Mystère et bulles de gomme (Phoenix)

L’intensité de leurs ébats avait mis bien à mal l’endurance du jeune homme qui n’avait jamais connu un tel effort et une telle fougue. Mais quelle satisfaction, quel plaisir, quel pied pour le dire plus simplement. La belle brune semblait également accuser le choc, et il ne se lassait pas de voir son superbe corps parfait, qui était couvert de perles de sueur, de sa semence et sa poitrine généreuse qui bougeait sur un rythme rapide en essayant de reprendre un souffle plus normal. Il paraissait sur le transat, conscient qu’il avait vécu un moment incroyable. Déjà dans le métro, cela avait été intense et fabuleux, mais ici, dans le centre de relaxation, cela avait été encore meilleur. Il ferma les yeux un moment comme pour profiter encore un peu et prolonger le plus longtemps possible les sensations qu’elle venait de lui offrir. Il l revoyait en détail, et il ressentait tout de manière puissante en accélérer, puis ce fut le calme et l’apaisement serein. Lui aussi ne faisait que peu de cas de ses conquêtes en général. Le sexe et ensuite plus rien. Mais là, il ne se voyait pas ne plus revoir une femme comme elle. Il n’y avait pas que son physique de rêve qui lui plaisait, elle avait ce quelque chose en plus que les autres n’avaient pas. Mais il n’avait plus vraiment la tête pour réfléchir, il était en paix jusqu’à ce que Phoenix ne se décide à le taquiner, lui et sa fierté de mâle. Cela ne manquait jamais en général, surtout avec un homme comme le pompier qu’elle avait à ses côtés, mais elle l’avait tellement épuisé qu’il avait du mal à trouver une pique à lui lancer, et d’ailleurs, il pouvait lire sur le visage de sa belle brune qu’elle avait l’air de le taquiner gentiment. Il lui adressa un sourire en coin charmeur.

C’est vrai que j’ai de l’entrainement, mais jusqu’à présent aucune flamme ne m’avait résisté jusqu’à présent. Et toi ma belle, tu es un sacré feu ardent qui donne envie de s’y perdre et s’y bruler.

Art avait très envie d’elle encore, il n’avait qu’à la regarder pour vouloir la prendre de nouveau. Mais si son esprit et son envie étaient fortes, sa queue semblait pour le moment demander un petit break pour mieux la satisfaire un peu plus tard. Si la petite pique de Phoenix produisit son effet sur l’égo du mâle, il devait avouer qu’il valait mieux en sourire, plutôt que de tenter de prouver absolument sa virilité, et finalement ne pas réussir à bander. Cela aurait été encore pire. Et il voyait bien qu’elle avait utilisé le ton coquin qui lui allait si bien. Phoenix était le genre de femme torride qui demandait de s’enfermer avec elle dans une chambre et de ne pas quitter le lit avant qu’ils ne se soient totalement épuisés l’un et l’autre. Une pensée agréable qui le fit sourire

Oui, je vais t’escorter, on ne sait jamais ce qui peut arriver. Un homme entreprenant pourrait se décider à te surprendre sous la douche et te prendre par surprise...

Il murmura à son oreille d’une voix coquine et malicieuse. Il la serra dans ses bras, la berçant légèrement, protecteur et possessif dans le même temps, il laissait quelques minutes s’écouler jusqu’à ce que leurs corps soient collés l’un à l’autre et que leur souffle respire à l’unisson. Puis il se leva et de lui tendre ensuite la main pour qu’elle fasse de même. Il avait une vue plongeante sur ses seins et son corps couvert de sa semence qui était maintenant plus transparente. Il passa ensuite son bras autour des hanches de sa danseuse et se dirigea vers les douches. Ils arrivèrent finalement à la salle d’eau et il commença à faire couler l’une des douches. Il se glissa ensuite sous le jet qui coulait. L’eau était froide, et redonnait de l’allant à son corps qui se revigorait lentement. Puis il attira Phoenix à lui, et il voyait que son corps réagissait tout autant. Il eut un grand sourire en voyant la belle frissonner et ses tétons qui pointaient. La vue était excitante et Art devait admettre que la fatigue ne l’étreignait plus autant. Il la regardait droit dans les yeux, venant lui caresser le corps.

Art ne passait pas souvent beaucoup de temps avec ses conquêtes après le sexe, mais avec sa danseuse, c’était différent. Elle dégageait tellement de chose. Elle l’appelait à lui d’une façon qu’il ne pouvait s’expliquer et qu’il n’avait pas envie de décortiquer maintenant. Il avait juste envie de profiter du bien être qu’elle lui donnait, et du plaisir aussi. Il lui sourit et lui caressa doucement le corps, la laissant alanguie contre lui, le corps paressant longuement contre le sien. Il la caressait sur chaque parcelle de peau, avant de finalement sourire quand il se fut relevé et qu’elle fit la remarque sur l’homme qui pourrait bien vouloir la prendre dans les douches. Il prit son temps pour la regarder se relever, appréciant de voir le mouvement hypnotique de ses seins qui bougeaient en rythme et de ses fesses qui ondulaient doucement dans une démarche un peu chaloupée. Il savait qu’il ne pourrait se lasser de la voir entièrement nue, quelle beauté. Mais avec elle, il se sentait aussi en confiance et en paix, ce qui était bien rare chez le pompier nerveux, il fallait l’avouer.

