficile à dire, j’ai été dans beaucoup de villes différentes, vivant de petits boulots. Mais je suis originaire de New York. Et toi?

Les habitants de cette ville ne savaient que dire, envieux qu’ils étaient de cette liberté qu’il affichait et que sa vie de bohème avait longuement prôné. Cette envie d’appartenance à un groupe, à une famille soudée, qui ne pouvait pas désirer une telle chose. Art tout simplement, parce que le modèle familial qu’on lui avait proposé était un père violent et une mère défunte alors qu’il était jeune. La solitude était un état d’esprit, et rien n’interdisait à Art de se sentir seul en pleine foule ou solidaire comme le doigt d’une seule main. Il regardait parfois la foule de costars cravates qui se pressaient à l’heure de pointe pour aller travailler. Combien d’entre eux auraient voulus retirer cravate, chignons et talons aiguilles? La société était ainsi faite que la plupart des gens ne voyaient pas qu’il leur suffisait de le vouloir pour changer leur vie, mais ils ne tenaient pas à perdre leur confort. Le regard du pompier se reporta sur celui de la belle brune qui parlait avec passion de sa profession. En cela ils se ressemblaient, ils étaient portés par un élan de liberté, et de plaisir.

Il sentait une blessure et une nostalgie quand elle évoquait sa mère, et il ne voulut pas appuyer sur la plaie. Lui-même, avait des souvenirs douloureux de sa mère morte très tôt. Il ne l’avait pas bien connue, mais il lui restait quelques images, un parfum, le peu de douceur et de tendresse qu’il avait pu éprouver dans son enfance, venait d’elle et d’elle seule, pas de son alcoolique et violent de paternel.

Pouvoir vivre de sa passion c’est le paradis sur terre, il ne faut surtout pas changer ça.

Lui dit-il en souriant. Elle s’était rapprochée dangereusement de lui, une distance qu’ il ne laissait pas dépasser s’il ne le souhaitait pas. Son regard croisa le sien et s’arrêta un instant dans les yeux clairs de Phoenix, un simple regard qui ne s’expliquait pas pourquoi celui-ci était différent des autres. Elle pouvait sentir qu’il portait bel et bien son boxer mais qu’il était bien tendu, puisqu’il bandait en ce moment. La vue de l’un de ses seins entièrement dénudés, et la chaleur torride et pesante de son souffle contre sa peau et de ses regards à son encontre ne faisaient que le chauffer et l’exciter d’avantage. A ce rythme-là, il ne tarderait pas à lui sauter dessus. Le désir voyageait dans ses veines comme une braise dans des cendres et il prolongea le baiser rageur qu’elle lui jetait à la face. Violent comme une gifle, intense comme la félicité, un de ces baisers qui ne pouvait laisser indiffèrent. Son regard prit l'oblique, pour venir admirer un moment une superbe paire de seins, qu’il dévoila d’ailleurs en poussant de lui-même les mèches superflues. Il se régala de la vue qu’elle offrait alors.

La jeune femme au visage d’ange avait parfois tout de la diablesse lorsque l’écrin de la luxure et de l’envie venait se refermer sur eux. Son regard dériva sur les berges fragiles du monde réel qui les entourait, mais ne cessait de revenir vers Phoenix. Elle avait un coté virginal, angélique, qu’il savait pourtant n’être qu’apparence car elle était une sacrée sauvageonne au luit et il aimait également la prendre en petite chienne. Mais la regarder d’un œil extérieur lui donnait parfois l’impression d’admirer un ange aux ailes de glace qui dessinait un chemin vers un paradis inaccessible sauf pour ceux qu’elles auraient pris sous sa coupe, ou sous sa croupe peut-être, pour son cas à lui. Ses yeux se plissèrent et une lueur rieuse naquit dans ses pupilles. Il vint alors l’embrasser pour l’embraser.

Il l’embrassa et ne cessa pas ce baiser torride laissant sa langue découvrir sa jumelle dans une danse lascive et sauvage, et qui serpentait entre ses lèvres, léchant et suçant sa langue. Le baiser était intense, torride, sulfureux. Dans la complicité du lieu ils dessinaient et créaient leur propre liberté. Sa queue durcissait peu à peu, alors que ses mains se changeaient en serre puissantes et avides, et venaient presser le superbe petit cul de Phoenix. Il sourit en sentant le string à volet de la belle brunette.

Il souriait parce qu’il se rendait compte que s’il n’avait pas vraiment réussit à mettre une origine à Phoenix, c’était qu’elle était le fruit d’un beau métissage. Il avait appris avec l’expérience que les plus jolies femmes étaient souvent métissées d’origines très diverses et cela aurait pu aider les gens à dépasser leur mentalité de toujours rester entre eux. Mais il n’était pas ethnologue, loin de là, et ce qui lui plaisait particulièrement, c’était l’idée qu’un australien et une brésilienne aient eut le bonheur d’enfanter une fille aussi canon.

Il aimait l’entendre rire. C’était un rire qui n’agressait pas l’oreille comme ceux des pimbèches qu’il croisait parfois. C’est vrai qu’en général, il ne sortait pas avec pour le son de leur rire, voire même de leur voix, mais plutôt pour leurs fesses, mais Art devait bien avouer que Phoenix donnait envie de prendre son temps, de s’occuper d’elle mieux qu’il ne le faisait en général avec les femmes. Effectivement, l’idée de toucher ses seins lui traversait l’esprit depuis un moment et il les caressa en venant lui mordiller le coin des lèvres. Quand ils s’échangèrent le baiser passionné et fougueux, il passait sensuellement la langue sur ses lèvres afin de récupérer les quelques gouttes de champagne qui parfumait ses lèvres.

Si Art aimait dominer dans les ébats, il n’était pas contre les initiatives et le fait qu’elle prenne les choses en main, et notamment sa queue, était vraiment un plaisir pour lui. Il adorait sentir sa main qui passait sur sa bite qui devenait plus longue et épaisse sous la branlette experte de la brunette. Il soupirait de plaisir, adorant la sentir s’occuper ainsi de son membre. Lui, venait étouffer ses soupirs de plaisir en venant embrasser ses seins. Il pouvait enfin les gouter et il ne s’en priva pas. Puis il eut une idée et l’embrassa langoureusement, venant lui donner une petite fessée coquine sur les fesses. Il se retira du jacuzzi, entièrement nu, l’eau coulait sur son corps, rendant sa peau luisante comme s’il avait été enduit d’huile, ce qui mettait ses muscles en valeur. Il se dirigea vers le mini bar, et il sortit la bouteille de champagne ouverte. Et il revint se glisser dans le jacuzzi, revenant se coller contre Phoenix, sauf qu’en chemin, elle avait pu voir qu’il était nu à présent, il ne portait plus de boxer.

Je souhaiterais porter un toast!

Il versa le liquide mousseux. Il y avait évidemment beaucoup d’ambivalence à voir une bouteille de champagne déverser son flot liquide et impétueux. Il offrit un joli sourire. Il prit de nouveau la bouteille de champagne, et en bu une gorgée en ne la quittant pas du regard. Puis il laissa la bouteille froide venir se placer entre les seins de la jeune femme. Il laissa le froid venir mordre la peau de la belle, dans une étreinte de glace subtile. Puis il se décida à retourner la bouteille pour verser de la champagne sur les seins de celle-ci. Il laissa le contenu du liquide venir se répandre sur la poitrine de la danseuse, sans pour autant vider tout le contenu. Il vint ensuite lui embrasser les seins, laissant ses lèvres s’imbiber de la boisson qui imprimait sa peau. Il laissa sa langue venir récolter chaque parcelle de champagne qui baignait sur les seins de la jeune femme, passant sa langue partout où il le pouvait, n’épargnant aucune parcelle de peau de ses seins, que ce soit la partie sous le pli de ses seins, ou celle qui se trouve entre eux deux.

A cette belle soirée!

Voilà qui était une façon originale de porter un toast... Il s'attaqua à la belle poitrine de la jolie brune, ne délaissant pas une seule partie de sa peau, sa langue venant la lécher avec insistance par endroits, notamment quand il approchait ses tétons qui pointaient. Elle avait repris sa queue en main apparemment et cela l’excita un peu plus encore à chaque secondes. L’envie ne cessait de croitre en lui, et pas seulement ça, comme pouvait le prouver ce qu’elle sentait grossir entre ses doigts. Elle voulait le faire céder, et cela fonctionnait à merveille. Il décida à retirer string de la belle, venant la serrer contre lui, libérant son joli petit cul du dernier tissu qui lui restait. Il voyait avec un plaisir évident, ses fesses parfaites qui s’offraient à sa vue et à ses envies l’espace d’un instant avant qu’elles ne replongent dans l’eau. Il vint les prendre en main et les pressa fermement avec envie, venant mordiller ses tétons, jusqu’à l’extrême limite de la douleur. Il tentait à son tour de la rendre folle d’envie et de plaisir.

Art sourit en voyant le regard de la belle Phoenix qui indiquait les transats. Il lui adressa un petit clin d’œil pour lui dire qu’il trouvait son idée excellente. Mais il n’en avait pas fini avec elle. Il savait qu’elle avait très envie qu’il s’immisce en elle. Mais elle devait être punie au préalable pour la provocation et la douce torture qu’elle lui avait infligée peu auparavant. Il se redressa donc, venant la porter dans ses bras musclés et les mena jusqu’aux transats. Là, il l’allongea sur le ventre et lui caressa le ventre tout en venant s’allonger à moitié contre elle, la laissant sentir la dureté et la chaleur de sa queue qui glissait le long du ventre plat de la belle, puis de sa cuisse brulante.

La vengeance à sonné ma belle…

Murmura t-il au creux de l'oreille de la belle danseuse, venant lui mordiller les lèvres avant qu'elle ne réponde, ses mains venant lui caresser sa belle petite chatte qu'il sentait très humide. Il lui caressa les seins avec douceur, puis de plus en plus coquinement, venant parfois les lui écraser doucement entre ses doigts.

Ses lèvres déposèrent des baisers parfois doux, parfois coquins, pour arriver à ses seins. Ses mains se contentaient pour le moment, de venir tenir les siennes pour ne pas qu’elle puisse faire autre chose que subir la douce torture du pompier.

Sa langue se fit coquine, léchant chaque parcelle de peau de sa poitrine, épargnant par jeu son téton. Il voulait qu’elle soit brulante d’envie. Son téton se tendait de plus en plus et il se refusait pour le moment à la soulager. Son sein était plus que tendu et il la laissa en l’état, venant faire exactement le même numéro avec son autre sein. Pour ne pas laisser partir la pression, il lui titillait le sein libre du bout des doigts, évitant toujours son téton. Sa langue suçait et léchait chaque millimètre de peau de la poitrine de sa femme. Puis, d’un coup brusque, il fit rouler un de ses tétons entre ses dents et l’autre, entre ses doigts, le tout, au même instant.

Il aimait la sentir réagir avec autant d’envie et il sourit en voyant le corps de la belle danseuse qui tremblait de plaisir. Lui-même, le spectacle ne le laissait pas indifférent, et une érection se formait. Il descendit la ligne invisible qui allait de ses seins jusqu’à sa chatte. Sa langue léchait, ses dents mordillaient, ses lèvres embrassaient, chaque parcelle du corps de la brunette, venant s’attarder un moment à son nombril. Sa langue fit des va et viens suggestifs, pendant qu’il la regardait en faisant cela. Il lui offrit un sourire malicieux, voulant dire qu’il n’en avait pas encore finit avec elle. Ses mains venaient lui caresser les seins, puis les cuisses. Ils décrivaient des sillons érotiques. Puis il descendit pour le terminus. Il déposa quelques baisers sur sa petite chatte.