Phoenix, sa belle brune, était vraiment torride. Il avait envie d’elle dès qu’elle le regardait de cette façon qui lui disait bien qu’elle avait envie de lui. Et maintenant que l’eau froide venait de tomber sur eux, plutôt que calmer ses ardeurs, cela ne fit que les réveiller, le sortant de la douce torpeur d’après ébats. Il frémit sous les caresses de son amante, prolongeant son baiser et réagissant à ses mordillements excitant. Elle avait vraiment le don de lui provoquer en lui le plus intense des désir et des plaisirs. Il ne savait pas comment elle s’y prenait, mais ils avaient beau jouir encore et encore, il n’en avait jamais assez. Il lui caressa ses belles fesses fermes, laissant son regard couler sur la peau perlée d’eau de sa belle artiste, aimant la voir demandeuse de la sorte. Il adorait qu’elle lui fasse sentir son envie, et qu’il soit le centre de toute son attention et son désir. Il lui caressa le dos, le remontant du bout des doigts, creusant doucement ses vertèbres pour la faire frissonner, lui souriant au passage. Il fit naitre une fossette à sa joue se faisant, tandis qu’il la fixait avec intensité. Cette femme le rendait dingue.

Je te répondrais alors que moi aussi ma belle danseuse sexy, mais qu’il va falloir que tu t’occupes un peu de ma bite pour qu’elle bande de nouveau. Je suis sûr que tu sauras comment la mettre en condition mon bébé…

Il murmura à son oreille avant de l’embrasser langoureusement. Sa queue était pour le moment collée contre sa cuisse, et bien que de belle taille, il ne bandait pas encore. Il vint coller sa colonne de chair contre la cuisse de Phoenix, lui faisant sentir la chaleur de son membre. Il la serrait contre lui, ressentant les pointes de ses seins qui pointaient sous sa peau, contre son torse musclé. Il frémit à ce contact, ne se lassant jamais de la sentir contre lui, entre ses bras. Toujours, il l’entourait de ses bras protecteurs, mais aussi possessifs. L’eau continuait de couleur mais ne lui semblait plus très froide, ou alors était-ce parce qu’aucune eau n’aurait pu éteindre le feu du désir qui montait en eux.

Art regardait sa belle danseuse. Quelle femme incroyable. I n’aurait jamais imaginé que sa journée se passerait si bien, qu’il ferait telle rencontre. Tantôt intense, inventive et féline, tantôt câline et douce, il adorait quand tout le bien qu’elle savait lui faire. Tout en fougue et en intensité, ils ne sortaient jamais indemne physiquement de leurs ébats, mais ce n’était rien comparer au plaisir incroyable qu’ils savaient se donner et au plaisir de se plaire l’un et l’autre. Elle savait se faire violence et fougueuse, animale et sauvage quand ils étaient bien excités. Cela rendait leurs ébats tellement plus intenses. Mais il le sentait en la regardant qu’elle allait s’amuser un peu, se montrer joueuse et provocante. Il adorait ça tout autant. Le sexe serait vite ennuyeux si il n’y avait pas de fun et d’amusement. Il lui adressa un grand sourire en venant caresser sa joue du dos de la main.

Mmmmh mon bébé je suis certain que tu l’es suffisamment…

Son ton était malicieux et coquin à la fois. Comme pour l’encourager et la provoquer à son tour, il laissa ses mains fermes, venir claquer le fessier de sa belle Phoenix, avant de caresser ses fesses bombées avec envie et plaisir. Il ne faisait que reprendre le petit jeu de la jolie brune, celui des provocations tout en restant dans la joute érotique. C’était ce qu’il adorait chez elle, cette façon de jouer ensembles qu’ils avaient, cette complicité qui se finissait toujours de façon fougueuse, intense et limite sauvage. Art avait beau être un dominateur patenté, il appréciait que Phoenix prenne les rennes durant leurs ébats. Elle ne se contentait pas de simplement rester passive, et elle donnait toujours le meilleur d’elle-même, le provoquant à faire de même. C’était ce jeu permanent qui les poussait à toujours faire mieux.

Phoenix savait prendre son temps pour le faire durcir au maximum et pour le faire languir. C’était une torture mais si agréable. Il la regardait avec envie et provocation, ses yeux étaient troublés par un voile de plaisir et d’envie féroce. Ce qu’elle lui faisait du bien à l’exciter de la sorte. Le souffle du pompier se faisait plus rapide et plus rauque. Elle l’avait en son pouvoir en ce moment. Elle, la danseuse, qui avait entre ses lèvres, toute autorité sur son mâle viril. Il laissa sa main venir se perdre dans la crinière ténébreuse de Phoenix. L’envie était forte de pousser sur sa nuque pour qu’elle le prenne en bouche. Il la regardait avec un sourire complice, elle était vraiment excitante comme à son habitude.

Il soupira d’aise sous les caresses de la belle brunette. Sa respiration se faisait un peu plus rauque et rapide, et il ferma par instant les yeux pour mieux ressentir le plaisir qu’elle était en train de lui donner. Il laissa une de ses mains venir lui caresser les cheveux, et le dos de sa main vint lui caresser la joue de nouveau. Il la laissa poursuivre les érotiques hostilités, son regard venant parfois se perdre sur les seins, ou sur les fesses de sa belle amante. Il aimait beaucoup sa chute de rein vertigineuse. Il la regardait parfois dans les yeux, et aimait la voir avec son sexe en bouche, cela ne fit que l’exciter d’avantage.

Le corps musclé du pompier tremblait et frissonnait sous les coups de langue, et sous la bouche de la belle. La montagne s’ébranlait et elle le rendait doucement ivre de plaisir. Ses yeux mi-clos exprimaient toute l’envie et le désir qui pouvaient être humainement souhaité. Ses bourses devenaient plus gonflées à mesure qu’elle appelait en lui les instincts les plus primaires. Le désir lui noua les reins et le réchauffa. Sa main vint se perdre dans la brune chevelure de son amante, et parfois il se baissait pour lui caresser les seins, ou lui frôler la nuque pour lui donner un peu de sensation à son tour. Elle le mettait au supplice d’en avoir plus, bien plus !

Oh ma chérie mhhhh ouhhh haaaaaan…hannnn…oh fuck….mhhh

Puis, trop excité par sa belle danseuse, il mit ses deux mains derrière la tête de Phoenix et poussa dessus pour qu’elle avale sa grosse queue en entier. Il la pénétra tout au fond de la gorge dans un bruit excitant, le faisant pousser un grognement rauque de plaisir plus intense que les autres. Il commença alors à imprimer des coups de reins dans la bouche de Phoenix, lui baisant sa belle gorge.