Puis il descendit son visage entre ses cuisses, venant poser ses jambes de chaque coté de ses larges épaules. Il commença par donner de petits coups de langue vifs, mais évanescents, la laissant le désirer encore plus. Puis il donna un large coup de langue qui remonta tout le long de sa petite fente. Il recommença plusieurs fois, parfois lentement, parfois plus rapidement, parfois de façon plus appuyée. Sa langue serpentait entre les plis de son intimité, n’épargnant aucune parcelle de peau. Lentement, sa langue découvrit son clitoris, qu’il sentait des plus gonflé. Il commença alors à venir le titiller du plat, puis du pointu de la langue. Après quelques instants de ce traitement, il lui caressa les seins en même temps, lui titillant les tétons à l’instant même où il laissa sa langue pénétrer le sexe de la belle brune bandante. Quelle onctueuse torture il lui faisait subir.

Art sourit en entendant la rédition relative de Phoenix, et il donna un dernier coup de langue sur l’intimité de la danseuse, alors qu’il remontait son corps de baisers plus ou moins appuyés. Il lui souriait, adorant la vue qu’il avait eu, que cela soit le corps tremblant de plaisir de la belle brune, ou sa petite chatte qui s’offrait à lui. Mais à présent, il voulait que ce soit plus sauvage, plus fougueux, et elle pouvait le lire dans son regard.

Phoenix, j’arrive belle ange…

Il sourit en la regardant avec intensité, l’éclat de ses yeux venant transpercés ceux de la belle brune. Il vint lui mordiller les lèvres, et sans attendre plus longtemps, il s’enfonça entre les cuisses de la brunette. Il la tenait par les hanches, remonta vers ses seins, passa ses mains par le dessus puis caressa les pointes de sa poitrine qu’il pressa fermement en ne la quittant pas des yeux. Il se redressa un instant pour venir saisir ses lèvres et il l’amena à lui pour l’embrasser avec fougue.

Il venait par moment griffer ses cuisses ou ses fesses, ou mordiller son cou, puis ses épaules. Il avait un corps qui ne demandait qu’à la plaisir et la satisfaire et ces muscles puissants comptaient bien lui montrer ce que se faire prendre sauvagement et en avoir plein la chatte voulait dire. Art devait admettre qu’elle qu’elle le rendait dingue d’excitation et elle l’avait attiré comme un taureau et ce n’est pas ses cornes qui allaient empaler la jolie Phoenix, mais sa queue de taureau. Il y mettrait la même fougue qu’une corrida et elle finirait par lâcher le drapeau montrant qu’elle baissait les armes. Il laissait ses mains douces et sa poigne ferme, venir enserrer ses tétons, les pinçant, puis les caressant, alors qu’il plongeait ses griffes dans ses fesses, aimant sentir le petit cul ferme et rebondi de la jolie brune. Un tel corps c’était indécent, elle pouvait le faire bander rien qu’en se collant à peine à lui, il le savait. La tigresse voulait que son tigre vienne la contenter et il pressa plus fermement son corps puissant contre le sien, donnant de léger coups de reins , ses tablettes de chocolat venant secouer le corps parfait de la danseuse. Il grognait d’un son de gorge, tellement cette femme avide de sa queue lui donnait envie de la retourner et de la plier en deux, de lui faire tout mais absolument tout ce qu’il avait en tête.

Tu es vraiment une succube en fait. Avoue tu va me vider de toute mon énergie dans une baise de folie!

Il l’embrassa langoureusement et commença à donner de puissants coups de reins en elle. En même temps il la goûtait, la suçait, la léchait, la mordillait et quand elle croyait savoir ce dont il était capable, il changeait du tout au tout, variant les caresses, les mélangeant parfois, les combinant à d’autres. Il n’avait qu’une intention, la rendre si avide de sa queue qu’elle finirait par ne jamais avoir eu autant envie de se faire prendre. Il jouait au tentateur, et il y prenait plaisir.

Il la regardait avec intensité, pour la rendre toute chose, comme si il était le diable tentateur et qu'un simple petit regard pouvait la faire jouir. I l ne voulait qu'elle en cet instant, sa queue le témoignait très bien, sa bite si dure glissait sur la peau de ses cuisses, c'était tout simplement aphrodisiaque. Il voulait qu'elle hurle de plaisir et que lui aussi. Les gémissements de sa belle brune l’excitait tout autant que les coups de reins qui imprimait fougueusement en elle. Il ne la quittait pas du regard, adorant se plonger dans ses yeux de chat. Elle poussait sur lui pour qu’il la prenne encore plus profondément et il répondait à cet appel avec plaisir. Oui si les autres clients venaient se plaindre du bruit ou si les employés venaient pour leur demander de faire l’amour ailleurs il les pousserait sans vergogne pour continuer à la prendre encore. Art dévorait le lobe de la belle brune alors qu’elle resserrait ses cuisses dans son dos pour le garder contre elle. Lui qui ne demandait qu’à la faire gémir. Il aimait l’entendre soupirer et son corps venir se presser contre le sien. Elle avait un corps plus brûlant que la lave, et il lui pressa les fesses plus fermement, venant y donner une nouvelle claque coquine, voulant la rendre dingue. Il la chauffait de plus en plus, et il pouvait sentir qu’elle devenait de plus en plus déchaînée et qu’il avait tellement attendu avant de la prendre qu’il sentait que ses bourses viendraient lui rappeler qu’elles étaient pleines à cause de cette jolie déesse du sexe, et qu’elles allaient le lui dire. Il lâcha parfois quelques soupirs à se sentir si pressé contre sa peau, sentir ses caresses sur son dos et ses abdos, qui se dessinaient contre le ventre plat de la belle.Tant de désir était presque incroyable. Il la voulait tellement que ça transpirait dans son regard. Ses caresses et ses coups de reins, la marquait au fer rouge sur sa peau mat et brillante de tant de désir. Il se mit alors à sourire coquinement en sentant son excitation avoir encore de la marge et il redoubla d’effort dans ses mouvements de bassin.

Te prendre encore et encore, ce n’est pas une pensée qui pourrait m’effrayer, bien au contraire, j’en redemande.

Dit-il en souriant, venant l’embrasser langoureusement au passage, puis il murmura de sa voix suave au creux de son oreille qu’il mordilla. Il lécha la peau de son épaule comme la redécouvrant chaque fois un peu plus, ses dents râpant parfois sa peau à chaque fois qu'elle augmentait son désir par ses caresses. Il donnait des coups de langue sur ses seins ou ses bras la pressant contre lui.

Et puis je me dis que si jamais je suis trop mal-en-point, je te demanderais de te déguiser en infirmière et je profiterais de tes petits soins.

Plaisanta-t-il. Art venait de la marquer de ses lèvres d’une petite morsure de son menton, et il lui lécha ensuite la peau, son envie de sa belle féline et de son corps était si fort qu’il avait du mal à ne pas la mordre partout. Le désir était animal et sauvage, alors qu’il soupirait d’aise en la sentant se coller un peu plus à lui et enfin il se laissa aller et la pénétra, ou plutôt la perfora tellement il avait donné de puissance à son coup de rein. Elle semblait presque tomber à la renverse au sens propre comme au figuré et il remit sa tête entre ses seins pour les mordiller, les sentant ballotter sur son visage alors qu’il donnait de vigoureux coups de queue à la belle danseuse. Ses doigts se crispaient plus fermement dans le corps de rêve de Phoenix. Art adorait la prendre sauvagement comme là, se laissant totalement aller, alors qu’elle l’encourageait de ce regard coquin. Il adorait ces yeux qui l’appelaient à la luxure, à aller encore plus fort, ce qu’il fit. Il coulissait avec vigueur entre ses cuisses. La puissance des muscles du pompier était à l’œuvre et de véritables coups de butoir venait la soulever à chaque coup de bassin. Son front se perlait un peu de sueur alors qu’il laissa des râles légers mais profonds, se faire entendre, ses bourses venant cogner sans vergogne contre les cuisses brûlantes de la brunette. Art l’embrassait avec fougue et passion, sauvagement et passionnément lors qu’elle gémissait de vive voix ce qui le ravit et l’excita un peu plus encore, y allant bien plus sévèrement encore. Sa grosse queue venait s’enfoncer en elle avec tellement de sauvagerie et profondément qu’elle n’aurait plus su dire si il se trouvait dedans ou dehors, il avait l’air de tout le temps être en elle. De son côté, le plaisir se faisait de plus en plus sentir et il grogna plus fortement qu’avant. Quelle délice sa belle Phoenix. Il grognait complètement vu le désir qui lui coupait le souffle et le rendait plus avide que le mot avide ne peut signifier un désir intense, son regard devenait véritablement avide d’un plaisir partagé et intense.

Il soupira son prénom sensuellement quand il vint lécher le lobe de son oreille, resserrant ses bras musclés autour de la taille de sa brune pour pouvoir aventurer sa langue sur le creux de son cou. Il poussa un gémissement de plaisir en resserrant encore son étreinte. Il devenait de plus en plus intenable, comme si ses bas instincts animaux reprenaient le dessus. Oh oui il a envie, tellement envie que ça la brule de l'intérieur et qu’il lui bourrait sa petite chatte avec plus de vigueur encore.

Phoenix en tenue d’infirmières, avec des bas et des portes jarretelles. C’était une vision de rêve et si jamais elle se prêtait au jeu un de ces jours, elle saurait d’avance que Art apprécierait et pas qu’un peu. C’était également un grand amateur de lingerie féminine. Il adorait voir un corps parfait comme celui de la danseuse, moulé dans de la dentelle ou de la soie.

Mmhhh alors je suis entre de bonnes mains…Vu comment tu es as le corps brûlant, j’imagine un peu comment c’est à l’intérieur hmm. Tu m’excites trop!

Il sourit et vint l’embrasser langoureusement. Il aimait beaucoup les caresses qu’elle lui prodiguait, tantôt coquines au possible, tantôt très tendre. Il est vrai que pour le moment il ne mettait pas à profit la souplesse de Phoenix, mais cela viendrait certainement plus tard. Après tout, ils avaient la nuit devant eux. Il n’avait pas envie d’agir comme un homme qui voulait changer leurs ébats en une sorte d’exercice de style. Il voulait juste qu’ils se donnent du plaisir et qu’ils varient les positions et les envies au fur et à mesure.