Était-ce toujours aussi bon pendant le sexe? Non. Il y avait peu de femmes qui arrivaient à le plonger dans un tel état d’excitation. Cette fellation était divine et il mordillait sa lèvre inférieure tellement c’était intense. Il sourit en constatant que sa belle brune semblait comme possédée par la luxure la plus complète. Que ce soit dans son regard ou dans son comportement, elle semblait agir avec lui comme s’il avait à faire à une petite salope en chaleur et il devait avouer qu’il adorait ça. Au début, il avait voulu résister à l’envie de montrer son plaisir, voulant placer Phoenix dans ses retranchements, la pousser à donner le maximum pour lui faire soupirer le moindre soupir. Mais bien vite, il ne put tenir ses dispositions tellement elle était douée. Sa queue ne cessait de croitre et de s’enfoncer sèchement au fond de la gorge de son amante.

Il la fixait avec l’éclat de son regard ténébreux posé sur elle. Les mains posées de chaque côté du visage de sa danseuse, il crispa ses doigts dans les cheveux de la belle, comme un prédateur qui s’emparait de sa proie, pendant que le plaisir naissant le fit frissonner légèrement. Ses bourses étaient bien pleines et elle pouvait voir que son sexe ne cessait de croitre et de se tendre, comme offert. Sa respiration se faisait plus appuyée, sa mâchoire se crispa un peu, son corps se raidit légèrement, et son sexe ne cessa de durcir et de se tendre. Il grognait de plus belle, sur un ton plus bas encore. Il l’arracha un instant de sa queue, lui tirant les cheveux en arrière en la fixant avec autorité. Puis il laissa sa bite venir tapoter le visage de la jeune femme, laissant ensuite son gland venir jouer autour des lèvres de la belle, avant de replonger brutalement au fond de la bouche divine de Phoenix, le faisant pousser un grognement des plus rauques.

Ohhhh baby mhhhhhh hannnn ta belle bouche est un régal!

Il la regardait avec des yeux voilés par le plaisir tandis que ses râles devenaient plus rauques et plus profonds. Son corps musclé commença à frémir puis à trembler quand elle s’occupait de lui de sa bouche offerte. Il laissa échapper un cri de plaisir, viril, animal, tandis qu'il la fixait avec un grand sourire aux lèvres. Il ne la quittait pas des yeux, adorant la regarder avec sa grosse bite en bouche. C’est alors qu’il décida de se montrer plus dominateur et qu’il lui saisit les cheveux et qu’il commença à la pousser à le prendre entièrement en bouche. Il la faisait s’empaler sur sa queue. Art sentait bien qu’il n’allait plus pouvoir tenir et qu’il allait bientôt régaler son amante de son bon jus d’homme. Art était tellement excité par la Phoenix qu’il en devenait plus sauvage et qu’il s’enfonçait au fond de la gorge de sa belle danseuse avec une intensité bestiale.

Il comptait bien en souiller son visage et en régaler son palais. Ses couilles étaient bien pleines pour faire les deux et lui offrir son petit lait préféré. Il la fixait de son regard intense et habité. C’était tellement bon qu’à ce rythme-là elle le ferait jouir. Puis il relâcha le visage de sa superbe Phoenix, voulant la laisser reprendre les choses en main. Soit elle le calmerait, soit elle le finirait, en tous les cas, il lui laissait choisir , lui caressant au passage la joue du dos de sa main virile.

Ouhhhhh fais de moi et ma queue ce que tu veux!

Lui dit-il entre deux soupirs de plaisir, la fixant avec un grand sourire.

Art regardait sa belle beauté ténébreuse qui lui suçait la queue avec une intensité et une envie qui lui semblait presqu’irréelle. Bon sang que c’était divin! Il avait appris qu’en séduction il y avait quatre règles principales. Il suffisait ensuite de connaitre un minimum la personnalité de sa cible pour ensuite choisir laquelle appliquer. Bien entendu, les règles avaient leurs exceptions, et cette beauté aux cheveux de jais semblait ne pas coller dans un moule. Elle dépassait les clichés traditionnels et il devait admettre qu’il aimait ça. L’originalité était tellement rare chez les femmes, du moins, le pensait-il. Il aimait celles qui savaient ce qu’elles faisaient, celles qui osaient, celles qui se défendaient, mais contre attaquaient également. Phoenix semblait être une reine qui cherchait encore un roi pour honorer la couche nuptiale dans un royaume de luxure dont les colonnes marbrées étaient cimentées par le plaisir, et dont le tapis rouge, c‘était gorgé du rouge passionnel de l’envie. Oui, elle était bien plus que les autres filles à ses yeux, elle était une sorte d’Aphrodite réincarnée parmi les mortels. Cette déesse du sexe qui savait également combler l’esprit et le cœur et le corps. Nul doute que celui qui devait être son compagnon avait bien de la chance. Mais cette nuit, elle était à lui et il ne comptait la laisser à personne d’autre.

Dans un rythme hypnotique et frénétique qui faisait perdre le fil de la réflexion pour se laisser sombrer dans le champ bien plus amusant de la séduction. Il frémit au contact de la bouche experte de son Aphrodite aux yeux clairs qui semblait vouloir guider le guerrier qu’il était devenu, au sommet de l’Olympe, au Paradis dont elle tenait les clefs, puisqu’elle l’abritait en son corps, ses fantaisies et sa belle bouche à pipe. Il pilonnait férocement le fond de la gorge de sa danseuse. Les forteresses étaient toutes prenables, il suffisait d’user de l’arme juste, et de la patience et nul doute qu’elle allait le faire jouir de nouveau. Il sentait ses lèvres qui avalaient sa longue et grosse queue, et il descendit sa main pour venir titiller son lobe d’oreille, qu’il tripotait au passage, pour aller jusqu’à ses épaules, venant ensuite saisir un sein qu’il pressa entre ses doigts. Il fit de même de l’autre coté de sa nuque, pour s’occuper de l’autre sein ensuite. Il masturbait ses tétons lentement, mais avec insistance pendant qu’elle lui pompait la queue si bien. Il montrait qu’il voulait lui donner du plaisir lui aussi et que même s’il la traitait en chienne affamée de sa bite, en esclave sexuelle de son désir, il savait lui aussi lui donner de l’attention des sensations. C’était également une bonne manière de la faire languir et de la faire s’interroger sur le plaisir qu’elle pourrait avoir si il ajoutait a la divine équation, sa queue dans un de ses deux autres orifices. Son bassin se collait contre les lèvres de la belle, et son sexe devenait de plus en plus dur et tendu, proche d’exploser.