Il la serra un peu plus dans ses bras, quand elle lui caressa les cheveux, pour l'avoir un peu plus contre sa peau, ses yeux clos par le plaisir, alors qu’il ne cessait de frissonner complètement sous ses caresses. Il s'amusait à la titiller de telle sorte qu'elle en soit complétement déconcentrée, assez pour se laissait complètement faire par lui. Son désir était complétement bestial et sa façon de se coller à elle, de plaquer son torse musclé contre ses seins fermes le montraient bien. Il sentait bien que sous la puissance de ses coups de reins, elle resserrait ses cuisses pour le faire se sentir encore plus à l’étroit. Il en voulait encore, toujours plus, c'était tellement bon, comment faire autrement après tout. Il se cambra alors un peu plus sous ses caresses, profitant alors de ses lèvres sur lui, ses soupirs de plaisir se faisant de plus en plus fort. Il ne pouvait s'empêcher de la griffer et de lui mordre les lèvres tant le plaisir était déjà bel et bien présent. Il ne la quittait pas des yeux, lui souriait tendrement, et il se remit à l’assaillir avec les assauts de sa queue en elle avec une violence qu'elle ne devait que rarement avoir connue et qui bizarrement n’avait pour but que de la faire trembler de plaisir. Il l’appelait de ses coups de queues en elle, bougeant encore plus sensuellement, gardant la provocation comme marque de fabrique. Il repassa ses deux mains contre ses hanches, l’entourant de ses bras musclés comme pour se maintenir à quelque chose et et appuyer un peu plus encore ses coups de triques. Il étouffa ses cris de plus en plus intenses de plaisir en l'embrassant plus torride ment et encore plus passionnément, laissant sa langue se mêler à la sienne pour ne plus se détacher, ses lèvres capturant parfois une de ses siennes pour la sucer, la lécher ou la mordiller pour finalement revenir l'embrasser goulument et avec une envie qui ne cessait de grandir planter sa grosse queue en elle, Il n'en devenait que plus chaud, il y avait tellement de sauvagerie en lui que cette baise n'allait Allait être intense. Il sentit qu'elle glissa une main sur sa taille pour l'avoir encore plus en elle, et il laissa sa langue descendre finalement pour dévorer son cou, le haut de ses seins. Il voulait son corps et il la possédait.

Hmmmm Phoenix ohhh mon bel oiseau de feu

Il prenait la belle danseuse avec une intensité rare et lui-même n’arrivait pas à croire toute la sauvagerie avec laquelle il pénétrait la belle brune. Il laissait ses mains fermement ancrer sur son beau petit cul ferme et il la souleva pour échanger les positions afin qu’il se retrouve allongé sur le transat et qu’elle se trouve assise sur lui. Il l’aidait dans ses gestes, la faisant se soulever pour mieux la laisser retomber et s’empaler sur sa grosse bite. Il avait très chaud tellement elle lui mettait la fièvre, lui donnait envie de la perforer en deux sous ses coups de butoir. Il n’en avait jamais assez et alors qu’il faisait entrer l’entier de sa grosse matraque, il ne cessait de vouloir retourner tout au fond de sa petite chatte pour ne pas qu’elle soit privée d’une seule seconde de sa grosse pine. Il la regardait avec des yeux voilés par le plaisir intense et bestial qu’il y avait dans cette baise des plus acharnée, comme si sa vie en dépendait. Il venait coulisser entre ses cuisses brûlantes avec la plus grande des passions, la regardant le chauffer avec ces yeux de biche et de provocatrice. Il aurait pu croire avoir une chienne affamée de bite qui demandait d’en prendre encore plus. Il la contenta d’ailleurs en accélérant un peu plus encore ses coups de rein, qui venait la soulever à chaque fois. Puis il souffla entre deux grognements de plaisir.

Empale toi sur ma queue et déchaine toi mon ange!

Qu’est ce qui te dit que ce n’est pas déjà le cas ?

Répondit-il avec malice, avant de laisser un nouveau râle plaisir lui échapper. C’était si intense et puissant comme sensations. Il était plus que troublé par cette baise, et reprit un peu ses esprits pour lui montrer qu'il ne la considérait pas comme une garce parmi tant d'autre qu'il pouvait baisé ainsi, mais comme une amante sublime dont il appréciait beaucoup la personnalité passionnée en plus de son corps de rêve. Puis les positions furent inversées et Phoenix pouvait ainsi trôner en reine de la jouissance sur une épée robuste et épaisse de chair.

Oh oui il prenait son pied et comme jamais, le plaisir bestial et passionnel. Il soutenait son regard, Il sourit de plaisir alors qu’elle ondulait plus fortement son bassin et il la regardait intensément comme s’il voulait encore et toujours de la baise, que ça continue et que ça ne s'arrête plus, plus jamais! Les mains de Art vinrent se crisper sur son dos pour venir ensuite lui saisir fermement les fesses. Le souffle court, il n'arrivait même plus à gémir, entre ses doigts et sa petite chatte, il était servi par le plaisir et finit par crier son plaisir en ne cessant de l'appeler, sa chatte brulante le rendant encore plus fort de sensations. Le beau pompier ténébreux laissa son regard fixé dans le sien, l’appelant pour toujours plus de plaisir.

Mmmhh oh oui baby…hannnn…hannn …chevauche moi comme une furie enragée…mhhh

Il ne restait pas inactive et accompagnait ses gestes, ce qui le rendit un peu plus fou de désir, sentant sa bite sur le point d’exploser tellement elle brûlait de plaisir. Il respirait un peu plus fort et ses grognements se faisaient bien plus rauques et bas, alors qu’il lui léchait les lèvres. Il la fixait comme pour lui dire que c’était loin d’être fini. Son énorme gland venait à chaque fois se retirer presque entièrement de sa petite chatte avant d’y replonger aussi vite. Elle jouait à l’exciter à mort et elle y réussissait sans peine.

Rien ne pourrait le détourner d'elle, elle était tellement au-dessus de tout, qu'il n'imaginait pas autre chose que toute la nuit avec cette déesse du sexe. Il lui mordilla les lèvres, les redessinant avec délice, ses mains venant remonter son dos, puis ses cuisses, y laissant de longs sillons sensuels et provocateurs en même temps. Il sourit en entendant ses soupirs et les siens qui se mélangeaient. Il la regardait avec une lueur dans les yeux, cette promesse implicite qu’elle allait en prendre plein ses petits orifices. Il réussit par une fois à venir se saisir d’elle, et il l'embrassa avec fougue, et lui suça la langue par provocation. Ils y mettaient de la passion, de la fougue, et de l'intensité. Elle savait le rendre fou.

La vue était superbe sur ses seins et son visage. Ses mouvements de bassin faisaient balloter ses beaux seins dans un mouvement hypnotique et excitant pour le pompier, alors que ses doigts se crispèrent avec force sur les jolies petites fesses de la brunette. Il vint même donner une nouvelle claque coquine à cette belle danseuse, tellement il était excité. Il venait de libérer sa belle tigresse et il en prenait pour son grade. Il lui dévorait la gorge puis les seins, venant même les mordre, se faisant pardonner en les suçant juste après. Mais la belle ne le laissait pas faire facilement et cela le fit sourire de plaisir.

Il était en train de prendre son pied comme rarement, voire même jamais, elle était tellement hot, tellement intense, tellement chaude, qu'il en avait la queue qui suppliait presque que ça ne s'arrête jamais. Il adorait cette sensation de lui enfoncer des coups de burin dans sa petite chatte humide et si accueillante alors que c’était elle qui donnait le rythme et imposait une cadence folle et grisante. Il la regardait avec le souffle court et les yeux totalement brouillés par le plaisir, grognant doucement son prénom, souriant de plaisir tellement c'était bon, la baise avec elle. Il venait parfois lécher le corps parfait de cette déesse du sexe, alors qu'il la sentait tressaillir sous ses coup de butoir. Art la soulevait de ses bras sur ses fesses ,venant l’aider à faire coulisser son énorme queue dans le petit minou avide de la jolie brunette. Il ne cessait de fixer les courbes de son corps, et cela le faisait bander un peu plus encore. Elle pouvait peut être s'étonné de le sentir encore grossir en elle, alors qu'il ne s'étonnait plus de rien avec elle, car elle le faisait se dépasser, et sentir sa queue se gonfler un peu plus, il trouvait ça normal tellement elle faisait monter le jus en lui. Il adorait la voir gémir et se s’agiter comme une forcenée sur son membre.


Ohhhh Phoenix ouiii mon bébé...han...

Phoenix lui donnait toutes les envies, que ce soit de la défoncer bestialement comme une chienne pour venir jouir ensuite sur son visage, ou alors de lui faire l’amour tendrement en la remerciant d’un baiser final, et toutes les variantes entre ces deux extrêmes. Tout cela tournait dans sa tête et l’excitait, sa queue bien épaisse et longue pouvait en témoigner. Et le fait de la voir jouer avec son anus faisait pencher la balance vers la première solution. Elle était comblée des deux côtés et semblait en retirer beaucoup de plaisir. Peut-être qu’un jour il l‘emmènerait à la caserne et demanderait à un de ses potes de venir pour prendre la belle brunette à deux…voire plus…mais pour le moment. Peut-être également qu’elle le mènerait dans une salle avec des copines danseuses à elle qui s’occuperaient de lui ensembles. Puis il chassa ces pensées de son esprit, pour le moment, il n’avait pas envie de partagé et il la voulait sienne et chienne. Il frémit de plaisir car elle avait un corps sublime et qu’il aimait l’entendre soupirer si fort et se cambrer tout autant.

Il grognait un peu plus comme un fauve devant cette baise qui était des plus intenses et des plus jouissives. Elle arrivait à lui durcir la queue à un point tel que c’était hallucinant. Sa bite ne cessait de coulisser entre ses cuisses accueillantes et brûlantes, sentant la mouille qui venait recouvrir sa grosse pine à chaque geste. C’était vraiment trop bon et il décida de la rendre un peu plus dingue encore. La tournant sans douceur, il eut une jolie vue sur son superbe petit cul qui était tendu en arrière et qu’elle titillait devant lui a présent, semblant préparer son anus pour lui ce qui le fit sourire. Il aimait beaucoup ce geste qu’elle fit. Le fait qu’elle hurle à briser les verres et les vitres le grisait et il criait de concert, grognant de plaisir sur un ton de plus en plus rauque et animal. Puis il laissa une de ses mains venir titiller le clitoris de Phoenix qui avait maintenant sa petite chatte, son clito et son anus d’occupés.

Mon bébé je vais t’enculer j’en ai trop envie…

Il lui sourit et vint l’embrasser fougueusement. Puis il fit basculer Phoenix sur le côté, la mettant à présent allongée sur les transats, et lui relevant les cuisses pour que les jambes de la brune se retrouvent contre ses propres épaules. Il testait enfin la souplesse de sa danseuse et avait un accès incomparable à ses deux petits trous. Dans cette position-là, elle pourrait le sentir plus profondément encore. Et sans prévenir, il entra d’un coup sec, sa grosse queue entre les fesses de sa belle danseuse. Il lui tenait les seins, alors qu’elle avait es mains crispées sur le transat, et lui qui était entre ses cuisses toujours relevées. Il en profitait pour l’enculer avec force. Il entra l’entier de sa longue matraque en elle. Comme toujours, il ne voulait pas qu’elle s’habitue à un seul plaisir, mais qu’elle sente à chaque fois une escalade dans les sensations, qu’elle se sente prise comme une vraie garce, mais comme une vraie femme également, une femme qui adorait la queue. Venant soupirer dans son cou, son souffle rauque et brûlant vint mourir dans sa nuque, alors qu’il lui écarta les fesses à grand coup de reins. Art y allait vraiment fort, et heureusement pour elle, elle avait préparé son petit trou étroit, car il y allait de toute ses forces. Il donnait des coups de bite puissants, appuyés, et secs, remuant son petit corps de déesse dans tous les sens sous ses martèlements.

Hannnn ma chérie….ouhhh…ton petit cul…hannnnn oui!

Hurlait- t-il, le désir et le plaisir déferlaient en lui comme des vagues de chaleur intenses.