Ma chérie ouiiii mon angeeeee ouiiii ! Ne t’arrête pas c’est trop bon!

Phoenix continuait toujours à le pomper sauvagement et avec intensité. Art ne pouvait plus tenir très longtemps, surtout quand elle le regardait de cette façon-là. Comme une petite salope en manque qui n’attendait que le foutre de son maitre. L’eau avait beau couler sur son corps, il se sentait brulant à l’intérieur. Il poussait des grognements de plus en plus gutturaux, le plaisir ne faisant que grimper en flèche. Son bassin se crispait, sa queue se tendait, ses veines gonflaient et entouraient sa longue bite pour venir cracher son venir. Il ne la quittait pas des yeux. L’orgasme était proche. Il finit par éjaculer. Le sperme coula en deux traits épais le long de chaque côté du nez de sa belle Phoenix. Le pompier éjaculait sur elle par saccades, les jets se succédaient sur le visage mate de sa danseuse tandis qu’il se vidait jusqu'à la dernière goutte. Sous cette pluie de sperme, il recouvrait son visage et ses seins, qui furent rapidement nettoyé par l’eau qui coulait de la douche. Puis il laissa échapper une giclée tellement puissante passa par-dessus la tête de son Aphrodite pour s'étaler dans ses cheveux noirs tout le long de son crâne. Une multitude de gouttelettes venaient s'échouer sur sa poitrine formant des perles onctueuses sur sa peau douce et mate. Il contemplait ses seins sur lesquels des coulures blanchâtres s'étaient dessinés. Un filament de sperme pendait sous le galbe de l'un de ses seins. Elle venait de le faire jouir une nouvelle fois et il avait un grand sourire aux lèvres, lui caressant tendrement la joue du dos de la main tandis qu’il laissait sa queue dans la bouche de Phoenix, lâchant son restant de sperme dans la bouche goulue, penchée sur sa bite. C'est un véritable plaisir de se vider de la sorte. Petit à petit, les jets cessèrent, la semence s'écoulant plus lentement puis plus du tout. Groggy par le plaisir le plus total, il souriait à celle qui venait de lui faire atteindre un nouvel orgasme. D’une voix éraillée par une journée intense de luxure, il la fit se relever et lui caressa son beau petit cul.

Mon bébé as-tu une envie particulière pour la suite?

Art planait encore un peu de son orgasme qu’elle venait de lui arracher et quel plaisir elle lui avait donné. Il la regardait avec un sourire béat, et la tenait contre lui. Oh, il ne comptait pas être égoïste et la laisser en plan pour une petite sieste avant de recommencer. Non, il aimait le fait qu’elle soit insatiable, car avec un corps comme celui de la danseuse, comment ne pas avoir envie tout le temps d’elle? Le pompier aimait baiser et Phoenix aussi, et vu comment ils se donnaient dans leurs ébats, il était clair qu’ils n’étaient pas capable de se contenter d’une seule fois. Il aimait le regard qu’elle lui lançait, à la fois gourmande et en chaleur. Le fait qu’elle se frotte à lui comme une chatte en chaleur le faisait doucement regagner de la vigueur à sa grosse queue qui semblait proche d’être prête à la prendre de nouveau, pour leur plus grand plaisir commun. Il la serrait contre lui, sentant son corps chaud et doux, perlé d’eau. Il glissa doucement sa main entre les seins de la belle brune.

Il faisait rouler les tétons durcis entre ses doigts, il aimait beaucoup la provoquer de la sorte, n’hésitant toutefois pas à lui caresser les mamelons, et la peau de l’entier de ses seins. Il n’était pas le genre de puceau qui se contentait de titiller les tétons d’une femme comme de bouton de radio en oubliant le reste du corps d’une femme. Art sourit en sentant la croupe parfaite de Phoenix dans sa main libre tandis qu’il laissa deux doigts venir titiller ses deux orifices. Il l’embrassa avec de plus en plus de fougue, les langues se mêlèrent et la luxure ne fit que monter d’un degré encore. Il regarda la brunette pendant que leur langue se mêlait dans un ballet érotique. Il poussa un soupir bien plus rauque et grave quand elle frotta son sexe contre le sien tout en poursuivant sa danse lascive.

Phoenix pouvait sentir que les bourses du jeune homme étaient plus grosses et plus lourdes à présent, pendant que le regard libidineux du pompier se porta sur la chute de rein de son amante. Il sourit et glissa un doigt dans ses deux orifices d’une main, tandis que l’autre vint saisir Phoenix par les cheveux, serrant bien sa crinière dans sa poigne puissante. Il était temps qu’elle goute de nouveau à sa belle bite en elle.

Ne t'en fait pas ma chérie, je vais te défoncer comme tu le mérites!

Sa voix était rauque et suave, tandis qu’il caressait de sa main libre le dos de celle-ci. Il la tira par les cheveux et la fit s’agenouiller, se mettant ensuite derrière elle. Il comptait bien la prendre en levrette, sauvagement comme une petite salope. Il ne se lassait jamais d’admirer le corps fait pour le plaisir de Phoenix, et il ne comptait pas la prendre comme une poupée de porcelaine, oh non. Elle allait gouter aux coups de butoirs et aux superbes coups de reins du beau brun. Il laissait ses seins grossir sous ses mains, lui branlant lentement les tétons entre ses doigts exercés. Il la sentait chaude, brulante, ardente, et de son côté l'envie lui nouait les reins. Il embrassa cette dernière langoureusement et quand elle n'en pouvait, il sourit et laissa son gland perforer la chatte de sa belle brune. C'est d'un coup sec et profond qu'il embrocha sa jolie danseuse, sans douceur, sans glamour, juste l'envie du plaisir le plus sauvage et le plus intense possible. Il s'enfonça en elle jusqu'à la garde, lui serrant fermement les seins entre ses doigts. Il poussa un long soupir rauque de plaisir et vint lui lécher les seins tandis que son sexe bandé et durcit emplissait les belles cuisses de Phoenix. Cette première cavalcade serait sauvage et bestiale!

Art allait et venait entre les cuisses divines de sa belle et il en savourait chaque secondes. Il savait que ce serait bon de la baiser en levrette, mais à ce point-là, cela dépassait ses espérances. Ajouté à cela un caractère de vraie petite chienne qui en voulait toujours plus et le beau brun n'en demandait pas tant. Il laissait son torse musclé venir se coller contre le dos de sa belle et il lui mordilla les tétons, faisant jouer sa langue sur ses seins. Elle avait un gout terrible et il soupirait plus fort de plaisir entre chacun de ses coups de reins qui venaient la prendre jusqu'aux bourses. Il lui titillait les seins du bout des doigts, venant glisser ensuite entre ses cuisses. Là il laissa deux doigts glisser sur son clito et il sourit en la sentant ruisselante. Il la doigta avec de plus en plus de vigueur tandis que ses coups queues devenaient frénétiques. La sauvagerie avec laquelle il lui défonçait la chatte poussait le corps de Phoenix en avant à chacun de ses va et vient. Il soupirait de plaisir contre la nuque de la belle brunette, et lui caressait ses gros seins avec un plaisir évident. Ce qu'elle était délicieuse.

Mmmmhhhhhh ohhhh Honeyyyy mhhhhhh prends ça baby ! Encaisse mes coups de queue!

Il adorait ce concert de corps qui se battaient pour atteindre le plaisir. Et surtout ses gémissement, il adorait l'entendre gémir. Voir les seins de la belle qui ballotaient dans tous les sens sous ses coups de rein, voir son corps se porter en avant sous ses coups de butoir, entendre leurs soupirs et leurs râles se mêlés pour décrire une symphonie érotique et tellement jouissive. Leur corps bougeaient avec une violence sourde vu la force avec laquelle Art distillait ses fabuleux coup de reins. Il la voyait subir ses coups de queues qui étaient de plus en plus puissants et saccadés.

Mmm Phoenix, je vais te faire te sentir chienne!

Murmura t-il à son oreille avant de la retourner, et de la soulever pour ensuite la plaquer contre le mur. Il la soulevait par les fesses et la fit se ré empaler sur sa longue et grosse queue. il la laissa coulisser pour qu'elle soit sodomisée et baisée bien en profondeur, car il alternait les deux entrées avec une vigueur et une fougue plus que féroce. Elle avait des fesses si douces et accueillante et elle était si serrée et étroite de l'anus qu'il prenait vraiment son pied. Il l'embrassa sauvagement, laissant son torse venir se plaquer contre ses seins, qu'il caressa avec ses pectoraux, puis il donna de bonne claque sur les fesses de Phoenix tout en lui martelant le cul avec ses grands coup de butoir du bassin. Le plaisir se lisait sur les yeux du pompier, bon dieu que c'était bon! Il lui lécha les seins, les sentant gigoter sous ses coup de reins, et il laissait sa langue apparente quand elle le regardait, elle pouvait ainsi le voir lui lécher les seins avec envie. Encourager par les cris de la belle, il y alla encore plus fort et plus sèchement.

Art savourait la chaleur des belles fesses de la danseuse ainsi que sa petite chatte humide et brûlante. Il soupira de plaisir contre la poitrine ferme et généreuse de la belle. Il prenait plaisir à les lui lécher, les lui sucer, puis lui mordiller les tétons, les faisant rouler entre ses dents. Il la regardait de ses yeux ténébreux tandis que son bassin imprimait des coups de reins toujours plus féroces et inquisiteurs, la prenant sans recul afin qu’elle puisse sentir chacun de ses coups de queues avec force. Son regard était voilé par le plaisir. Son torse musclé venant se plaquer, et écraser ses beaux seins dont il aimait sentir les tétons pointer contre lui. Puis par envie sauvage et virile, il la reposa au sol, et la retourna sèchement. Il la tenait toujours par les cheveux et la plaqua de nouveau contre le sol. Il avait une superbe vue sur les belles fesses de Phoenix. Là il s’introduisit de nouveau dans son anus étroit et il la sodomisa avec force contre le mur. Il la prenait en sandwitch entre son corps musclé et chaud et le carrelage froid et humide. Il écrasa sa poitrine et sa joue contre le sol, donnant de vigoureux coup de queue en elle. Parfois, il venait glisser sa main entre lles cuisses de la belle et là il lui caressait son minou délaissée jusque là. Il sourit en la sentant bien humide, ruisselante même ce qui le fit gémir de plaisir en sentant son petit trou serré qui se faisait prendre par son membre. Il gémit à son oreille sur un ton rauque, tandis que sa main venait lui titiller le clitoris à présent, l’enculant sèchement et violemment à même le sol, comme une chienne.

Hhhhannnn!