Il ne faut pas me le dire deux ma chérie…

Il sourit et fondit entre les belles fesses de la jolie brune. Son joli petit cul, elle le savait surement, donnait beaucoup de plaisir au beau pompier qui utilisait sa lance pour attiser les flammes. Tout le contraire de ce qu’il faisait dans la réalité. Il étouffait ses gémissements en serrant les lèvres, se les pinçant un peu, avant de mieux laisser éclater ses râles et ses grognements de plaisir. Il pouvait voir son visage pendant qu’il l’enculait sèchement et l’embrassait souvent avec voracité, se fondant en elle complètement. Il était à la limite de la fièvre, à la limite du coma jouissif! Il adorait qu’elle se caresse les seins en l'appelant de plus en plus. Son souffle court et son sourire témoignait du plaisir ressentit. Il tourna alors un peu la tête à ses souffles qui venaient mourir dans son cou, le faisant trembler de plaisir. Il vint glisser sa langue sur ses lèvres en criant de plaisir, levant les jambes souples de la danseuse en l’air pour pouvoir la pénétrer par des angles différents et resserrés. Il voulait une baise intense, violente, il ne voulait que cela, la douceur c'était pour la baise prochaine qui sait ? Pour le moment, elle l’avait tellement chauffé qu'il fallait qu’il la défonce sans ménagement en martellant ses belles fesses qui rougissait sous ses mouvements. Il lui suça la langue en essayant de ne pas se déconcentrer mais ses gémissements se faisaient plus fort à mesure qu'il l'enculait avec fureur.

Hannnn mhhhh oh c’est si bon ! Hannnn prends çaaaa encaisse ma grosse queue mon ange!

Art avait devant lui un joli petit cul qu’il lui avait tardé de venir remplir depuis qu’il avait posé les yeux dessus. Une vraie lionne était dans ses bras, sous sa langue, et il n’allait pas la baiser comme une vulgaire pucelle, elle allait avoir droit au traitement royal. Il sentait qu’ils se reverraient souvent, c’était impossible autrement. Sa belle brune savait s’y prendre et il commençait à s’attacher à son joli corps de feu. Lui qui en général se contentait de bourrer la fille, se vider, et repartir, il n’allait pas se contenter de ça, il allait la combler, la faire hurler et gémir, et elle en redemanderait. Le pompiers laissait ses doigts venir explorer sa petite chatte, parfois ses dents venaient mordiller ses seins, ou son cou pour qu’elle ait l’impression qu’il la dévorait sur place, ce qui n’était pas totalement faux vu l’ardeur avec laquelle il venait entrer son doigt et sa langue en elle. Il laissait ses mains aller de son ventre, à ses seins.

Il la regardait avec intensité et venait répondre aux demandes sourdes de la belle brune et il la combla de sa grosse queue, et c’est son petit cul qu’il violenta, bien décidé à la faire crier comme jamais elle n’avait pu le faire. Il entra l’entier de sa longue bite en elle, collant totalement son corps musclé contre les seins de la belle, soupirant de plaisir quand il sentit la chaleur et l’étroitesse de ce petit trou. Il se mordit la langue pour calmer un peu son plaisir, lui léchant la joue, comme pour dire qu’il avait bien reçu le message et qu’elle allait en avoir pour la nuit. Elle était à lui pour la nuit et il n’allait pas se contenter de la faire jouir, il allait surtout lui donner envie d’en recevoir toujours plus, toujours plus fort. Il frissonna de plaisir et mordillait ses jambes qui étaient levées devant lui. Il intensifiait la puissance de ses coups de matraque qui ne cessait de venir lui marteler les fesses, les rougissant même au passage. Venant lui saisir les cheveux pour l’embrasser férocement, il lui explosa littéralement l’anus, y allant comme un démon, des coups puissants, sesc et appuyés, qui voyaient ses bourses venir s’écraser avec force dans un bruit de claquement contre son petit cul. Il lui plaqua la joue sur transat, tandis qu’il sentait que l’orgasme allait venir et il le murmura à son oreille.

Bébééééé je vais bientôt gicler!

il sentait qu’il n’allait vraiment plus tarder à lâcher son jus qui ne cessait de lui durcir la bite, et de lui grossir les couilles. Elle y mêlait des gémissements pour l’exciter un peu plus et ça ne ratait pas, il avait une trique d’enfer et sa matraque était devenue un vrai monstre, dont le long était parcouru par une veine palpitante montrant tout le plaisir qu’elle lui provoquait. Art ne s’était pas trompé, elle était capable de le faire jouir avec n’importe quelle partie de son corps sublime et il comptait bien le vérifier. Le pompier voyait l’effet que provoquait ses frémissements et ses râles rauques et virils sur la jeune danseuse et il aimait le regard qu’elle lui lançait de temps à autre. Elle avait cette façon unique de se faire garce ou câline, le tout dans un subtil mélange qui contrastait et montrait toute la complexité de la belle brune. Vraiment rien à voir avec ces jeunettes qui n’y connaissaient vraiment rien. Art grogna de plus belle comme un lion alors qu’il entendait claquer ses couilles si lourdes. Elle pouvait sentir qu’elles étaient pleines à craquer et que ses coups de queues n’allaient pas tarder à le faire exploser. Son souffle devenant plus lourd, plus puissant et le beau brun la regardait avec un voile dans les yeux, celui d’un plaisir qui ne cessait de croître. Il essaya de donner ses derniers coups de griffes pour tenter de garder la main, et il glissa trois doigts dans sa petite chatte bien humide. Sa main libre venait redessiner le creux de son dos, montant et redescendant ses seins qu’il pressait fermement, titillant ses tétons.

Prenant soin de son petit cul et de sa petite chatte de ses doigts, il les lui comblait de va et vient de plus en plus frénétiques. S’il allait jouir, elle aussi! Alors qu’il sourit en sentant les seins généreux de la belle danseuse, rebondir contre son torse puissant et luisant sous l’effort, il lui agrippa plus fermement les fesses, rendant leur étreintes plus féroce, plus charnelle, plus fusionnelle, leur langues venant se liées l’une à l’autre. Art avait rarement voir jamais connu une telle intensité dans une partie de jambe en l’air, et elle le poussait toujours plus loin dans ses retranchements. Il mordillait ses lèvres, laissant parfois ses langues redessiner celles-ci, dévorant de baisers le coin de sa bouche, prenant sa langue entre ses lèvres, la laissant glisser entre celles-ci dans une passion effrénée. Il n’avait certainement jamais passé autant de temps à embrasser une femme durant une partie de sexe. Ses fessées allaient plus vite et plus fort, plus loin et de façon plus appuyées sur son petit cul qu’il ramonait sans douceur.