Il vint lui tirer les cheveux en signe de domination, ne lui faisant toutefois pas mal, juste de quoi la faire se sentir sa petite esclave sexuelle et il adorait venir l’enculer comme il le faisait en ce moment. Sa belle danseuse avait vraiment des fesses divines et s’enfoncer en elle était l’un des plus divins délices qu’il ait pu gouter. Il ne se privait pas de lui donner une bonne claque virile sur les fesses de temps à autres. claque qui faisait un bruit qui résonnait dans la salle d'eau. Les soupirs, les spasmes de plaisir, les regards qu'elle lui lançait pendant qu'il la prenait sauvagement, tout celà l'excitait de plus en plus. Et elle avait bien raison, il aimait montrer qu'il était le maitre, tout simplement parce qu'il aimait pouvoir profiter de chacun de ses orifices à son envie, pouvoir la besogner sans férir et sans qu'elle ne puisse réchigner même s'il sentait bien que ce n'était certainement pas son intention à elle, de protester pour avoir encore plus de queue en elle.

Ohhh oui baby mhhh j'adore ça! Te prendre comme ma petite salope et te posséder entièrement durant nos ébats!

D'ailleurs il murmura quelques paroles à l'oreille de sa jolie Phoenix.

Honey, tu es vraiment une petite salope Mmm…dis-le que tu es mon esclave, ma chienne et que tu veux que je t’explose ton joli petit cul. Supplie-moi.

Il regardait avec excitation la main de Phoenix qui écartait ses belles fesses rougies afin qu'il soit encore plus à l'aise et qu'il lui perfore le cul encore un peu plus. S'il l'avait pu, il aurait enfoncé ses bourses avec. Il grognait de plaisir, sentant bien qu'à ce rythme là, il n'allait plus pouvoir tenir bien longtemps. Art aimait vraiment chaque seconde qu’il passait à prendre sa belle salope, quel plaisir c’était, il n’en revenait pas d’à quel point elle était bonne. Il lui mordilla les épaules et sourit en l’entendant gémir plus fort. Il la retourna de nouveau, emprisonnant le corps de celle-ci entre lui et le sol. Il laissa son torse musclé venir se presser contre les seins de la jeune femme, et il glissa sa queue dans la petite chatte de celle-ci. Ses abdos venaient frôler son ventre quand il la prenait plus sauvagement par la chatte, lui relevant les cuisses et les lui écartant en l'air, profitant de sa souplesse bienvenue. Il lui sourit, et vint lui mordiller les lèvres, laissant ses lèvres se promener sur toute la peau de Mlle Emerson, lui léchant le cou, les épaules puis les seins. Il la laissait désirer ses baisers et ses coups de reins, les lui donnant parfois, les lui en privant à d’autre moment, avant de donner de vigoureux coup de queue en elle. Il grognait de plaisir de plus en plus fort à mesure qu’il la pénétrait sèchement, le regard fixé vers elle, les yeux troublés par un plaisir qui ne cessait de croitre.

Art sentait la chaleur qui montait en flèche. Elle l’encourageait encore plus vicieusement, et il adorait ça. Il vint lui mordiller les seins, laissant la trace de ses dents qui venait de la mordre, avant que ces fines traces ne disparaissent, et qu’il vienne les soulager avec sa langue qui la léchait avec avidité. Il fit de même sur ses épaules, sa nuque, ses bras, il la dévorait toute cru entre morsures et langue qui léchait. Le timbre de la voix de Phoenix et ses intonations ne firent qu’excité d’avantage Art dont la queue grossissait un peu plus en elle, encore plus avide d’elle qu’il ne l’aurait pu possible. Il lui tenait fermement les fesses et la pilonnait férocement, l'écrasant lourdement au sol de ses coups de reins virils. Il lui emplissait son minou de son membre puissant, venant l’embrasser avec fougue, souriant en sentant les mains de la belle qui venaient parcourir sa peau musclée. Il aimait la faire se sentir chienne et chatte à la fois. Il lui mordilla la lèvre inférieure, tirant dessus de ses dents, avants de la relâcher d’un coup sec. Il lui sourit et ne manqua pas de claquer ce si joli petit cul bien rond et ferme, le rosissant, puis le rougissant sous ses claques coquines.

Ohhhh honey mhhh je vais gicler!

Art laissait à Phoenix le soin de voir comment elle voulait le finir.

Il ne lui répondit que par un sourire, qui serait bientôt accompagné d'une rude baise, qui mettrait la belle aux abois et qui la ferait crier jusqu'à s'en briser la voix. Art sourit avec perversité et envie, prenant sa belle danseuse sans coup férir, la prenant bien virilement. Puis il décida de jouer encore un peu, pour mieux l’exciter. Elle était si envoutante. Il ressortit de son anus étroit, sourit un peu plus, et il vint frotter sa queue puissante contre ses fesses. Il vint alors placer son sexe bien droit entre ses fesses et fit avec son joli petit cul comme il l'aurait fait pour une branlette espagnole avec ses seins. Il voulait la faire languir, la chauffer encore un peu plus, la faire hurler à s’en casser la voix... Il pressa fermement ses jolies fesses l'une contre l'autre allant et venant doucement avant de s'approcher de son cou et de le lui mordre férocement pour l'exciter d'avantage. Il continua cette provocation encore un peu, variant la vitesse à laquelle il se branlait la queue avec ses belles fesses, la laissant sentir la chaleur de son membre puissant, épais et veiné, puis il dans sa petite chatte férocement, par surprise, la pillonnant de façon bien plus sauvage maintenant. Il recommença alors ses longs et puissants allers et retours en elle, ses couilles frappant son jolie petit cul à chaque coup de bassin. Il la tenait fermement par les seins. Il le sentait, il n’allait plus pouvoir tenir très longtemps avant de gicler entre ses cuisses chaudes. Il ne cessait de pousser des râles rauques de plaisir entre chaque coup de reins, qui étaient devenus coups de butoir tandis qu’il lui embrassait plus tendrement les seins et les lèvres, contraste puissant entre les martellements qui besognait le minou de sa jolie brune. Phoenix était désarmante quand elle lui parlait de cette façon et qu'elle l'embrassait de la sorte. Il lui sourit et l'embrassa langoureusement, et plaqua son corps brulant tout contre celui de sa belle danseuse.

J'arrive mon bébé mhh hannn

L’orgasme vint finalement pour elle et il la retint dans ses bras musclés, tandis qu’il finit par gicler dans la chatte humide de Phoenix, en criant de plaisir, un cri sauvage, presque animal. Son souffle devint haletant tandis que son foutre venait se répandre en elle, divin nectar chaud et laiteux qu’il déversa pour leur plaisir commun. Il restait en elle, venant l'embrasser langoureusement, essayant de reprendre son souffle et ses esprits. Quelle femme!

C’est par un sourire coquin, que Phoenix accompagna la branlette improvisée du jeune pompier au milieu de ses fesses. Ses gestes étaient d’autant plus excitants qu’elle avait envie de s’empaler à nouveau su son manche plutôt énorme pour mieux glisser dessus. Pour la chauffer, il la chauffer. Elle le regardait avec des yeux suppliants, d’une suite des choses plus pénétrante dans sa peau. Souhait qu’Art exauça en la pénétrant à nouveau au creux de ses cuisses chaudes, en des va-et-vient violents, mais tout autant plaisant pour la petite chienne qui gémissait à en perdre la voix, se mordant la lèvre inférieure.

La jeune femme aimait sentir son corps contre le sien, le sentir heurter sa chair douce de son pieu, bien que rougie sous la frénésie d’un désir sexuel comblé, d’un besoin rassasié d’une baise à la fois charnelle et purement et simplement d’une sauvagerie et d’un érotisme presque délirant. Les filmer en plein ébats aurait surement représenté une petite mine d’or en vidéo pornographique pour ceux dont la machinerie était pour le moins dysfonctionnelle ou peur les petits pervers en quête de fantasme et d’une salope bandante. L’heureux élu avait été le séduisant pompier, Art Donovan, qui avait pu et pouvait à loisir abuser de chaque parcelle de l’anatomie divin de la danseuse de cabaret; chacune de ses formes et courbes, il pouvait les connaître par cœur.

« Mhmmm » fut le dernier soupir de plaisir que poussa la jolie danseuse avant qu’Art ne cesse complètement les hostilités en même temps qu’un traitement de faveur à sa chatte ruisselante.

Phoenix avait fermé les yeux, alanguie par l’orgasme fabuleux, excessivement intense qui venait de la faire frémir au plus profond d’elle-même. Rares étaient les fois où un homme aussi bien qu’une femme était parvenu à la guider aussi haut, à lui faire vivre autant de sensation forte au creux de son bas-ventre, pour ébranlé, épuisé son corps entier pour une certaine période de temps. La jeune femme apprécia le moment, Art collé contre elle, son membre imposant toujours en elle. Ensemble ils venaient de vivre un sentiment d’extase presque à l’unisson. Elle avait sentie les jets de spermes d’Art, au moment où son éjaculation était totale, tout au fond de sa chatte rasée et épilée, bien remplis de son délectable jus d’homme. Les mouvements de la poitrine de la belle danseuse se faisaient sentir contre le torse d’Art dû à sa respiration rapide, ses battements de cœur accélérés qu’elle tentait tant bien que mal à apaiser. Ses lèvres cherchaient les siennes un peu aveuglément, comme si seules ses lèvres semblaient avoir conservé suffisamment de l’énergie pour s’activer, mêlant leurs langues tendrement. Leurs baiser avaient perdu de l’intensité fougueuse de leurs ébats, mais n’en demeuraient pas moins doux et agréables. Un petit sourire se dessina sur les lèvres rosées de Phoenix lorsque son regard croisa celui de son cher amant. Elle caressa du revers de la main sa joue, traçant de son index le contour de ses lèvres, pour mieux l’embrasser tendrement à nouveau .

Il lui adressa un sourire. Un sourire qui n’était pas que de la domination mais aussi de remerciement du plaisir qu’elle venait de lui donner. Il laissa ensuite son regard glisser sur le corps superbe de Phoenix qui portait encore la marque de leurs ébats intenses. Le corps puissant et musclé du pompier était couvert de sueur et de quelques marques d’ongle qu’elle lui avait laissé durant les ébats. Art venait de connaitre un nouvel orgasme d'une puissance incroyable. La belle Phoenix était une fille incroyablement intense, sexuelle et bonne à baiser. Il resta contre elle, et en elle, son souffle étant toujours aussi rapide. Il sourit à la jeune danseuse, lui caressant le corps au passage qui portait parfois les marques de leurs ébats intenses. Il ne se lassait pas de la regarder nue, de la sentir contre lui. Il l'embrassait avec un plaisir évident, et la laissa le câliner de la sorte, se laissant tomber au sol, et venant l'allonger sur lui. Il pouvait ainsi profiter des caresses de la belle, tout en pouvant les lui rendre avec moins d'effort. Elle l'avait pour le moment achevé, et un petit break ne serait pas de refus. Il lui sourit et laissa sa main glisser le long du corps de la belle brune.

Mmmmh baby, c'était bon

La danseuse était une fille incroyablement excitante et bandante. Il avait envie de lui dire qu’elle était extraordinaire, cette belle chatte à baiser, ou cette bouche à avaler son foutre, et son petit cul prêt à accueillir et vider ses couilles. Oui, sa belle chienne personnelle était un sacré numéro. Mais il restait pourtant muet. Ce genre de chose, il faudrait qu’elle le lise dans ses gestes et dans ses yeux. Il laissa son regard glisser le long de son dos et de sa superbe chute de rein. Là, il put admirer ses belles fesses bombées. Il en avait vraiment envie à nouveau, de celles-ci. Il laissa un doigt redessiner les vertèbres de la brunette, descendant au creux de ses reins, s'arrêtant à la limite de ses fesses, puis entre elles. Elle était encore ouverte, il le sentait et il titilla doucement son anus se souvenant alors du plaisir que ça avait été de la prendre par le cul. Puis il lui mordilla les lèvres, collant son torse musclé contre les seins de la brunette. Il laissa un doigt glisser entre les fesses de sa belle amante. Il fit quelques va et viens et retira ensuite son doigt de l’anus de la belle. Son souffle reprenait doucement son rythme normal et il se contenta de la tenir dans ses bras, tout en l'embrassant langoureusement pour laisser un peu de répits au corps de Phoenix.