Il sentait que ça venait, et il avait envie de souiller le visage de sa danseuse avec sa semence. Sentant la pression monter, il ressort brutalement d'elle, laissant le petit trou chaud se refermer de lui-même.

Donne moi ta bouche ma mon ange…

Quémanda t-il d’une voix rauque cassée par le plaisir. Il lui attrapa les cheveux pour lui manipuler la tête et venir lui fourrer le gland entre les lèvres. Il sentit la langue jouer sur son gland, il est au bord de l'explosion. Il se releva difficilement, pour être debout face à elle qu'il a forcé à suivre le mouvement en lui tenant les cheveux, pour qu'elle le suce encore. Le premier jet partit, puissant, cognant la joue de Phoenix juste sous l'œil, le sperme épais et fluide lui coulant déjà le long de la pommette. Le visage crispé, Art se laissa aller, lâchant un second jet en travers du visage de Phoenix, le long de son nez, la majorité du foutre finissant dans la chevelure brune, vers le haut de son crâne. Les deux jets suivants suivirent le même trajet, mais pour la suite il impose son gland contre les lèvres de sa danseuse, giclant toujours aussi fortement, c'est bien la première fois qu'il en sortait autant. Contre les lèvres serrées, le sperme sortit trop vite et explose d'une manière vicieuse, la souillant d'une multitude de gouttelettes blanchâtres, sur sa poitrine et son visage. Le foutre chaud dégoulina sur son menton. Il se recula un peu et la laissa le finir, les jets se stoppant peu à peu alors qu'il ne peut dire un mot, trop pris dans son plaisir. Il n'arrive qu'à rouvrir les yeux, pour voir le visage maculé de Phoenix maculé de sa semence. Son souffle fut légèrement coupé, et il la fixa avec les yeux mis clos, la voix très basse, riant de plaisir.

Mmmmh ma chérie…quel baise d’enfer

Ca y est, il avait tout donné. Après une attente et un plaisir immense, il avait pu tout lâcher d'un coup, et que ça avait été bon et intense. L'éjaculation avait été plus qu'abondante, il n'y avait qu'à voir le tableau qu'il avait sous les yeux. Sa belle Phoenix, les cheveux souillées de gouttelettes de sperme, le visage aussi, la gorge, la poitrine et le ventre. A la voir, il aurait cru que deux hommes s’étaient vidés sur elle, et il n'aurait jamais accepté de croire qu'il pouvait faire ça si on lui avait montré une photo. L'expérience était des plus excitantes, mais aussi fatigante à un point qu'il n'aurait pas soupçonné. Il planait doucement de bonheur et de plaisir mêlés, venant caresser distraitement le corps brulants et en sueur de sa belle brunette. Il tentait de reprendre son souffle, difficilement.

Un gémissement un peu trop plaintif à son goût traversait sa gorge, et il s'affalait lentement sur les transats, d'abord assis puis totalement allongé sur le dos. Il sent des vibrations dans ses jambes et ses bras, comme des picotements et des tremblements. Sa queue n'avait pas diminuée de taille, et pourtant il se sentirait bien incapable de la monter encore, du moins pas dans l’immédiat. C'est bien simple, elle avait jugulé le plaisir du pompier pour le porter à une limite insoupçonnée, mais il en voyait les conséquences à présent. Le souffle revenait lentement, le regard hagard dans le vide, et jusqu'ici il n'entendait pas Phoenix bouger, surement trop occupée elle aussi à reprendre ses esprits après cette baise intense. Il réussit à peine un instant à redresser la tête, pour la voir alanguie sur le transat, son corps toujours aussi excitant à regarder. Il captait sa respiration lente au mouvement de sa poitrine généreuse. L'aspect luisant de sa peau lui donnait une allure perverse, aucun doute quand à ce qu'elle venait de subir. Et pourtant, le visage de sa danseuse n'exprimait que plaisir et bonheur de s'être faite baisée et souillée de la sorte.

Mmmhh ouhhh quel pied…mais je crois bien que tu m’as vidée bébé...

Plus aucune notion de rien du tout, du temps et de l'espace, il aurait pu être à l'autre bout du monde au milieu de la nuit, ce serait la même chose. Pourtant, après une poignée de secondes dans cette position de repos, il commençait à penser qu'il allait falloir bouger. suite. Une pause qui dure des secondes encore, là les regards se croisent, sans mot dire. Puis il donne un coup de bassin, pour se redresser complètement, et il lance les jambes hors du transat pour se relever. La fatigue de l'orgasme s'estompe déjà, il sera bientôt opérationnel. La suite semblait les attendre dans les douches, et ensuite, ils iraient probablement chez elle. Il respirait lentement, regardant Phoenix dans les yeux. Elle avait été si bonne jusqu’à présent, et une partie de lui avait du mal à se dire qu’il allait falloir la laisser repartir. Mais c’était ainsi que les choses se passaient non ? Il lui sourit et vint la serrer contre lui, mêlant leurs corps un instant avant de lui murmurer à l’oreille.

Tu as la force d’aller aux douches ou tu veux que je t’y porte?

Lui demanda-t-il avec un sourire en coin, ses yeux venant parfois regarder l’œuvre qu’il avait faite en peignant le corps de sa belle avec sa semence. Si sa bouche avait été celle qui avait reçu le plus de foutre, le reste de son corps n’en avait pas été totalement épargné non plus. Il éprouvait quelque chose à cela, surement le fait de l’avoir marquée de sa mâle empreinte, comme un petit signe de possession et d’appartenance, mais seulement pour la nuit.