Il aimait voir la petite moue boudeuse et malicieuse de la belle brune, tandis qu'il lui caressait le dos et les fesses. Elle avait des fesses bien rouges à présent, qui tendaient vers le rose. Bientôt, il n'y aurait plus trace des coups de butoirs féroces et des claques cochonnes qu'il lui avait données.

Non, c'était bien plus que ça, mais je n'ai pas les mots pour le dire.

Dit-il en souriant, et ce n'était pas qu'une expression en l'air. Elle l'avait vraiment fait atteindre des sommets et il aurait eut bien du mal à rendre justice à ses prouesses en utilisant de simples mots.

C'est un sentiment partagé!

Murmura t-il à son oreille dont il vint lécher le lobe avant de la regarder droit dans les yeux en souriant. Lui aussi ne se prêtait pas souvent à ce genre de paroles après le sexe. La plupart du temps les conquêtes passaient dans sa vie comme une ride sur l'eau et finissait par disparaitre. Il ne faisait rien pour les retenir ou pour partager quelque chose avec elles. Phoenix était une femme différente. Elle avait tout pour plaire au jeune homme. non seulement elle était un incroyable bon coup, une vraie petite chienne au lit, mais elle avait aussi ce petit plus de tendresse et de douceur, de profondeur d'esprit également, qui lui plaisait. Il avait envie qu'ils se revoient souvent, l'histoire de profiter de ce lien particulier qui les unissait, m^me s'il n'y avait rien d'amoureux là dedans. Cela ne l'empêchait pas de l'appeller par des petits surnoms tendres, même lorsqu'il l'enculait sèchement et la traitait de salope sous l'excitation du moment.

Le temps passa rapidement et son souffle était de nouveau normal. Il embrassait Phoenix, parfois tendrement, parfois de façon plus intense. Elle avait des lèvres douces et pulpeuses et il se souvenait avec plaisir de comment elle s'en servait. Cela le fit frissonner légèrement car les pipes de la jolie brune étaient incroyablement bonnes. Il lui caressa les cheveux tandis qu'il remarqua que l'heure prévue pour la réservation de la salle venait d'expirer. Ils allaient devoir partir d'ici. Il lui caressa ses belles fesses, et l'embrassa une dernière fois avec langueur, avant de se redresser et de l'aider à se lever. Il en profita pour admirer le beau corps de sa danseuse, avant de se rhabiller. Une fois sortis du complexe de détente, il la regarda avec un sourire aux lèvres. Il était prêt pour la suite, quelle qu'elle puisse être.

On va où maintenant?

Art caressait le corps de Phoenix qui était encore alanguie par le plaisir avant de se décoller d'elle avec difficulté. Il avait envie d'elle, de son contact, de sa fougue, de son coté chienne, de son coté douce également. La nuit semblait loin d'être finie, mais ils en avaient entamé une bonne partie déjà. Elle l'avait déjà fait jouir quelques fois, et pourtant, il la désirait toujours autant, et peut-être même encore plus maintenant qu'il savait ce dont elle était capable et à quel point c'était bon avec elle. Alors qu'ils se rhabillèrent, ils finirent par se diriger vers le hall de la réception et en chemin ils croisèrent un homme musclé et mignon. Vu la tension qui régnait soudain entre lui et Phoenix, il se doutait bien qu'ils devaient avoir déjà couchés ensemble et qu'il devait y avoir de la jalousie dans l'air. Après tout elle lui avait bien dit qu'elle était habituée des lieux. Peut-être justement à cause ou grâce à cet homme que le pompier avait en face de lui. La belle brunette jetait un peu d'huile sur le feu en se pressant un peu contre lui et quémandant un baiser, qu'Art lui accorda avec plaisir. Le masseur semblait être fou de rage et regardait les deux jeunes gens l'un après l'autre sans réussir à savoir lequel il haïssait le plus. Celle qui le provoquait ou celui qui lui avait prit sa belle brune. Quoiqu'il en soit, le pompier eut un sourire amusé, décidément, Phoenix était une femme espiègle et joueuse et il aimait ça.

Il écouta la proposition de Phoenix et après réflexion il opta pour aller chez elle et qu'ils commandent sur place. Sauf que Art avait eut une idée coquine au passage, dictée par l'apparition inopinée du masseur peu de temps auparavant et alors qu'il passait son bras autour de la hanche fine de sa danseuse, il marcha avec elle jusqu'à arriver à la demeure de la jolie brunette. Puis il l'embrassa langoureusement, admirant un instant la façade de la propriété puis il mordilla la lèvre de la belle et lui demanda de l'attendre à l'intérieur, de sh'abiller sexy, qu'il l'attendrait un moment dehors, car il devait passer un coup de téléphone. Une fois que celle-ci pénétra chez elle, Art sortit son portable et contacta un de ses collègues pompier. Un beau mec musclé qui avait du succès, un blondinet qui était ami avec Art.

Dean? C'est moi, j'ai une petite coquine en vue là. Si tu es intéressé, viens à l'adresse suivante, on la prendra à deux.

Ok Art, ça fait longtemps qu'on a pas fait ça. Elle est d'accord ou elle ne sait pas encore que je dois arriver?

On lui fera la surprise. Si elle ne veut pas, faudra te trouver un autre plan.

Ca me va, j'arrive dans une vingtaine de minutes.

Art referma son portable, et se dirigea dans la maison. Il ne doutait pas qu'une coquine comme Phoenix apprécierait la surprise. Quoiqu'il en soit, en attendant que Dean les rejoigne, Art s'installa dans le canapé, se demandant quelle tenue avait optée la belle danseuse.